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 Échec sur échec que faire ?

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CalédoniaRob
   
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CalédoniaRob  /  Tentatrice chauve


Azaby a écrit:


Mais disons que se lancer dans l'AE ne devrait pas être motivé par du dépit.

ah bon ? mais pourquoi ? marrant cette façon de faire passer une opinion personnelle comme une vérité absolue sans pour autant donner aucun élément pour étayer son postulat. 🤔


Azaby a écrit:


Vraiment, un roman qui ne trouve aucune ME est souvent un texte qui n'est pas publiable pour raison X, Y ou Z (soit la qualité même du texte, soit la cohérence le marché - ce qui est rare - , soit un manque de maîtrise d'un point de vue du style...). Surtout s'il s'agit d'un premier roman.

Il est très douloureux de remiser un texte au placard (ce qui ne signifie pas l'abandonner, parfois, c'est juste attendre son heure), mais je crois que c'est une étape obligée pour beaucoup d'auteurs qui aspirent à la publication, et encore plus pour ceux qui visent la professionnalisation.
[/quote]

une fois de plus azaby sous entend sur le forum que si les primo romanciers ne trouvent pas preneurs :c’est parce que leur texte n’est pas assez bon. Mais elle utilise cette fois ci un procédé pour essayer de masquer tout cela, laissant à l’auteur fébrile qui lirait son message le soin de comprendre presque de manière subliminale, que finalement, c’est de sa faute à lui si son texte n’est pas publié … car son manuscrit n’est tout simplement pas assez bon :

« est souvent un texte qui n’est pas publiable pour x,y ou z » (azaby nous expose son raisonnement de manière quasi mathématique)

x serait donc selon azaby « la qualité même du texte » (sous entendu assez évident, pas assez bon pour être publié)
y serait selon azaby la cohérence le marché (tiens un point qui n’est pas entre les mains de l’auteur) mais elle ajoute : ce -ce qui est rare- comme pour diminuer ou annuler sa propre proposition -la seule- qui viendrait déculpabiliser l’auteur de son « échec » (vu que c’est le titre de ce topic).
et z selon azaby serait un manque de maîtrise du point de vue du style. Point qui finalement pourrait se rattacher a la catégorie x, « la qualité même du texte. »

Donc azaby insinue de manière presque subtile (fidèle à toutes ses interventions sur le même sujet qui vont toujours dans le même sens) que si un auteur ne réussit pas à publier son premier roman, c’est et SURTOUT à cause de la qualité même de son texte….
Donc sous entendu « il n’est pas assez bon pour être publié par un éditeur ».

ok, message décrypté 😄

(Je ne comprends pas azaby, après toutes ces années à commenter dans le même sens ton opinion, quel est l’apport que tu penses apporter à un ou à une auteur désespéré en lui disant cela ? Quel est l’aide que tu penses lui apporter avec tes propos? Sur un forum a priori d’entraides entre auteurs ou aspirants auteurs… Je ne comprends vraiment pas 😅 Bref…)
 
Epineuse
   
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CalédoniaRob a écrit:
Azaby a écrit:


Mais disons que se lancer dans l'AE ne devrait pas être motivé par du dépit.

ah bon ? mais pourquoi ? marrant cette façon de faire passer une opinion personnelle comme une vérité absolue sans pour autant donner aucun élément pour étayer son postulat. 🤔

Comme elle dit littéralement dans la phrase juste avant celle que tu cites :

Azaby a écrit:
Car l'auto-édition peut être une source de frustration supplémentaire : dans la majorité des cas, les ventes sont très confidentielles en AE, et une vie auto-éditée pour un titre donné empêche souvent une publication ultérieure par une maison d'édition.

Pour moi ça ressemble précisément à des éléments qui étayent. Ne me remercie pas ^-^
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CalédoniaRob
   
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Epineuse a écrit:


Pour moi ça ressemble précisément à des éléments qui étayent. Ne me remercie pas ^-^

je suis désolé, personnellement je ne vois pas le lien avec le dépit.
 
Jimilie Croquette
   
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Mais Rob, je ne comprends pas le ton que tu emploies.

Oui, c'est possible qu'un premier roman ne soit "pas assez bon", qu'est-ce qui te choque ? On vient de voir que le roman dont il est sujet ici est *trop long* ce qui est, d'expérience partagées de multiples fois sur ce forum, rédhibitoire. Il ne correspond pas aux attentes. S'il correspondait aux attentes, il serait édité. Donc il faut comprendre pourquoi. Y'a pas à prendre la mouche ?

