Tiens, tiens, Pasiphae, tu me donnes des idées d'écritures d'un ouvrage de maths destinés aux profs des écoles...
Tu dis ne pas connaitre la moitié de ces choses (comprendre). Peut-être en comprends-tu certaines sans en connaitre les termes exactes, et dans ce cas-là tu les comprends (connais).
Que les profs des écoles les connaissent est utile dans le sens de l'utilisation riche, juste et précise des mots devant les enfants. Parce que l'enseignement passe aussi par ce contact là.
Logique ou technique, chacune des ces notions apparait à un moment ou un autre dans l'école (ou en est proche). De nombreuses erreurs sont commises hors de l'école dans leurs utilisations, dans les cercles divers dont la famille, dans les médias, par les référents politiques, etc. Il est juste bon qu'elles ne le soient pas par les profs, et ce même si les élèves n'en ont pas conscience. Je crois que cela doit faire partie de l'enseignement dû à nos enfants, celui qui lui permet d'adopter un esprit critique, de construire ou résister avec les armes de la conscience.
Elles ne sont pas éloignées des programmes de l'élémentaire. Je pourrais t'en donner des exemples pour chacune, et leur intérêt. Je ne doute d'ailleurs pas que tu le fasses. Mais même si elles l'étaient, il est bon que le maître soit au-dessus de ce qu'il enseigne.
Je vais me faire taper sur les doigts, mais mon avis (que j'ai le droit d'avoir) est que plus le prof est au-dessus de ce qu'il enseigne, mieux c'est. Question de vue d'ensemble.