Bonsoir ! Je suis dans le flou total et j'ai besoin d'aide s'il vous plaît...

Pour récapituler : j'ai un roman terminé Urban fantasy mxm et j'ai soumis mon manuscrit à toutes les ME possibles. Rejeté à chaque fois.

Outre l'impact sur le moral, je ne sais plus quoi en faire, ni ce que je dois faire. J'ai bien entendu parler de l'auto édition mais le souci, c'est que je n'ai aucune rentrée d'argent pour imprimer le tout moi-même et surtout, comment vendre une œuvre refusée par une vingtaine de ME... ?

J'ai pensé à l'abandonner tout simplement mais je n'y arrive pas non plus, j'ai mis une grande partie de mon cœur dedans (c'est pour cela que l'échec est d'autant plus difficile). Alors oui, je sais qu'aucun écrit n'est parfait, ni finalisé à 100% mais être édité à toujours été mon rêve. Et une revanche pour ceux qui m'avaient dit à l'époque qu'être écrivain "c'est pas un vrai métier".

Merci d'avance pour ceux qui me répondent !

Certains JE ici ont envoyé à une quarantaine de ME avant de trouver preneur !

L'as-tu fait bêta-lire ? Laissé reposer quelques semaines/mois ?

Si oui, je te conseillerais soit de poursuivre tes envois, soit d'attendre un peu que la mode tourne, ce n'est peut-être tout simplement pas le bon moment pour lui d'être publié !

C'est quoi de l'urban fantasy mxm ?
Bon et puis 20 ME, au final, c'est peu. Continue tes envois, corrige ton texte, fais-le lire… tout n'est pas perdu, je t'assure.
Si tu ne maitrises pas très bien l'art de la communication, je te déconseille l'auto-édition. Il faut y investir du temps, et oui, un peu de sous.
Quant à prendre sa revanche…je pense que tu risques d'être déçue. Écrivain est peut-être un vrai métier, mais souvent ingrat. Ignore plutôt ces remarques et concentre-toi sur le plaisir et le sentiment de richesse créative que tu peux tirer de l'écriture plutôt que de vouloir convaincre un entourage hermétique au sens que peut revêtir cette activité pour certains.

J'ai eu deux amis en bêta lecteurs et depuis, j'ai modifié plusieurs pans de l'histoire avec les retours des ME (dont celle que je voulais vraiment) mais je ne peux pas leur renvoyer...

Pour mon livre, il s'agit d'un monde parallèle au notre mais plus évolué du point de vue technologique et avec des races de créatures magiques. Le mxm, c'est de l'homoromance masculin.

Mais oui, je ne suis pas à l'aise avec la communication, c'est pour ça que je suis perdue... J'aime être honnête (dans la vie, dans mes motivations vis à vis du lecteur) et je ne suis pas intéressée par les chiffres. Si déjà, je transporte une seule personne dans l'un de mes univers, c'est que j'aurais réussi à réaliser mon but.

Tout d'abord : deux bétalecteurs ne sont pas une garantie de perfection, même et surtout si ce sont des amis.
Ensuite : la qualité du livre n'est pas non plus une garantie de trouver éditeurs !
Et puis : comme cela a déjà été dit, il y a des gens qui envoient encore plus de trente fois.

Toutes les ME possibles ?
Les as-tu choisies attentivement ou lien listées en gros, selon ce que tu trouvais ? La ligne éditoriale compte aussi.

Toutes ces banalitées dites....
Le fait est que l'homoromance n'est pas le plus facile à caser. Le nombre de ME est plus réduit que pour de la Fantasy ou de la SF d'aventure.

Si ton but est avant tout de transporter le lecteur, je te conseille de poster le texte ici, où il pourra faire des heureux et recevoir des commentaires visant à l'améliorer.

Concernant l'auto-édition : pas besoin d'imprimer un stock conséquent. Le tirage à la demande est bien plus économique ! Et il y a aussi la parution en format numérique.

Le M/M n'est pas difficile à placer. Toutes les maisons d'édition de romance en publie maintenant

Au risque de répéter ce qui a été dit plus haut :

1. Es-tu sûre d'avoir envoyé partout ? Tu peux toujours nous lister tes maisons d'édition, peut-être que certains d'entre nous auront des idées supplémentaires pour toi.

