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| Du fameux mythe de l'auteur inconnu | |
| | Nombre de messages : 1296 Âge : 43 Localisation : La Paz Bolivie Date d'inscription : 21/01/2022 | CalédoniaRob / Tentatrice chauve Mer 20 Déc 2023 - 2:36 | |
| | Nombre de messages : 511 Âge : 38 Date d'inscription : 20/01/2013 | Verowyn / Gloire de son pair Mer 20 Déc 2023 - 10:54 | |
| Le type qui a un seul message, 16 ans affiché à son profil mais qui prétend avoir une certaine expérience du milieu de l'édition et qui déterre un topic dont le dernier message a plus d'un an et demi avec un "c'est important pour le forum"... moui, je confirme le diagnostic de troll.
Bien sûr que les services manuscrits reçoivent des tas de textes illisibles ou pas aboutis. Pour autant, un refus ne veut pas dire que votre texte est illisible ou pas abouti. Il peut y avoir des dizaines d'autres raisons au refus, dont un catalogue surchargé par les auteurs "maison" - sans même aller jusqu'au copinage, mais les grandes ME ont déjà du pain sur la planche rien que pour continuer à publier l'œuvre des auteurs avec qui elles travaillent déjà. C'est un sophisme pur et simple que de dire "les ME refusent de très mauvais manuscrits, donc si le vôtre est refusé, c'est qu'il est très mauvais." |
| | Nombre de messages : 1126 Âge : 51 Localisation : Paris 20 Date d'inscription : 04/08/2022 | josephcurwan / Effleure du mal Sam 15 Juin 2024 - 9:20 | |
| pour notre ami nietzschéen :
nietzsche et proust ont été contraints au compte d'auteur.
celine et beckett on été refusés par des grands éditeurs.
les gros éditeurs publient beaucoup de merdes.
il faut choisir entre le commerce et la littérature.
(si vous connaissez du monde dans l'édition,
je vais essayer d'être votre ami pour me faire pistonner.) |
| | Nombre de messages : 203 Âge : 36 Date d'inscription : 19/02/2021 | questiondepointure / Autostoppeur galactique Mer 24 Juil 2024 - 11:56 | |
| En résumé: les services manuscrits c'est du flan, ils ne lisent rien et tout fonctionne au piston. J'aurais pu le dire aussi, mais merci de le confirmer avec autant de détails La plupart des maisons d'éditions actuelles ne sont même pas fichues de faire relire leurs livres (qui sont de plus en plus bourrés de coquilles), alors pour les manuscrits vous imaginez un peu... J'ai eu le malheur d'acheter l'année dernière un roman érotique d'une maison d'édition pourtant assez connue. Il y a une faute de frappe toutes les dix-quinze pages. Et c'est comme ça dans presque tous les livres que j'achète ces dix dernières années. Que faire face à ça ? La même chose qu'avec la presse et tout le reste: arrêter d'en acheter et privilégier les offres alternatives. J'ai réduit drastiquement ces derniers temps mon budget livres, qui était certes démesuré, et j'essaye autant que possible de trouver des pdf gratuits, des livres d'occasion, des maisons d'édition alternatives, etc. |
| | Nombre de messages : 69 Âge : 28 Date d'inscription : 11/06/2018 | Arnina / Clochard céleste Jeu 25 Juil 2024 - 0:43 | |
| - questiondepointure a écrit:
- En résumé: les services manuscrits c'est du flan, ils ne lisent rien et tout fonctionne au piston. J'aurais pu le dire aussi, mais merci de le confirmer avec autant de détails
Loin de moi l'idée de fausser vos statistiques par mon biais du survivant, mais étant une nobody complète sans aucun piston, j'ai signé dans une des plus grosses maisons d'édition du marché. Ils lisent les manuscrits (potables, bien sûr si le début est nul faut pas s'étonner qu'ils arrêtent). Ils cherchent des œuvres qui leur plaisent. Une de mes éditrices me parle régulièrement des nouveaux manuscrits que leurs services lecture de nouveaux manuscrits leur soumettent : elle est enthousiaste etc. Et il y a parmi eux des auteurs nobody. Alors oui, ça demande beaucoup de chance. Faut que le mec qui ramasse ton manuscrit ait un coup de coeur, et ça c'est comme les rencontres : du hasard. Je pense qu'il faut cesser de se préoccuper du piston, des chances infimes d'être édités etc, et juste écrire des bons livres. Plein. Les envoyer. Et provoquer la chance. |
| | Nombre de messages : 5 Âge : 17 Date d'inscription : 19/12/2023 | Etredanslesiecle / Magicien d'Oz Jeu 25 Juil 2024 - 17:05 | |
