Je sais que ça va paraitre un peu con mais il faudrait poser la même question :
" A quel débit lisez-vous ?"

De cinq à quinze pages par jour en caratères times new roman, taille 12. En-dessous, je suis en manque. Au-dessus, je suis en overdose.

Je n'écris pas tout les jours. Souvent c'est de 1 à 3 pages d'un coup puis je m'arrête.
J'écris pareil que L, Times New Roman, taille 12. Souvent après, je reviens sur mes pas
et je me corrige.

autant que je peux. Il m'est déjà arrivé de lire et ne pas manger ni dormir pendant trois jours. Perso je n'ai pas eu l'impression que c'était trois jours, mais ma copine (qui à l'époque ne l'était pas encore) a été formelle. Sinon en moyenne à peu près trois livres par semaines, des fois beaucoup plus, des fois moins, et sans compter les lectures sur mon pc.

Trop lentement, beaucoup trop lentement...

En une semaine j'écris trois ou quatre pages, Century Schoolbox, taille 11 ( sympa, hein ? ). Le fait est que je passe mon temps à relire, peaufiner, retourner les phrases, les paragraphes, corriger, ajouter, ôter, pour que la lecture soit extrêmement fluide et disons agréable.
Le débit est pas le plus important, AMHA.

Question intéressante bien que le débit d'écriture soit forcément trop variant je pense pour que l'on puisse véritablement le définir. Moi personnellement, je n'ai rien écris depuis deux mois quasiment, bien que des idées ne cessent de fuser dans mon esprit, mais il y a des périodes ou je peux écrire plusieurs pages manuscrites par jour. Lorsque j'écris sur un ordinateur, ce qui est rare, ça va bien plus vite mais le résultat est bien moins bon puisque le jet est rapide. Il y a ensuite le travail de peaufinage pour reprendre l'expression d'aboutperl qui empêche d'avancer trop vite selon moi.

Pour ma part, j'ecris tous les jours : une phrase ou 30 pages, ça dépend !!!

La plupart du temps, j'écris après 23 h (jusqu'à 23h05 dans le pire des cas, jusqu'à 4 heures du mat' dans le meilleur). Petite précision : j'ai la "chance" d'être insomniaque...

Il m'arrive d'écrire dans la journée même si c'est plus dur à cause du boulot (il m'arrive de me planquer un quart d'heure dans les toilettes)... mais j'ai toujours un petit calepin qui traine dans une de mes poches pour y noter ce que j'ai en tête.

Sur papier : plusieurs pages par jour (quadrillées, sans marge, sans espacement)

Sur pc : une page en un mois ou presque...

Roudoudou a écrit:

La plupart du temps, j'écris après 23 h (jusqu'à 23h05 dans le pire des cas, jusqu'à 4 heures du mat' dans le meilleur). Petite précision : j'ai la "chance" d'être insomniaque...

Tu me ressembles assez sur ce point... j'écris très peu la journée. Mais la nuit... ça fait parti des choses qui m'empêchent de dormir. Déjà 17 heures que je suis debout, avec 5 heures de sommeil (depuis plus d'une semaine), une heure à déménager la cuisine de ma grand mère, une heure à angoisser, 2 bières brunes et 15 clopes... quel putain de bordel !

Sinon, j'ai des périodes. Ces temps-ci, je lis peu... je perds déjà mes cheveux avec mes propres interrogations, alors rajouter Céline, Cioran, Nietzsche, Dostoïvski ou autre... un coup à ne pas dormir pendant 2 jours (ce qui est déjà arrivé). Sinon, y'a des périodes où je tourne vers 4 livres par semaine, voir 5. Pour l'écriture, même chose.... j'ai une écriture ignoble alors je tape tout à l'ordinateur. Il m'est déjà arrivé d'écrire une cinquantaine de pages types new roman taille 12 en une nuit... mais la plupart du temps, c'est une dizaine de pages.

D'ailleurs, ça me fait penser que je dois plus penser !

Quelques fois semaine, toujours après minuit, rarement bien longtemps.

Une cinquantaine en une nuit ? Quantité n'signifie point toujours qualité. J'dis ça, j'dis rien.

Quand l'envie me prend, souvent le soir, jusqu'à 3 heures du matin au grand maximum. Après, j'arrive plus. Environ une page par session.

Est ce que j'ai dit le contraire ? De toute façon, c'est tellement fluctuant...

Non, mais tu as presque l'air de t'en vanter.
Pardonne-moi si je me trompe, mais entre les clopes, la bière et tes heures de sommeil envolées, il y a de quoi te vouer un culte.

Me vanter... ouais si tu veux...