2. Les refus ne veulent pas forcément dire que ton texte est mauvais. Ça peut aussi être parce que ça ne colle pas à la ligne édito, parce qu'un livre trop similaire est déjà au catalogue ou à paraître, parce que les thématiques ne sont pas suffisamment bankables, parce que le genre n'est pas à la mode en ce moment...

Les modes éditoriales tournent, changent et finissent par revenir. Il y a quelques années, la dystopie était très à la mode avec Hunger Games, le Labyrinthe, Divergente... Le vent a tourné. La romantasy est maintenant à la mode. Mais ça finira par tourner. Donc, ce n'est peut-être pas ton heure ! Parfois, en ressoumettant dans 2-3 ans, tu peux avoir une bonne surprise. L'édition, c'est aussi beaucoup une question de chance.

3. De quoi a l'air ton dossier de soumission ? L'as-tu aussi fait relire ? Sachant que les manuscrits sont souvent dégagés sur le synopsis seul... il faut que ton dossier son accrocheur pour donner envie !

4. Si tu veux te donner plus de chance... qu'en est-il de ta communication ? Tu as des réseaux sociaux sur lesquels tu es active ? Un compte Wattpad ? Bien sûr, ça ne fait pas tout. Et un auteur n'est pas OBLIGÉ d'être actif sur les réseaux pour se faire éditer... MAIS tu écris de la romance... et la romance, c'est pas mal LE genre où la visibilité sur les réseaux est la plus importante. Le bookstagram, c'est essentiellement de la romance après tout.

5. Il est aussi possible que le texte soit le souci. Pense à le faire lire par des personnes qui connaissent bien la romance, mais qui ne sont pas tes amis ou ta famille, des personnes qui auront un avis objectif ! Tu peux aussi te baser sur tes quelques retours d'éditeurs tout en gardant en tête que chaque éditeur parle en fonction de sa ligne édito et que leurs avis peuvent parfois se contredire.

Est-ce ton premier roman ? C'est rare, les auteurs qui arrivent à faire publier le tout premier roman qu'ils écrivent. C'est rarement le bon. De mon côté, j'ai finalisé 6-7 romans et j'ai écrit pendant cinq ans sur Wattpad (en sachant que j'écrivais aussi avant, mais que c'est à ce moment-là que j'ai pris la chose plus au sérieux) avant de signer mon premier contrat d'édition. Alex Aster, l'autrice du best-seller Lightlark a également révélé qu'elle avait écrit cinq autre romans (qui ne verront jamais le jour) avant celui-là.

Enfin, si tu retravailles suffisamment ton texte, tu peux très bien le renvoyer aux éditeurs qui t'ont fait des refus. Un conseil : change le titre par contre !

Courage avec tes soumissions

Salut Luminia

Avant toute chose : tu en es où dans ton roman ?

C'est un premier jet ? Une réécriture ? Tu as eu des retours suite à des béta lectures ?

Bref, qu'est-ce que tu entends par "terminé" ?

Pour avoir un retour détaillé, je te conseille de le soumettre à la prochaine édition de "murmures littéraires", c'est pas la panacée mais le retour est assez bon tout de même.

Sinon tu peux toujours le poster dans la section roman du forum pour avoir des retours et le peaufiner.

Bonjour Luminiia,

Comme tu écris de l'imaginaire, peut-être tu peux essayer de répondre à des AT et de soumettre des nouvelles ? C'est ce que j'ai commencé à faire quand je voyais que je m'embourbais avec mon roman et mes soumissions aux éditeurs.

Ce n'est certes pas comparable à avoir un vrai long roman publié, mais ça fait toujours plaisir de voir son texte publié dans une revue ou un recueil, voir son nom sur la couverture etc. En plus ça remonte le moral et donne de la motivation pour reprendre l'écriture/réécriture/correction de projets plus longs. Et aussi, personnellement, en comparant mes nouvelles qui ont été acceptées à celles qui ont été refusées, ça me permet de mieux comprendre quels sont mes défauts et dans quelle direction je dois travailler pour améliorer mon roman.