| - Arnina a écrit:
- questiondepointure a écrit:
- En résumé: les services manuscrits c'est du flan, ils ne lisent rien et tout fonctionne au piston. J'aurais pu le dire aussi, mais merci de le confirmer avec autant de détails
Loin de moi l'idée de fausser vos statistiques par mon biais du survivant, mais étant une nobody complète sans aucun piston, j'ai signé dans une des plus grosses maisons d'édition du marché. Ils lisent les manuscrits (potables, bien sûr si le début est nul faut pas s'étonner qu'ils arrêtent). Ils cherchent des œuvres qui leur plaisent. Une de mes éditrices me parle régulièrement des nouveaux manuscrits que leurs services lecture de nouveaux manuscrits leur soumettent : elle est enthousiaste etc. Et il y a parmi eux des auteurs nobody. Alors oui, ça demande beaucoup de chance. Faut que le mec qui ramasse ton manuscrit ait un coup de coeur, et ça c'est comme les rencontres : du hasard. Je pense qu'il faut cesser de se préoccuper du piston, des chances infimes d'être édités etc, et juste écrire des bons livres. Plein. Les envoyer. Et provoquer la chance. Si mon message précédent était très déplacé et s’acharnait sur les frustrés des manuscrits, je crois que celui-ci donne un excellent signal à tous les jeunes écrivains (j’en fais partie) pour persévérer et conserver leur ambition. Et non je ne troll pas, j’ai le droit d’avoir 16/17 ans et de dire de temps en temps des bêtises. Néanmoins, par rapport à la dernière fois, j’affirme toujours que dans que dans la grosse ME dans laquelle j’ai effectué un stage (et je ne troll toujours pas), au moins celle-ci, le piston n’est pas une option, tout en sachant que l’apparition de nouveaux auteurs se fait rare depuis le service des manuscrits, étant donné d’un côté l’absence d’effort littéraire, ou simplement du hasard et d’une rencontre « coup de cœur » entre l’éditeur et l’auteur. Moi-même qui ai une ambition littéraire, je veux absolument me détacher professionnellement d’un parent proche qui travaille dans un poste à responsabilité dans la ME en question, parce que je pense que c’est en persévérant pour avoir une réponse positive en partant de rien que je vais me permettre de gagner plus de confiance en moi. Non pas que ce que la ME publie soit gage de la légitimité ou de la qualité de ce que j’écris, mais que son nom suffise à attirer ensuite plus de lecteurs. C’est une vision commerciale de la littérature que j’assume, sans pour autant lésiner sur le travail du style et sur une forme de révolution littéraire (oui c’est ambitieux et ça peut paraître pompeux). Céline écrivait le Voyage pour se faire de la thune, il disait plus tard que ça ne lui avait apporté que des emmerdes. Je verrai… (Oui encore un trait de prétention) Il est vrai que Céline et Proust se sont fait rembarrer par le bon vieux Gaston, d’ailleurs, lui et Gide ont vite compris l’étendue de leur erreur et ont bien ramené les deux génies dans leur giron… Donc finalement, l’auteur finit par être reconnu ou déniché… Souvent. D’ailleurs ils ont la chance de pouvoir être reconnus et appréciés de nos jours. |
| | Nombre de messages : 182 Âge : 45 Date d'inscription : 12/03/2024 | Caius Pertinax / Tycho l'homoncule Jeu 25 Juil 2024 - 18:08 | |
| - Citation :
- j’affirme toujours que dans que dans la grosse ME dans laquelle j’ai effectué un stage (et je ne troll toujours pas), au moins celle-ci, le piston n’est pas une option
- Citation :
- je veux absolument me détacher professionnellement d’un parent proche qui travaille dans un poste à responsabilité dans la ME en question
Brillante démonstration. Merci. |
| | Nombre de messages : 5 Âge : 17 Date d'inscription : 19/12/2023 | Etredanslesiecle / Magicien d'Oz Jeu 25 Juil 2024 - 19:05 | |
| CAIUS PERTINAX, je ne vois pas en quoi le fait de faire un stage dans cette ME est gage de piston dans un projet d'écriture. Ce stage m'a d'ailleurs permis de comprendre qu'il n'y en avait pas à cet endroit d'un point de vue littéraire, non pas qu'on me l'ait répété ou fait comprendre, mais que j'ai pu observer moi-même le travail des trois personnes qui se consacrent à l'examen des manuscrits quotidiennement.
