Psychologie de comptoir : on tombe sur des cas rapport à notre propre "casuité". Bref, comme dit ce bon vieux Jésus : on aime son prochain comme soi-même.
Et pas-psychologie de comptoir : tu crois pas que c'est jeune 20 ans, pour statuer ainsi ? Mais si c'est juste pour déconner, je dis plus rien. Après, tu peux toujours te servir de l'écriture pour tout déchirer de l'amour, et remettre ça plus sereinement.

C'est jeune, mais c'est comme ça. De toute façon je ne me plains pas, je le vis très bien. Je suis plus heureuse seule. C'est un fait. Pourquoi m'encombrer ? Franchement si ça me plais comme ça je ne vois pas pourquoi je m'embêterais. Chacun fais ses choix (et quand on me connais on sais que je suis capable de changer d'avis en moins de deux secondes..., j'ai écris un texte pour le concours arlequin, qui résume assez bien ma façon de penser, et c'est embrouillé, c'est tout à fait ça en fait) Après pour l'écriture, je ne veux pas trop amocher toutes mes histoires d'amour, je varie, et parfois je crée des belles histoires, mais ça ne me parais jamais réaliste dans ce cas.
Peut-être qu'un jour, je pourrais remettre ça plus sereinement, mais à mon avis, j'aurais besoin de quelques années encore.

Mwouais, genre.

...

Bah t'en pense ce que tu veux hein... Ton problème, pas le mien. J'oblige personne à me suivre.

J'espère bien.

L'amour a autant de place dans ma vie que dans mes écrits. Une place importante, mais pas omniprésente.

Pareil.

L'amour dans nos écrits revêt forcément la vision qu'on en a : elle est nourrie de nos aspirations, de nos fantasmes, de nos influences (littéraires et/ou cinématographiques), de notre vécu, de nos phobies aussi...

Gaufrette: effectivement, niveau relation tu as fait fort. Mais tomber sur des connards, ça fait malheureusement partie du jeu.

En ce qui me concerne, je ne désespère pas, même si j'ai un peu perdu des mes illusions à ce sujet suite à quelques malheureuses histoires. Mais je positive. Quand je suis amoureuse, j'ai l'impression d'être meilleure.
D'ailleurs, même mon entourage me dit que je suis plus supportable quand j'ai quelqu'un car je deviens plus tolérante. Moins exigeante, moins...rigide.

Dans la littérature, j'aime l'amour qui n'aboutit pas, celui qui est sujet à la tourmente...
Bon et après j'avoue que je fais de la discrimination, mais une belle histoire qui se passe dans un cadre qui ne me parle pas ( une histoire d'amour, ou une histoire moins axée sur ce thème), et bien ça ne passe pas.
Je ne pourrais pas expliquer pourquoi, ça me fait tout simplement pas vibrer.

Prenons exemple sur l'Afrique par exemple. C'est juste LE continent qui ne me parle pas du tout et ne m'évoque AUCUNE poésie. Rien de rien. Pourtant je suis déja allée en Afrique et j'en garde un bon souvenir, mais ça ne va pas plus loin. Regarder Le roi Lion, ok, mais ça s'arrête là!
J'opère aussi cette sélection quand j'écris du coup. La présence de l'hiver, dans un endroit Nordique, prépondérance du mauvais temps, endroit isolé... ça revient assez souvent ça dans mes textes.

Mais voila, l'amour en gros ne me suffit pas, il faut que le cadre m'inspire. Une histoire d'amour en Espagne en 39-45, je passe mon tour par exemple. C'est idiot, j'en conviens.

Ahava-brumes a écrit:

D'ailleurs, même mon entourage me dit que je suis plus supportable quand j'ai quelqu'un car je deviens plus tolérante. Moins exigeante, moins...rigide.

Moi on me dit le contraire Je ne dois pas être faite pour ça... Mais tu as raison de ne pas désespérer, je ne suis pas un exemple à suivre

Ahava-brumes a écrit:

Prenons exemple sur l'Afrique par exemple. C'est juste LE continent qui ne me parle pas du tout et ne m'évoque AUCUNE poésie. Rien de rien. Pourtant je suis déja allée en Afrique et j'en garde un bon souvenir, mais ça ne va pas plus loin. Regarder Le roi Lion, ok, mais ça s'arrête là!

Un Disney Shakespearien... qui se passe dans la Savane. C'est un début.

Je te conseil de lire un peu Amadou Hampâté Bâ, il a écrit des choses très intéressantes. Notamment des trucs sur des légendes et des contes africains.

J'ai jamais aimé les histoire d'amours, soit c'est gnangnan soit faussement dramatique, c'est pas du tout un theme qui m interesse.

Mais en même temps ça fait partie de la vie, et sans etre un élément centrale de l histoire ça peut etre un moteur a certains personnages.

Etant un sujet intemporel, je considère l'amour comme l'un des thèmes d'où sont nés les plus grands chef-d'oeuvres (comme par exemple Roméo et Juliette, le Cid, Belle du Seigneur etc.)
-> Après, je ne compte pas les daubes du genre Twilight...
C'est vraiment un sujet incontournable mais seulement quand il est bien traité.

Pour ma part, l'amour est le pilier central de mon roman. ^^ (avec les thèmes de la mort et la destruction. Ca promet )
Mais c'est sûr qu'avec un sujet aussi vieux que le monde, il faut innover.

Morgoth a écrit:

J'ai jamais aimé les histoire d'amours, soit c'est gnangnan soit faussement dramatique, c'est pas du tout un theme qui m interesse.

C'est une vision très réductrice que celle-là. Même en parlant de livres dont le thème est central est l'amour... (Ce qui est assez rarement le cas je pense, à part dans la littérature médiévale) Et je ne vois pas en quoi une histoire d'amour peut être faussement dramatique.

A part si tu parles des récits bidons, mais ça y en a dans tout les domaines et de toute époques.

Bah, il a le droit. C'est un ressenti personnel. peut-être relatif à un vécu.

Par exemple: Jane Eyre, j'ai beaucoup aimé, mais je trouve ça parfois gnangnan. Surtout le coup de Rochester qui se déguise en diseuse de bonne aventure et parle avec Jane Eyre pour savoir ce qu'elle ressent.

Je suis en kiff intégral sur le fantôme de l'opéra (j'aime le livre, la comédie musicale, le film tiré de la comédie musicale, la chanson phare tiré de la comédie musicale, et même la reprise de Nightwish! Donc, à ce rythme, je pense qu'on peut dire que je suis fan, hein? ). Pour moi c'est beau, c'est fort, c'est triste. Bref, c'est pas gnangnan. Mais si quelqu'un me dit "euh ouais, bon, en fait c'est un fantôme qu'est amoureux de Christine, il peut pas l'avoir, il devient jaloux, blablabla... c'est du déja vu! Vraiment gnangnan", bah je vais pas le contredire. Parce que d'un côté ça peut être vrai (mais je me refuse à mettre cette œuvre du même niveau qu'un bouquin écrit par Erica Spindler) et ça reste un avis personnel.
Tout comme moi, je vais trouver Jane Eyre gnangnan et d'autres non. (Et j'aime ce livre quand même)