J'ai envie d'appuyer ce que dit Boisée : c'est ton premier roman, c'est quelque part un coup d'essai, et c'est assez rare que les premiers romans soient édités, du moins qu'ils soient édités en premier !
Le meilleur conseil que je pourrais te donner pour ma part, c'est : continue d'écrire. Écris d'autres romans, entraîne-toi, fais évoluer ton écriture, fais-toi plaisir. N'oublie pas forcément ce premier texte, mais essaie tout de même de te faire à l'idée que ce n'est probablement pas celui-ci qui te fera entrer dans le monde de l'édition, même si tu y tiens de tout ton cœur (je connais ce sentiment haha). Tu as l'air de l'avoir beaucoup retravaillé, laisse-le peut-être un peu de côté le temps d'écrire autre chose ! (et peut-être de te rendre compte qu'effectivement, ce n'est pas celui-ci qui sera édité et d'être en paix avec ça)

Hello, quand tu auras suivi tous les conseils des copaines ici, à savoir, faire relire par des BL pro (tu peux aussi mettre quelques chapitres sur ce forum, tu recevras des avis immédiats), peaufiner to dossier de soumission etc...

Tu pourras vérifier si tu as envoyé à https://www.jseditions.fr/ ? Ils font de la romance queer SFFF.

Bonjour,

Je ne sais pas si cela va t’aider, mais j’espère que oui. Et, au fond, je vais dire cela à tous les membres, si jamais cela peut vous aider. Si vous l’avez fait ou le faites, excellent.



En premier, j’appuie tous les conseils que les autres membres ont pu te donner et surtout ce qu’ils ont pointé du doigt : tes compétences ou ton manuscrit ne sont peut-être pas les fautifs des refus. Beaucoup de choses sont à prendre en considération dans le domaine de la vente.

À titre d’exemple (histoire vraie)
À Montréal, quand je cherchais un travail dans les agences de publicités, mes compétences n’ont jamais été remises en question, mais c’était plus mon attitude qui faisait de moi un mauvais candidat (je ne vais pas m’étaler là-dessus, mais j’ai appris).


 
Maintenant, on rentre dans le vif du sujet : d’abord, je commence par une histoire vraie (Yep, encore. J’ai l’impression d’être ce vieux de 80 ans avec toutes mes histoires.)

NB : Je considère que chercher un emploi ou publier un livre reproduisent un peu les mêmes schémas : ça reste se vendre.
 

Contexte : À Montréal, je suis à la recherche d’un travail dans une agence de publicité.
Je me pointe avec mon CV + mon portfolio dans une agence de publicité. À l’accueil, je demande à rencontrer le directeur de création. Les questions habituelles étaient souvent du style « Avez-vous un rendez-vous ? », « C’est au sujet de quoi ? ».

Je leur explique que je recherche un travail et on va très souvent me dire « Désolé monsieur, nous n’embauchons pas. » Aucune problème parce qu’à ce moment-là, je disais « Est-ce qu’il est quand même possible de le rencontrer afin d’avoir son opinion et des conseils sur mes réalisations ? ».

Surprise ! Surprise ! Presqu’à chaque fois, à partir de ma question, j’ai pu discuter avec le directeur de création et présenter mon travail (souvent, je devais quand même attendre dans la salle d’attente assez longtemps. On n’a rien sans rien). Je n’ai pas eu de travail, mais quelque chose de bien plus important qu’un emploi : le feedback d’un professionnel sur mes réalisations et aussi des pistes de recherche.

Piste de recherche : à un moment donné, dans la conversation, je demandais « Est-ce que vous connaissez des agences de publicité qui embauchent ou qui pourraient être intéressées par mon portfolio ? »


Conclusion : Au Québec, dans le milieu de la publicité, par cette méthode, j’ai pu développer énormément mes compétences et, à un moment donné, ça a été payant par un emploi.

Stratégie qui peut se faire par courriel après un message de refus d’une Maison d’Édition.
J’imagine que je reçois un courriel de refus et, en fonction du contenu de ce courriel, je vais envoyer un courriel avec ces deux points :
• Remercier la personne d’avoir pris le temps de lire mon manuscrit.
• Et mes deux questions : des feedbacks pour m’améliorer et des pistes de recherche.

