Bien évidemment que tout n'est pas bon quand on écrit 30 ou 50 pages en une nuit... mais si il n'y qu'une page très bonne, c'est déjà une victoire, non ?

Quand j'écris, je me fiche de l'orthographe, des répétitions, etc... j'écris et ce n'est que lors des relectures que je réécrit mon histoire...

Je l'ai dit, c'est fluctuant. Il m'est arrivé d'être satisfait de tout ce que j'écris en une soirée... et des fois pas du tout. Release c'est focalisé sur ces 50 pages... si elle veut plus de détails, sur 12 nouvelles, j'en ai gardé 3 (donc 9 pages à peu près). Comme ça la curiosité féminine l'emporte...

Pour ma part ça varie
Pendant les vacances, j'ai pu monter à dix pages pour une journée, mais c'était très ponctuel. Sinon c'était plutôt une à cinq pages. Il m'est aussi arrivé d'écrire entre 23h et 3h mais c'était pendant les vacances donc niveau vie sociale, ça collait pas. Mais c'est frustrant de devoir aller dormir quand on est lancé.

Actuellement, je n'écris plus qu'une page de temps en temps sans que ça me plaise alors je dessine dans le train (en essayant d'imaginer un monde) et je corrige à hauteur de quelques pages par semaine.

Emesine, si tu es lancée, pourquoi t'arrêtes-tu ? A cause des cours ?

.Release. a écrit:

Emesine, si tu es lancée, pourquoi t'arrêtes-tu ? A cause des cours ?

Malheureusement oui
Je ne commence jamais à 8h mais passé une ou deux nuits trop courtes, je ne tiens plus debout

Aussi, je partage mon petit appartement avec ma soeur
Donc passé une certaine heure, la lumière la gène, puis le bruit des touches

Mais à ces heures-là, une fois que j'ai commencé,
Je me sens sur un petit nuage qui ne veut plus s'arrêter

Elle a l'air chiante ta sœur... un bon petit "lexomil" dans sa popote et tu pourras écrire tranquillement !

Non, elle ne l'est pas
Mais elle travaille très dur
Et elle commence avant moi

8/10 pages si je suis toute la journée sur l'ordi et que l'histoire que j'ai en tête est très calire ( le cas pour mon dernier roman. Ca été extremement rapide.
Là enc e moment, j'écris par petits bouts de 1 ou 2 pages, pas plus vu que je bosse...

Après, y'a tout le travail de relecture, de correction que je ne compte pas...

A chaque fois que je prend le train, quand je suis dans une salle d'attente.
Ou la nuit quand j'ai rien d'autre à faire.
Ces temps-ci j'arrive rarement à écrire plus d'une page ou deux.

Au début c'était à peu près un chapitre par mois (sur word, police 12 interligne 1 et environ 15 pages). Depuis Déceùbre je tente de finir le troisième. Le problème est soit la longueur de mes chapitres, soit qu'une fois devant mon pc il y a toujours autre chose qui me tente
Enfin bon je garde tjrs sur moi un petit calepin dans lequel je note tout ce qui me passe par le tête en rapport avec mon histoire pour pas le perdre... mais j'ai pas écris bcp dedans, restant plutôt axé sur le "au fil de la plume".

J'écris un peu tous les jours mais c'est très inégal, parfois je me consacre à un projet précis mais la plupart du temps j'écris au sujet de tout et de n'importe quoi, mes textes peuvent faire indifféremment dix lignes, une page ou six. L'avantage d'avoir des centaines de fichiers .doc qui ne servent à rien c'est qu'en cas de panne sèche je peux toujours y piocher deux ou trois bonnes lignes et ça m'entraine pour la suite, j'ai l'impression que c'est important, sinon essentiel, d'être régulier.
Mais j'ai toujours été adepte de l'écriture quotidienne, comme une sorte de journal sauf que ça n'est pas intime; ça me vide la tête parce que j'ai tendance à ruminer les choses tant que je ne les sélectionne pas pour les mettre en forme. Au final je n'écris pas beaucoup mais très souvent.

En ce moment, je recommence à écrire beaucoup mais il est vrai que, parfois, l'envie manque un peu. Et je pense que ce n'est pas une bonne chose de se "forcer" à reprendre la plume (ou le clavier), car cela peut aboutir à de mauvais écrits.

perso, je n'utilise que le clavier de l'ordinateur. Car je peux corriger à loisir mon texte, ça reste toujours clair et lisible. Tandis que le brouillon papier après 36 ratures, 25 renvois en marge, on n'y voit plus rien du tout au bout du compte.

Pour l'ultime relecture, j'imprime tout et je corrige sur papier. Parce que la lecture sur support papier est plus confortable et plus adaptée pour les dernières retouches.

Concernant l'écriture, il faut que ce me plaise sinon je ne peux pas avancer, donc je fais un peu comme des tranches de saucisson. J'écris 4-5 pages, je bricole, je fignole, je paufine, je valide et je passe à la partie suivante.

quand j'ai le feu, j'écris mes 5 pages dans la foulée, que je ne suis qu'étincelle, je tape 3 malheureux paragraphes.

Je focalise sur la longueur du texte je ne sais pas pourquoi. Mon histoire compte pour l'instant 27 pages word (times new roman 12) et je trouve ça ridiculement court comparé à d'autres.
Quand je lis que certain(e) arrivent à sortir 10 à 50 pages words par jour, je suis admirative et dubitative, perplexe dans tous les cas.

J'écris mais je m'éparpille un peu de temps en temps. Je laisse une marque quand je fais une relecture, pour pas reprendre au même point tout le temps. Soit je continue, soit j'avance la relecture.

Enfin en ce moment, ça va à peu près, au rythme de 77 pages depuis 3 semaines (enfin un peu moins quand même)