Il y a une part de chance dans le fait de tomber pile sur le bon AT, la bonne vibe ; Yaelle sur ce forum l'a expérimenté : roman refusé partout, elle le soumet une seconde fois à un éditeur (qui l'a refusé en première instance) dans le cadre d'un AT spécifique et PAF, publication nationale.
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Cath
   
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CalédoniaRob a écrit:
Donc azaby insinue de manière presque subtile (fidèle à toutes ses interventions sur le même sujet qui vont toujours dans le même sens) que si un auteur ne réussit pas à publier son premier roman, c’est et SURTOUT à cause de la qualité même de son texte…
Pardon, mais quelle est la proportion d'auteurices que tu connais qui ont réussi à faire publier en ME à compte d'éditeur le premier roman qu'iels ont écrit, avant même d'en avoir publié d'autres écrits plus tard ? Qui plus est, sans l'avoir fait bêta lire avant par d'autres que des proches ?
Il n'est quand même pas rare que le premier roman publié ne soit pas le premier écrit. On est nombreux ici à pouvoir en témoigner, et beaucoup d'interviews d'auteurices célèbres abondent également en ce sens.
De plus, Azaby ne parle pas de la qualité du texte. Mais de son caractère publiable. Un roman publiable, quoi qu'on en pense, c'est avant tout un texte avec un potentiel commercial. Parce que les maisons d'édition sont des entreprises à but lucratif, et non des organismes de charité.
Et typiquement, un roman de plus d'un million de signes écrit par un primo auteur, même s'il est de qualité, ne sera sûrement pas considéré comme publiable par les ME. Qui ne le liront sans doute même pas.
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CalédoniaRob
   
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Jimilie Croquette a écrit:
Mais Rob, je ne comprends pas le ton que tu emploies.

Oui, c'est possible qu'un premier roman ne soit "pas assez bon", qu'est-ce qui te choque ? On vient de voir que le roman dont il est sujet ici est *trop long* ce qui est, d'expérience partagées de multiples fois sur ce forum, rédhibitoire. Il ne correspond pas aux attentes. S'il correspondait aux attentes, il serait édité. Donc il faut comprendre pourquoi. Y'a pas à prendre la mouche ?

Il y a une part de chance dans le fait de tomber pile sur le bon AT, la bonne vibe ; Yaelle sur ce forum l'a expérimenté : roman refusé partout, elle le soumet une seconde fois à un éditeur (qui l'a refusé en première instance) dans le cadre d'un AT spécifique et PAF, publication nationale.

non mais je suis totalement d’accord avec toi, c’est possible qu’un premier roman ne soit pas assez bon et ça doit arriver même souvent. Et je suis d’accord avec tout ce que tu dis par la suite.

C’est juste comme mentionné à la fin de mon commentaire, je ne comprends pas pourquoi azaby continue a essayer selon ma lecture de ses messages, de culpabiliser les primo romanciers en échec, au lieu d’apporter des pistes ou des solutions plus constructives. J’ai l’impression que les messages d’azaby -probablement malgré elle-, sont très souvent cassant dans le fond…

Cath, relis le message d’azaby, elle dit clairement « la qualité même du texte »
 
Cath
   
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Cath  /  Tentatrice chauve


CalédoniaRob a écrit:
Cath, relis le message d’azaby, elle dit clairement « la qualité même du texte »
Oui, elle cite cette raison comme un motif possible parmi d'autres. Je ne vois pas où est le problème.
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Epineuse
   
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Epineuse  /  Agent 006


Je ne vois pas trop comment le formuler plus clairement qu'Azaby mais je vais tenter : le dépit n'est pas la motivation la plus adaptée pour le choix de l'AE, qui engendre parfois beaucoup de frustration (beaucoup d'efforts pour des ventes parfois limitées et peu voire pas de possibilité de rebasculer le titre en édition classique). C'est cumuler contrariété sur contrariété.

Et je comprends que ce soit dur à entendre, mais oui, dans un secteur aussi concurrentiel que l'édition, avec la multiplication des textes en lices, parfois le texte n'est pas assez bon. Ce n'est même pas forcément intrinsèque : parfois, c'est un roman très bien, mais juste un peu moins bon que celui qui passe la sélection. Le fait de le pointer n'est pas une attaque contre les primo-romanciers.

Personnellement, je trouve plutôt déculpabilisant de me dire que je peux abandonner un texte qui ne marche pas et retenter ma chance plus tard, soit avec une nouvelle version soit avec un nouveau roman. Tu blâmes Azaby pour ton ressenti sur la question plus que sur son intention, vu la façon dont elle a pris des pincettes pour le formuler.

EDIT : coiffée au poteau par mes VDD Laughing
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CalédoniaRob
   
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CalédoniaRob  /  Tentatrice chauve


Cath a écrit:
CalédoniaRob a écrit:
Cath, relis le message d’azaby, elle dit clairement « la qualité même du texte »
Oui, elle cite cette raison comme un motif possible parmi d'autres. Je ne vois pas où est le problème.

comme je l’ai détaillé dans mon message, le motif parmi d’autre n’est pas vraiment parmi d’autre, et il est le presque seul et unique motif de refus selon la démonstration d’azaby.