Et comme tu l'as très bien cité, je ne voudrais pas qu'au futur on puisse reconnaître mon nom sur un livre, faire ses petites recherches, et dire que j'ai été pistonné.
Aussi je suis désolé de de type de réaction, alors que j'ai justement tenté de nuancer mes propos. Je te trouve peu "PERTINAX" |
| | Nombre de messages : 4690 Âge : 28 Localisation : Bureau Pensée du jour : Pétit coucou Date d'inscription : 12/05/2012 | Radischat / Dr. Danielle Jackson Jeu 25 Juil 2024 - 21:01 | |
| Eh beh, ça s'échauffe un peu ici, dis donc. Merci de ton témoignage malgré la généralisation, Etredansleciel ! Et évitons, Caius, d'attaquer un ado sur son stage d'observation de lycée, c'est pas vraiment sympa.
Loin des théories conspirationistes ou c'était-mieux-avant-iste, faut aussi comprendre que pour être publié, il ne faut pas juste terminer un roman et basta. Et je ne parle pas de marketing, mais bien d'écriture pure : les premiers romans, les écrits qui ont été couvés pendant dix ans, sans aucun regard extérieur... ne vont pas trouver preneur. Et au delà du manuscrit, qui doit pouvoir se laisser lire, au minimum, il faut pouvoir parler de son projet, l'expliciter.
Lettre d'intention et ou synopsis, ces exercices sont essentiels pour vous jauger vous, en tant qu'autrice : tout ça implique un projet arrivé à maturation, sur lequel vous avez du recul et une vision claire et précise. Il faut savoir se positionner, cibler, et ne pas envoyer n'importe quoi à n'importe qui non plus. Au possible, viser les appels à texte, c'est un bon plan.
Et même après tout ça, tous les bons romans, aboutis et appréciables ne plaisent pas, et tous ne peuvent pas rentrer dans le planning de publication. Et passé un certain stade de qualité, certains manuscrits peuvent se permettre de "pêcher" sur le fond et porter sur la forme, et vice versa. Aucun roman n'est parfait, y'a toujours de la marge d'appréciation.
Donc ouais, c'est pas simple ; n'empêche que des illustres inconnu·es, y'en a chaque année en maisons connues, cf ce forum, même. J'irais presque à dire que si vous êtes ici, statistiquement... vous êtes sur la bonne voie. |
| | Nombre de messages : 65 Âge : 32 Date d'inscription : 17/08/2023 | Azharoth / Clochard céleste Jeu 25 Juil 2024 - 22:29 | |
| Je pense que comme dans toute chose, la vérité se trouve dans le juste milieu. Ce n'est pas impossible d'y arriver en étant personne par l'envoi de manuscrits, mais c'est sûr également qu'être pistonné aide grandement. A cet égard j'ai vu il y a quelques mois une interview du patron de la volte qui avouait n'avoir jamais publié personne dans sa maison via le service manuscrit par exemple. Je pourrais envoyer le lien si nécessaire. |
| | Nombre de messages : 1288 Âge : 26 Date d'inscription : 13/09/2015 | Azaby / Tentatrice chauve Jeu 25 Juil 2024 - 23:15 | |
| Je pense qu'il est important dans ce débat de préciser que le réseau professionnel est différent du piston.
