inconnuaubataillon a écrit:

Traduction ?

À la première pique, certains ne peuvent plus se tenir, même quand ils n'ont rien à dire. Ça va mec, assume tes positions.

C'est quand même dommage de venir critiquer les chiffres dans un topic dont la question principale est "combien?"

Bravo pour ces chiffres

Pour les 6 premiers mois, le Banc d'Arguin m'a dit avoir vendu, pour sa part, 6 livres... (j'avais fait perso un mailing général renvoyant vers lui), j'attends sa reddition contractuelle à 10 mois d'ici la fin septembre. Sur FB il déclare avoir 104 librairies clients et 5 bibliothèques.

Outch ils n'ont pas vraiment l'air d'assurer... Ils ont un diffuseur/distributeur? Ou font-ils tout eux-même?

Non pas de diffuseur, rien, un site et qq sites marchands.

E

Je baille.

(C'est toujours pas le sujet)

On voit que les craintes de l'auteur du topic étaient malheureusement fondées : dès qu'on parle de chiffres, ça fâche.

Merci à tous les auteurs qui ont répondu, c'est chic de votre part de jouer la carte de la transparence

Pour la discussion de base, je pense que, pour un premier ouvrage, atteindre les 400/500 ventes en dehors de son cercle de connaissances sur une année, c'est un bon début.

J'ai eu l'occasion de discuter avec plusieurs auteurs auto-édités. Quasiment tous me disaient que 150 exemplaires sur 3 mois, c'était un bon démarrage (ils ne précisaient pas si cela incluait les connaissances ).

Mon livre va paraître au cours du mois prochain, donc je n'ai pas de chiffres à avancer mais j'espère parvenir à en écouler 300 au cours de la première année .

Concernant, la "deuxième discussion", je ne vois pas non plus pourquoi on devrait cacher les revenus de la vente. Ceux qui ne souhaitent pas le donner peuvent ne pas le faire, je comprends tout à fait ce point de vue. Mais laissez donc ceux qui souhaitent en parler et partager leur expérience de la vente le faire sans les taxer de "bourgeois" ou je ne sais quelles autres idioties.

Je suis d'accord avec toi inconnuaubataillon, mais je ne pense pas que l'on puisse résumer les divergences de points de vues au monde anglo-saxon VS le monde révolutionnaire français. A l'âge d'or de la Hollande (16e/17e si je ne me trompe pas), la société néérlandaise était déjà imprégnée d'une très grande pudeur vis à vis de l'argent. Je pense que ce sont des faits de sociétés qui conduisent à ces comportements. Pour notre cas, la révolution y est certainement pour beaucoup. Nous pourrions également parler de la question coloniale, des doctrines blanches et autres qui renvoient indirectement à une question d'argent. Mais là, ça irait très loin

Bref, c'est à mon gout un excellent sujet de conversation

E

Certains ont dépassé la zone de lecture et ont lu ma signature par erreur, j'ai l'impression.

E

Enfin, Louise Michel, c'est surtout la Commune de Paris

"Quand nous chanterons le temps des cerises..."