Elle décrédibilise elle même la possibilité numéro 2 qui est la seule à ne pas entre les mains de l’auteur en disant que c’est hyper rare.

Et son troisième motif rejoint en réalité le motif 1 : la qualité du texte.

Donc il reste presque que : la qualité du texte comme motif de refus.
 
Azaby
   
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Azaby  /  Tentatrice chauve


Caius Pertinax a écrit:
Azaby a écrit:
soit la cohérence le marché - ce qui est rare -

Que veux-tu dire exactement ? Qu'il est rare d'être en cohérence avec le marché ? Ou qu'il est rare que la cohérence avec le marché soit le critère qui bloque ? Je ne suis pas sûr d'avoir compris dans quel sens prendre cette remarque Embarassed

Que l'incohérence avec le marché est rarement ce qui bloque, désolée si je n'ai pas été assez claire !

Il y a des OVNIS en littérature qui peinent à trouver preneur, et effectivement certains genres sont plus durs à caser que d'autres. Mais la diversité de la proposition est telle que le genre, ou l'incongruence avec les modes, est rarement en soi ce qui explique qu'un manuscrit ne trouve pas preneur. Qu'il se fasse refuser par un certain nombre de maisons, oui ! Mais pas qu'il ne trouve aucune chaussure à son pied. Il y a des maisons qui se spécialisent dans les textes atypiques, entre deux eaux, et qui ne refusent aucune audace d'un point de vue de l'univers ou du ton employé !

Citation :
une fois de plus azaby sous entend sur le forum que si les primo romanciers ne trouvent pas preneurs :c’est parce que leur texte n’est pas assez bon. Mais elle utilise cette fois ci un procédé pour essayer de masquer tout cela, laissant à l’auteur fébrile qui lirait son message le soin de comprendre presque de manière subliminale, que finalement, c’est de sa faute à lui si son texte n’est pas publié … car son manuscrit n’est tout simplement pas assez bon :


Tu as tout à fait le droit de n'être pas d'accord. Mais c'est quelque chose que j'ai constaté dans ma propre carrière, et dans celle des collègues aux carrières parallèles à la mienne.  study

Oui, à mon sens,  si un texte ne trouve pas preneur, c'est souvent parce que l'auteur manque de bouteille ou de travail. Que ce soit parce que le texte, dans son ensemble, peine à convaincre (ce que je rapporte à la "qualité", et je pense qu'on peut s'épargner le débat philosophique sur ce que désigne précisément la qualité, je suis bien consciente que c'est plus complexe que ça et que j'utilise ici un raccourci), soit parce que le marché ne correspond pas - ce qui est rare, comme je l'ai dit -, soit parce que le texte a des défauts de forme qui nécessiteraient un trop gros travail éditorial pour être compensés.

Citation :
Donc azaby insinue de manière presque subtile (fidèle à toutes ses interventions sur le même sujet qui vont toujours dans le même sens) que si un auteur ne réussit pas à publier son premier roman, c’est et SURTOUT à cause de la qualité même de son texte….
Donc sous entendu « il n’est pas assez bon pour être publié par un éditeur ».


Ce n'est pas sous-entendu : parfois, et même assez souvent si on écoute parler les éditeurs, un texte n'est pas assez bon pour être publié. Cela ne signifie pas que tous les mauvais textes sont refusés, et ça ne signifie pas non plus que tous les textes refusés le sont pour des questions de niveau littéraire.


Citation :
e ne comprends pas azaby, après toutes ces années à commenter dans le même sens ton opinion, quel est l’apport que tu penses apporter à un ou à une auteur désespéré en lui disant cela ? Quel est l’aide que tu penses lui apporter avec tes propos?


Je comprends que ce que je dis puisse troubler, mais c'est important de savoir que le deuil est une option possible. Dans ma carrière, faire le deuil d'un texte qui n'était pas "sauvable" (dans le sens où la charpente n'était pas assez solide) a été salvateur à bien des niveaux. Il est important d'entendre que c'est OK de ne pas réussir du premier coup. C'est OK d'abandonner. C'est OK de reconnaître qu'on a pas encore le niveau ou la maîtrise pour répondre aux attentes de telle ou telle maison.

J'ai connu trop d'auteurs qui se sont acharnés jusqu'à épuisement sur un texte, au point d'abandonner l'écriture devant les refus catégoriques sur le "projet de leur vie". S'acharner des années sur un texte a d'ailleurs parfois l'effet inverse, et peut créer d'autres problèmes, mais ça aussi c'est un débat qui n'a pas sa place ici.

