Jimilie Croquette a écrit:

170 000 mots, c'est environ 1 190 000 caractères.

Je suis au regret de te dire que c'est trop long et que c'est sans doute un des motifs de refus sans même lire ton manuscrit. Il faut couper en deux.

Ce qui génère un autre problème : les éditeurs sont peu friands de sagas.
Une option, et je suis bien consciente que ça peut être décourageant, c'est de redécouper ta narration/ton texte pour faire un premier tome de 100 000 mots max qui tienne par lui-même. Tu peux préciser dans la lettre d'intention que la suite du roman  est écrite entièrement (inclure le synopsis).

J'approuve tout ça...

Mon premier roman fait dans les 150.000, ce qui est à peu près la longueur de Mme Bovary, souvent considéré comme un gros roman, même si ça n'est rien comparé à une saga Fantasy.
Quand j'ai cherché éditeur, les deux que j'ai (presque) trouvés ont dit qu'il faudrait faire deux tomes. Pour l'un des deux, je crois que c'était surtout pour augmenter le nombre des ventes (édition numérique presque seulement), mais l'autre croyait vraiment que la taille pouvait effrayer certains lecteurs en version papier et ne tenait pas à faire différemment les deux versions.

Pour un éditeur, publier un auteur débutant est une prise de risque, et un roman en plusieurs tome en est également une : là, il s'agit de cumuler les deux !!!
L'idéal serait de réussir à faire un roman à part entière avec la première moitié ou le premier tiers, et voir ensuite ce qu'il advient.
Ensuite... bah... je suis archi-consciente que ça n'est pas facile !!! J'ai même un roman qui pose exactement le même problème (avec plus de 300.000 mots), voire pire.
Cet "idéal" est peut-être totalement utopique.

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BoiséeNoire a écrit:

Il faudrait vraiment que tu fasses relire ton dossier de soumission, ainsi que ton texte

Et aussi... Je pense que tu as mal ciblé tes ME... Certaines sont OK, mais il me semble ÉVIDENT que si tu envoies de la bit-lit chez Bélial tu te fasses refuser Cette maison d'édition ne publie pas de romance ! As-tu tenté Hugo, &H, Korrigan/City, Shingfoo, BMR, etc. ?

J'ai tenté Hugo oui mais les autres le nom ne me dit rien, malheureusement je n'ai plus la liste complète de ceux à qui je l'ai envoyé (j'avoue que j'ai été tellement déçue que je l'ai jetée).

Je vais poster quelques chapitres d'ici demain pour voir ce qu'on en dit, merci...

Il faut tenir une liste !!!!
Sinon tu risques d'envoyer plusieurs fois au même.
Et ça permet aussi de te souvenir à quelle date tu as envoyé
Ainsi que de les prévenir le jour où ton livre est casé

Element à prendre en compte = certains éditeurs répondent vite, voire indiquent sur leur site que plus de deux mois c'est un refus par non-réponse, mais d'autres peuvent se manifester des mois après.

Courage Luminiia, je comprends totalement ton découragement et ce que tu ressens, j’en suis moi même à plus de 50 refus (silencieux ou types dans mon cas) pour mon roman. Mais ce sont des phases en fait, dès fois on se laisse décourager, et dès fois on s’y remet. Courage à toi

Oui je l'avais fait, c'est certain que mon manuscrit à été refusé... Et depuis, les derniers en date était Editheme, Rivka et HEA mais sinon, je n'ai renvoyé aucun manuscrit depuis que j'ai terminé la v2.

CalédoniaRob a écrit:

Courage Luminiia, je comprends totalement ton découragement et ce que tu ressens, j’en suis moi même à plus de 50 refus (silencieux ou types dans mon cas) pour mon roman. Mais ce sont des phases en fait, dès fois on se laisse décourager, et dès fois on s’y remet. Courage à toi

Merci ! Bon courage à toi aussi !

Mais une fois refusé de partout, comment on fait (car malheureusement, les listes de ME sont de plus en plus courtes...) ? Tu as prévu quelque chose de ton côté ?

Luminiia a écrit:

CalédoniaRob a écrit:

Courage Luminiia, je comprends totalement ton découragement et ce que tu ressens, j’en suis moi même à plus de 50 refus (silencieux ou types dans mon cas) pour mon roman. Mais ce sont des phases en fait, dès fois on se laisse décourager, et dès fois on s’y remet. Courage à toi

Merci ! Bon courage à toi aussi !

Mais une fois refusé de partout, comment on fait (car malheureusement, les listes de ME sont de plus en plus courtes...) ? Tu as prévu quelque chose de ton côté ?

Oui, vu que mes refus s’étalent déjà sur bientôt 4 ans, et que j’ai continué à retravailler mon roman pendant ce temps là, j’ai prévu de le renvoyer aux premières ME qui m’avaient refusé il y a 4 ans si je ne trouve toujours pas preneur. Parce qu’elles ont dû oublier entre temps et le roman a beaucoup évolué. Ou alors peut être le garder sous le coude, dans le sens peut être que ça sera plus facile de publier un deuxième roman comme premier roman, et ensuite ton éditeur peut s’intéresser à ton véritable premier roman mais en le publiant comme deuxième roman. Ou alors l’auto édition, je ne sais pas encore, je verrai.

merci !

Ah oui c'est une bonne idée, j'y avais pensé aussi ahah ! Mais il y a une si grande différence que ça entre un auteur publié pour la première fois et un autre ayant déjà 1 livre de paru ?...