C'est vrai que les ME, petites comme grosses, privilégient des auteurs qui ont déjà de l'expérience. Mais ce n'est pas que pour des questions marketing, c'est surtout qu'il est bien plus rassurant de travailler de façon professionnelle avec quelqu'un qui a déjà roulé sa bosse dans le milieu. J'avoue que je n'ai pas en tête la moindre connaissance qui ait été publiée sur simple recommandation. Le piston existe, évidemment, mais je ne crois vraiment pas qu'il soit une pratique si courante que ça.
Depuis que j'édite de façon régulière et professionnelle, 100% de mes parutions sont faites grâce au réseau. Sur mes 3 parutions de cette année et les 5 à venir en 2025, toutes sont issues de contacts éditoriaux communiqués par d'autres auteurs, ayant entraîné des relations privilégiées avec les éditeur/ices. En lisant ce topic, j'ai remonté le fil de mes propres parutions et j'ai réalisé que ma dernière soumission spontanée à un service de manuscrit ayant abouti sur un oui date d'il y a déjà plus de cinq ans. Ces dernières années, c'était un contact qui refilait un contact, qui refilait un contact : cette réaction en chaîne a été lancée... parce qu'une éditrice traînait sur JE et a lancé un de mes romans.
Ce n'est pour autant pas du piston. C'est se construire un réseau naturel lorsqu'on s'immisce dans un milieu comme celui-ci.
Je n'ai aucun chiffre à sortir du chapeau, mais il est évident que les primo-romanciers sont une minorité dans le cheptel d'auteurs des ME. Il en existe, pourtant, qui permettent aux auteurs débutants de mettre le pied à l'étrier.
Parmi les auteurs qui ne sont pas des nouveaux venus, il n'y a pas que des têtes d'affiche. Il y a une infinité de nuances entre être un inconnu et être un auteur à succès.
Lorsqu'on débute, m'est avis qu'on ne devrait pas forcément avoir le succès en ligne de mire, mais plutôt l'étincelle qui permettra à la machine de se lancer et au réseau de se créer. Certains auteurs décollent d'emblée, mais pour la plupart d'entre nous, le succès se construit petit à petit, en s'imprégnant du milieu et en en découvrant les acteurs. |
| | Nombre de messages : 1265 Âge : 37 Date d'inscription : 11/07/2022 | Mika / Tentatrice chauve Ven 26 Juil 2024 - 2:17 | |
| Je pense que le piston existe, ça se voit quand la femme d'un bourge publie ses bouquins chez un pote de son mari qui est éditeur. Tu trouves ce genre de bouquins édités chaque année.
Il est inutile de comparer ce qui se passe de nos jours à l'édition du siècle passée. Déjà, peu de gens étaient lettrés et l'écriture était réservée à l'élite. Tu avais donc bien moins de manuscrits soumis et une production moins importante. Le cas de Proust est souvent cité, mais il est incomparable à nous autres : le gars était un over-bourge qui traînait avec la noblesse. Quand des ME ont refusé son texte, il a payé pour être édité (et attention, à l'époque, c'était possible voire courant pour les bourges, car c'était un service proposé par des maisons d'édition à compte d'éditeur. Ce n'est pas comparable aux arnaques actuelles). Le mec avait les moyens, il a ensuite payé pour recevoir des critiques positives, j'imagine pour se la pèter face aux écrivains de métier. Je pense que ce n'est pas quelque chose qu'on souhaite pour soi-même ou ce serait la ruine absolue, à moins d'être dans une situation similaire (super riche et envie de gloire).
Je pense que le but d'une ME est de se constituer une "écurie" d'écrivains avec qui elle travaillera dans le futur. Travailler avec quelqu'un en qui vous avez confiance et qui a fait ses preuves par le passé me paraît une démarche logique et saine, alors que trier tous les manuscrits d'une boîte mail doit prendre un temps fou (je le vois quand je fais une BL, ça me prend minimum un mois alors imaginez 1000 bouquins du genre à lire sur un an quand vous êtes seulement 2 ou 3 !). D'où le fait qu'on râle en tant qu'écrivains de leurs mails moisis ou de leur absence de mails. Ils doivent avoir une stratégie pour aller vite, elle n'est pas parfait et leurs méthodes criticables - tri sur synopsis, sur la première page etc - Elles doivent mettre de côté un bon paquet de bouquins prometteurs, mais dont le début est maladroit, la lettre naze, avec des coquilles, trop vu et revu, qui mêle les genres ou qui est bon mais difficilement classable dans leurs collections ou tout simplement pas ce qu'ils cherchent, pour ne citer que quelques exemples de refus de base.