Bref, je pense que tout le monde a écrit un jour un texte qui n'était pas publiable. C'est le principe même de l'apprentissage. Je crois également que la plupart d'entre nous, moi la première, n'ont pas le  niveau pour publier dans certaines maisons très exigeantes en termes de style ou de puissance narrative.

Et échouer parce qu'on ne maîtrise pas encore assez notre narration, ça n'est la "faute" de personne. C'est un état de fait sur lequel on peut se morfondre, ou que l'on peut prendre comme point de départ  pour la suite de notre carrière.

Et, ceci étant dit, je n'ai évidemment aucune idée de si le texte dont on parle est publiable ou non. Je ne l'ai pas lu. Je peux juste me baser sur des données objectives, comme le calibrage, et constater que ça peut faire partie de ce qui rend le texte difficile à publier.

Mais au-delà du roman dont il est question ici...

Ce que je sais, c'est qu'on ne doit pas se fermer à l'idée que notre roman ne soit pas prêt à être édité. Parce qu'on a parfois beaucoup plus à gagner, tant d'un point de vue du temps, que de l'énergie, que de la santé mentale... à faire le deuil et passer à autre chose.


Dernière édition par Azaby le Mar 22 Oct 2024 - 19:08, édité 1 fois
 
CalédoniaRob
   
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merci azaby pour ton intervention. Donc j’avais bien compris 😊

Et merci pour tes éclaircissement sur ton apport à l’auteur en lui disant celà. C’est vraiment intéressant, et je pense que c’est ça que tu devrais expliquer directement, c’est beaucoup moins « cassant » et plus compréhensible aussi 😊
 
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CalédoniaRob a écrit:
merci azaby pour ton intervention. Donc j’avais bien compris 😊

Et merci pour tes éclaircissement sur ton apport à l’auteur en lui disant celà. C’est vraiment intéressant, et je pense que c’est ça que tu devrais expliquer directement, c’est beaucoup moins « cassant » et plus compréhensible aussi 😊

Tu fais bien de mettre des guillemets sur "cassant", parce que je pense qu'il a vraiment plus été question d'interprétation et de projection qu'autre chose...

 
CalédoniaRob
   
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non mais mets toi à la place d’un ou d’une auteur désespéré qui ouvre un topic pour parler de ses échecs qui le hante et le font souffrir. Et je ne parle pas spécifiquement de ce topic pcke ça n’est pas la première fois.

Je pense (peut être que je me trompe) que ton manque d’empathie sur le sujet vient du fait que tu ne t’es tout simplement pas retrouvée dans cette situation toi même.

(je veux dire par là primo romancière plus de 30 refus type ou silencieux, personne ne veut de ton oeuvre ou tu as mis tout ton coeur et ça te fait énormément souffrir)
 
Azaby
   
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CalédoniaRob a écrit:
non mais mets toi à la place d’un ou d’une auteur désespéré qui ouvre un topic pour parler de ses échecs qui le hante et le font souffrir. Et je ne parle pas spécifiquement de ce topic pcke ça n’est pas la première fois.

Je pense (peut être que je me trompe) que ton manque d’empathie sur le sujet vient du fait que tu ne t’es tout simplement pas retrouvée dans cette situation toi même.

(je veux dire par là primo romancière plus de 30 refus type ou silencieux, personne ne veut de ton oeuvre ou tu as mis tout ton coeur et ça te fait énormément souffrir)

Donc tu n'as rien lu de ce que je poste, en fait.

C'est pas grave. Ça reste dispo si jamais tu veux revenir dessus. Sur ce topic, ou sur tous les autres où je suis intervenue et où tu n'as visiblement pas pris le temps non plus de dépasser ton interprétation.

https://www.jeunesecrivains.com/t41585-cicada-philosofiction?highlight=cicada#779306

Le topic posté sur JE pour mon premier roman terminé il y a bientôt 10 ans.

Une soixantaine de maisons contactées. Aucun retour positif. Aucun retour personnalisé. Le journal de bord associé a d'ailleurs été supprimé quelques années après.

Ce roman n'a pas été le seul. Pour chaque roman que je publie, il y en a un qui ne trouve pas preneur, et ça commence à peine à cesser maintenant que l'écriture est devenue mon métier.

C'est précisément parce que je me suis trouvée dans cette situation que je connais l'importance de la remise en question et du lâcher prise. C'est facile de prétendre que je ne sais pas ce que c'est, la galère éditoriale. Mais ça n'est pas vrai pour autant.
 
CalédoniaRob
   
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CalédoniaRob  /  Tentatrice chauve


merci pour cet éclaircissement azaby. Donc je m’étais trompé.

Et non, je ne lis pas tous les posts que tu publies tout le temps, je ne te stalk pas sur le forum, je me connecte par périodes et vais rarement dans les archives. Mais je lirais ce lien que tu post avec un intérêt non feint.
 

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