Pour information : aller à la recherche des conseils d’un professionnel est quelque chose que le professionnel va souvent apprécier.
Vous savez aussi bien que moi, ça fait plaisir quand quelqu’un vient vers nous pour avoir des conseils. Nous n’avons pas la nécessité d’être d’accord avec, mais cela nous permet d’avoir de nouvelles perspectives.
 
Donc, ma question est : est-ce que tu sais pourquoi ils ne veulent pas publier (en lien avec le manuscrit) ?
Question qui me parait primordiale. Imagine que ton écrit possède une très grosse faiblesse. Tu pourrais faire 1000 Maisons d’Éditions et toujours finir par des refus et pire, trimballer cette faiblesse dans tes futurs manuscrits. Donc, savoir le pourquoi va être très profitable pour le développement de ta carrière d’écrivain.

20 Maisons d’éditions, c’est quand même 20 professionnels qui peuvent t’aider à comprendre comment réécrire ton manuscrit. Et même si ce n’est pas pour la réécriture de ton premier manuscrit, tous ses conseils peuvent toujours être utilisés sur tes prochains écrits.

Et comme le dit si bien Jimilie Croquette : propose ton premier chapitre sur ce forum et ainsi tu pourras recevoir des feedbacks de qualité de personne avec de solides expériences (pas moi) .
 
Si tu as reçu des feedbacks de qualité sur ton écrit, tu as déjà un point de départ pour corriger. Donc, tu peux travailler sur un autre écrit tout en améliorant ton premier écrit. Ne pas abandonner ton premier bébé, en tout cas pas encore : tu as mis beaucoup de toi dedans.



La dessus

LUMINIIA a écrit:

Et une revanche pour ceux qui m'avaient dit à l'époque qu'être écrivain "c'est pas un vrai métier

Pour moi, la revanche et la jalousie sont des choses qui finissent par nous dévorer de l’intérieur sur le long terme. Pas de bons motivateurs.
 


En bonus :
Voici une chose que j’ai faite et que vous pouvez faire :
Vous envoyez par courriel votre manuscrit à une maison d’édition et après vous les appelez en disant un truc du genre : « Bonjour, je viens de vous envoyer mon manuscrit et j’aimerais savoir si vous l’avez bien reçu, seriez-vous en mesure de confirmer la bonne réception de mon courriel ? Merci beaucoup. »
Par ce moyen, j’ai réussi à avoir des entretiens de travail. Cette stratégie fait qu’on passe en premier. Évidemment pas toujours.
 



Une petite parenthèse :
Savez-vous combien de personnes dans ma vie me disent : « Ça ne se fait pas ! », « C’est impossible ! ». Énormément. Je réfléchis là-dessus et après, je le fais. Ainsi, j’ai récolté bien plus de bénéfices en tout genre. Évidemment, ce n’est pas toujours gagnant, mais 20 % de négatif pour 80 % de positif, moi, j’ai compris. L’audace peut parfois être très payante.

Une petite idée pour vous : rien ne vous interdit de trouver une Maison d’Édition et de simplement leur envoyer votre premier chapitre, seulement pour avoir des retours là-dessus. Ou encore le synopsis de votre futur écrit.



Conclusion : tu n’es pas le premier et tu ne seras pas le dernier, remonte en selle. Courage !





En espérant donner une information pertinente sans insulte ou préjugés. Merci beaucoup.

Bonjour, déjà je vous remercie tous pour vos retours et je vais tâcher de répondre à tout ceci !

1. Pour la bêta lecture, comme je l'ai dis, à part deux amis, je n'ai jamais eu aucun bêta lecteurs car plus d'une fois, on m'a laissé tomber. Je n'ose plus en demander, j'ai peur d'imposer en relançant.

2. J'ai vraiment essayé les ME les plus connus et des AT, quelques exemples : Bookmark, Rivka, HEA, Rebelles, Juno, Titanides, Editheme, Laska, plumeblanche, belial, alter real... Je n'ai pas pu envoyer aux éditions YbY car mon manuscrit est trop long.