Là, mon roman de terminé est officiellement mon 2e roman d'un point de vue chronologique ^^" Celui de Fantasy pur sur lequel je travaille, en ce moment, est une ébauche que j'avais écrite au lycée.

ben c’est pas ça, c’est qu’un éditeur c’est une entreprise à but lucratif dans le fond, quand il publie un auteur inconnu c’est qu’il mise sur lui quelque part, donc si ça se passe bien il voudra par la suite publier qq chose d’autre de lui pour fidéliser ses lecteurs. Donc à ce moment là l’auteur peut lui proposer un roman déjà écrit, l’éditeur logiquement le lira en détail et avec plus d’intérêt qu’un stagiaire au comité de lecture devant un énième manuscrit d’un énième auteur inconnu.

Ahh oui, je vois le truc ! ^^ merci !

Je trouve bien Editheme sur les annuaires d'entreprise, mais pas de site internet...
Sur les fiches correspondant au numéro Siren, je ne vois pas le nom du chef d'entreprise.
Type d'édition indique : revues et périodiques
En insistant sur ma recherche, j'arrive sur un topit JE, et de là sur le site appel-a-texte, où je trouve ENFIN quelque chose de "solide" m'indiquant que ce numéro SIREN n'est pas fantôme (depuis 1999, l'entreprise pourrait avoir factuellement disparu).
Effectivement, cet AT demande des textes de plus de 30.000 mots, donc novella ou romans...
Franchement... un éditeur avec une telle présence internet... ça ne donne pas très envie. Et pourtant, en lisant l'AT, j'ai l'impression qu'il est envisagé de publier plusieurs livres courant 2025.
Il se peut que la ME soit en phase de "reprenons un nouveau départ", d'où absence de site web ou autres traces sur internet, mais quand même... j'ai du mal !

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Luminiia a écrit:

Mais une fois refusé de partout, comment on fait (car malheureusement, les listes de ME sont de plus en plus courtes...) ? Tu as prévu quelque chose de ton côté ?

Ce que je vais dire va paraître pessimiste, ou un peu tragique... mais je crois qu'il vaut parfois mieux abandonner un roman qui ne trouve personne, que de persister à vouloir lui donner une vie.

À moins qu'on ait les compétences et la motivation de se livrer à de l'auto-édition en bonne et due forme (ce qui n'est pas fréquent). Car l'auto-édition peut être une source de frustration supplémentaire : dans la majorité des cas, les ventes sont très confidentielles en AE, et une vie auto-éditée pour un titre donné empêche souvent une publication ultérieure par une maison d'édition. Il y a, bien sûr, des exceptions. Mais disons que se lancer dans l'AE ne devrait pas être motivé par du dépit.

Vraiment, un roman qui ne trouve aucune ME est souvent un texte qui n'est pas publiable pour raison X, Y ou Z (soit la qualité même du texte, soit la cohérence le marché - ce qui est rare - , soit un manque de maîtrise d'un point de vue du style...). Surtout s'il s'agit d'un premier roman.

Il est très douloureux de remiser un texte au placard (ce qui ne signifie pas l'abandonner, parfois, c'est juste attendre son heure), mais je crois que c'est une étape obligée pour beaucoup d'auteurs qui aspirent à la publication, et encore plus pour ceux qui visent la professionnalisation.[/quote]

Séléné.C a écrit:

Je trouve bien Editheme sur les annuaires d'entreprise, mais pas de site internet...
Sur les fiches correspondant au numéro Siren, je ne vois pas le nom du chef d'entreprise.
Type d'édition indique : revues et périodiques
En insistant sur ma recherche, j'arrive sur un topit JE, et de là sur le site appel-a-texte, où je trouve ENFIN quelque chose de "solide" m'indiquant que ce numéro SIREN n'est pas fantôme (depuis 1999, l'entreprise pourrait avoir factuellement disparu).
Effectivement, cet AT demande des textes de plus de 30.000 mots, donc novella ou romans...
Franchement... un éditeur avec une telle présence internet... ça ne donne pas très envie. Et pourtant, en lisant l'AT, j'ai l'impression qu'il est envisagé de publier plusieurs livres courant 2025.
Il se peut que la ME soit en phase de "reprenons un nouveau départ", d'où absence de site web ou autres traces sur internet, mais quand même... j'ai du mal !

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Coucou Séléné,

Editheme est seulement le nom de code de l'AT, pas celui de la ME
J'ai signé avec la ME via cet AT. C'est une ME de taille moyenne diffusée en librairies ! C'est une ME qui va ouvrir une collection dédiée à la romance l'année pro, mais qui souhaite garder le suspens pour l'instant, d'où l'anonymat

Pour en revenir au sujet du topic :
Luminiia, je ne t'ai nommé que des ME spécialisées en romance. Si tu n'as pas envoyé chez elles, cela doit clairement être fait avant de baisser les bras! Tu n'as peut-être pas super bien ciblé à la base.

Comme les autres ont dit, il est VITAL que tu tiennes une liste à jour de tes soumissions !

Azaby a écrit:

soit la cohérence le marché - ce qui est rare -

Que veux-tu dire exactement ? Qu'il est rare d'être en cohérence avec le marché ? Ou qu'il est rare que la cohérence avec le marché soit le critère qui bloque ? Je ne suis pas sûr d'avoir compris dans quel sens prendre cette remarque

J'ai compris que c'est rarement la cohérence avec le marché qui est le bloqueur final