Si tu déclares des ventes en chiffre d'affaire (CA) tu dois aussi déduire des frais de fonctionnement.
Je peux me rencarder auprès de mon comptable si tu veux concernant les sommes "critiques" à déclarer ou non en dehors d'un cadre professionnel.

Concernant ton Siret en micro, j'aurais tendance à t'inviter à ne pas mélanger. C'est une précaution mais elle ne repose que sur mon à priori personnel.

Des lors que tu as un titre enregistré avec un ISBN les flux sont remontés par les diffuseurs, les éditeurs/imprimeurs à la demande etc...
Pour les ventes que tu réalises personnellement, c'est différent. 
Si tu es passée par une cagnotte en ligne, le site va te donner un doc à déclarer. Selon les montants, ça peut être significatif. Il faut être vigilant. 

Si tu n'as rien de tout ça, que tu as fait bosser ton imprimeur, ton correcteur, ton maquettiste.... Que tu as payé tout ce petit monde en chocolats, gratitude et resto, tracer les ventes est pour ainsi dire impossible tant que cela reste dans des normes accetables. 
Rentrer dans ses frais devrait être une bonne limite selon moi. 
Au delà, c'est un choix. Une structure pour soi seul me paraît compliqué pour quelques ventes. 

En revanche, pour une opération de plus grande envergure ça se réfléchit. Mais le principe reste le même (contrairement à la micro ou ton CA génère une estimation de la charge) il me semble qu'en auto-édition, même à plusieurs, il vaut mieux une structure type SAS car les charges les plus importantes sont au début du projet.
La SAS est dirigé par un président non assujetti aux charges sociales s'il n'est pas rémunéré... Contrairement à la SARL. A plusieurs, il peut faire sens de savoir, qu'avec une présidence tournante, que si les risques sont partagés, les intérêts sont communs. Alors tout le monde rame dans la même direction.
C'est une utopie. J'en ai bien conscience...

Azaby a écrit:

Citation :

C'est normal d'espérer le mieux, et de revoir ses ambitions à la baisse si ça marche pas... J'ai décliné aussi, et il n'est pas impossible que je retourne les voir d'ici 1 an ou 2, la queue entre les jambes.

Tu aurais tort, même dans un an ou deux. Ton travail mérite mieux.

Dois-je comprendre que tu as lu et apprécié mon manuscrit ?
Ou alors tu penses que le travail de tout les écrivains en herbe ou en arbre de JE méritent mieux, et ça s'entend

op.interligne a écrit:

Si tu déclares des ventes en chiffre d'affaire (CA) tu dois aussi déduire des frais de fonctionnement.
Je peux me rencarder auprès de mon comptable si tu veux concernant les sommes "critiques" à déclarer ou non en dehors d'un cadre professionnel.

Concernant ton Siret en micro, j'aurais tendance à t'inviter à ne pas mélanger. C'est une précaution mais elle ne repose que sur mon à priori personnel.

Des lors que tu as un titre enregistré avec un ISBN les flux sont remontés par les diffuseurs, les éditeurs/imprimeurs à la demande etc...
Pour les ventes que tu réalises personnellement, c'est différent. 
Si tu es passée par une cagnotte en ligne, le site va te donner un doc à déclarer. Selon les montants, ça peut être significatif. Il faut être vigilant. 

Si tu n'as rien de tout ça, que tu as fait bosser ton imprimeur, ton correcteur, ton maquettiste.... Que tu as payé tout ce petit monde en chocolats, gratitude et resto, tracer les ventes est pour ainsi dire impossible tant que cela reste dans des normes accetables. 
Rentrer dans ses frais devrait être une bonne limite selon moi. 
Au delà, c'est un choix. Une structure pour soi seul me paraît compliqué pour quelques ventes. 

Ne pas mélanger Siret en micro, et Siret en artiste-auteur, je veux bien moi, mais c'est possible ?
C'est le site de la sécu des AA qui m'a rebasculée à l'inpi, quand il est question de choisir de déclarer du TS ou du BNC. En BNC, on est renvoyé à l'inpi, d'où ma question sur la suite de la procédure.

Déduire des frais de fonctionnement, c'est justement ce qui m'intéresse, vu que c'est moi qui paye tout, et qu'il y en a pour plus des 34% d'abattement forfaitaire accordé en BNC.
Si c'est tenir à jour les recettes et dépenses, je dois pouvoir en être capable. S'il faut aussi avoir un livre comptable, avec des écritures et tout, je ne sais pas faire, et vu ma situation, je ne pense pas que ce soit pertinent d'embaucher un comptable pour mon niveau d'activité.

Je n'ai pas réalisé de cagnotte, j'ai payé ma correctrice, mon imprimeur, je vais acheter mes étuis pour expédition. Avec des sous, pas des chocolats .

En tout cas, pour ce que je vendrai via plateforme, une fois que j'aurai choisi comment me référencer par un distributeur-diffuseur (Bookelis ou The Book edition sont toujours dans la course, le direct Cyber scribe aussi, mais bien plus cher), tout sera tracé, et pour les exemplaires que je vendrai en direct, je dirais aussi, dans la mesure où on peut trouver combien d'exemplaires j'ai fait imprimer, donc je suppose qu'on peut me demander ce que j'en ai fait (je peux en offrir, mais peut être dans une "certaine mesure"...).

Sérieusement, si vous voulez parler SIRET et comptable, passez en MP ou donnez-vous rendez-vous dans un sujet adéquat. Mais pas ici, on s'éloigne trop. Merci.

Aliénor a écrit:

Sérieusement, si vous voulez parler SIRET et comptable, passez en MP ou donnez-vous rendez-vous dans un sujet adéquat. Mais pas ici, on s'éloigne trop. Merci.

Sorry.

en MP

AIexis a écrit:

Azaby a écrit:

Citation :

C'est normal d'espérer le mieux, et de revoir ses ambitions à la baisse si ça marche pas... J'ai décliné aussi, et il n'est pas impossible que je retourne les voir d'ici 1 an ou 2, la queue entre les jambes.

Tu aurais tort, même dans un an ou deux. Ton travail mérite mieux.

Dois-je comprendre que tu as lu et apprécié mon manuscrit ?
Ou alors tu penses que le travail de tout les écrivains en herbe ou en arbre de JE méritent mieux, et ça s'entend

N'importe quel travail sincère mérite mieux que d'être édité dans ce genre de structure