3. Mon manuscrit est un 2e jet. Le premier était disponible sur Wattpad ( j'avais 1.3 vues à l'époque) et c'est lui que j'avais envoyé aux ME car à l'époque je voulais faire une duologie. Je sais, grâce aux retours de Bookmark par exemple, que la romance n'était pas assez poussée dans le tome 1 (le tome 1 etait la mise en place du heros et de sa vie d'avant et le tome 2 son évolution). J'ai donc réécrit une partie de l'histoire, terminé l'écriture et fusionné les deux tomes en 1.

4. Je n'ai pas fait relire mon dossier soumission effectivement car je ne connais qu'une auteure et j'ai du mal à demander de l'aide (peur de m'imposer, peur de faire perdre du temps à l'autre alors que c'est "nul", etc.)

5. Poster un chapitre ici ? Pourquoi pas ! Au moins, je n'aurais pas l'impression d'avoir forcé des gens à me lire ^^"

6. Je n'ai pas toujours demandé la raison des refus aux ME car je sais qu'elles n'ont pas de temps à perdre ( c'est fou ce que cette idée ne me quitte pas, peu importe le sujet). Généralement, je recois simplement des refus types... Et Bookmark m'a bien dit que je ne pourrais pas retenter de leur envoyer mon manuscrit à nouveau donc j'en ai conclu que c'était la même chose pour les autres.

7. Un autre souci est que mon manuscrit est trop long. Hors, je ne vois vraiment pas quoi retirer parce que ça me semble pertinent dans l'évolution de mon anti héros. Il doit y avoir environ 170 000 mots.

Merci encore pour tous vos messages ! Merci beaucoup.

170 000 mots, c'est environ 1 190 000 caractères.

Je suis au regret de te dire que c'est trop long et que c'est sans doute un des motifs de refus sans même lire ton manuscrit. Il faut couper en deux.

Ce qui génère un autre problème : les éditeurs sont peu friands de sagas.
Une option, et je suis bien consciente que ça peut être décourageant, c'est de redécouper ta narration/ton texte pour faire un premier tome de 100 000 mots max qui tienne par lui-même. Tu peux préciser dans la lettre d'intention que la suite du roman est écrite entièrement (inclure le synopsis).

Un peu comme si de Harry Potter, seul le T1 était paru.

De manière totalement préjugée car je n'ai pas lu ton roman (donc je te laisse juger si je dis ou non une bêtise) : je pense spontanément à un risque dans le rythme. S'il faut 80 000 mots de "mise en place du héros" (je cite "mise en place du heros et de sa vie d'avant") c'est casse-gueule. Il faut entrer dans l'action immédiatement. Personne ne souhaite lire 300 pages de mise en place.

A voir si cette mise en place du héros est réellement utile à ton intrigue ou si c'est du "lore" qu'il est bon pour l'auteurice (toi) de maîtriser mais qui n'a pas vraiment d'impact pour les lecteurices. Dans ce second cas, couper, couper couper.
Quant aux parties utiles à ton intrigue, y faire référence via des chapitres de flashback, des dialogues, etc, intégrés à l'intrigue.

Mais encore une fois, je n'ai pas lu et me trompe peut-être. C'est cette phrase ""mise en place du heros et de sa vie d'avant" qui m'alerte.

Je sais bien qu'ils n'aiment pas les sagas, d'où le fait que j'avais réécrit une partie pour fusionner les deux tomes mais oui, c'est long.

Pour ma phrase concernant le héros et sa vie d'avant, j'ai déjà retiré cette partie et je compte faire des histoires, plus courtes, comme des spin-off sur d'autres personnages et notamment ses parents.

Je ne vois pas vraiment où découper le texte par contre...

Il faudrait vraiment que tu fasses relire ton dossier de soumission, ainsi que ton texte

Et aussi... Je pense que tu as mal ciblé tes ME... Certaines sont OK, mais il me semble ÉVIDENT que si tu envoies de la bit-lit chez Bélial tu te fasses refuser Cette maison d'édition ne publie pas de romance ! As-tu tenté Hugo, &H, Korrigan/City, Shingfoo, BMR, etc. ?