Du coup, en tant que primo-auteur, faut essayer de se faufiler là où on peut. Je pense que l'idéal est d'envoyer lors d'appels à texte ou d'arriver quand la maison cherche ses poulains. Envoyer spontanément, je ne pense pas que ce soit porteur. Sans AT, la chance que le mail contenant ton manuscrit soit ouvert doit relever du miracle. Je le déconseillerais, à moins que quelqu'un ait été accepté par candidature spontanée ?
Et je rejoins Azaby, utiliser son propre réseau professionel n'est pas du piston. C'est comme ça que ça marche absolument partout, incluant l'édition. |
| | Nombre de messages : 65 Âge : 32 Date d'inscription : 17/08/2023 | Azharoth / Clochard céleste Ven 26 Juil 2024 - 4:45 | |
| - Azaby a écrit:
- Je pense qu'il est important dans ce débat de préciser que le réseau professionnel est différent du piston.
Je ne sais pas trop où tu situes la différence, parce que dans mon monde, faire jouer son réseau pour obtenir un résultat, ça s'appelle du piston. Non pas que je te le reproche, tout le monde en ferait autant à ta place, mais j'avoue être perplexe quant à ton message. |
| | Nombre de messages : 1265 Âge : 37 Date d'inscription : 11/07/2022 | Mika / Tentatrice chauve Ven 26 Juil 2024 - 4:59 | |
| Pour ma part, je pense que notre carrière est constituée de belles rencontres. Si un moment, tu es dans la mouise et que quelqu'un te tend la main, ce n'est pas du piston, mais parce que tu as travaillé et sué avec cette personne un moment et qu'elle te rend l'ascenseur. Ainsi, si un éditeur avec qui tu as un jour travaillé te conseille à un confrère, parce qu'il aime ton travail et t'apprécie en tant que personne, ça s'appelle du réseau.
Si en revanche tu couches avec un éditeur qui publie ensuite ta croute ou que ton père est éditeur et publie ton livre juste parce que c'est toi et qu'il ne le ferait pas pour un autre enfant tout aussi nul, ça s'appelle du piston.
Dans le premier cas, on reconnait (et on recommande) ton travail. Dans l'autre, même si ton travail est hyper nul, on te recommande en tant que personne, par nature en quelque sorte, parce que tu es un membre de la famille ou un proche de l'éditeur, ou pour continuer de profiter de tes faveurs sexuelles. Je trouve qu'il n'y a pas photo. |
| | Nombre de messages : 2832 Âge : 29 Localisation : Entre le Rohan et Malaz Date d'inscription : 15/12/2016 | Jedewyn / Roberto Bel-Agneau Ven 26 Juil 2024 - 7:22 | |
| - Azharoth a écrit:
- Azaby a écrit:
- Je pense qu'il est important dans ce débat de préciser que le réseau professionnel est différent du piston.
Je ne sais pas trop où tu situes la différence, parce que dans mon monde, faire jouer son réseau pour obtenir un résultat, ça s'appelle du piston. Non pas que je te le reproche, tout le monde en ferait autant à ta place, mais j'avoue être perplexe quant à ton message. La nuance d'Azaby me paraît juste : - piston due à ton sang/rang : rien à faire, papa-maman-tonton-tata te publiera de toute manière. Aucune goutte de sueur à verser. Plus qu'à attendre la publication les doigts de pieds en éventail. - piston due au réseau que tu t'es construit : tu as BOSSE pour l'obtenir, ce réseau, et tu continues de le faire chaque jour ! On ne peut pas sous-estimer les efforts fournis (réseauter en salons, mettre la gomme sur sa com...) tant ça nous pompe de l'énergie, physique et mentale. Donc perso, je valide la nuance. |
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