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| Quelle est la place de l'amour dans vos écrits? | |
| | Nombre de messages : 728 Âge : 49 Localisation : Montréal Date d'inscription : 12/06/2012 | idmuse / Blanchisseur de campagnes Mer 8 Jan 2014 - 23:34 | |
| Exact, tout pareil! C'est un fil conducteur, mais entre le début et la fin, y'a des tas d'Autres trucs. Enfin, dans mes séries, pas dans tout |
| | Nombre de messages : 479 Âge : 37 Date d'inscription : 19/09/2013 | sosotess / Pour qui sonne Lestat Sam 11 Jan 2014 - 18:26 | |
| Je ne suis pas une grande romantique. Il y a de l'amour, c'est inévitable, mais plus en second plan, et souvent ça se termine en trahison ou en drame. L'amour familial, l'amitié et même la haine ont tendance à prendre plus de place dans mes histoires. Je ne conçois pas d'écrire une romance, si ce n'est sous forme de nouvelle, et je doute qu'elle se termine avec des feux d'artifice. |
| | Nombre de messages : 2 Âge : 26 Pensée du jour : « Another time, another place. » Date d'inscription : 16/01/2014 | Olivialde / Début de partie Jeu 16 Jan 2014 - 19:30 | |
| En lisant tes questions, je me suis rendue compte qu'il y avait de l'amour dans... la totalité de mes écrits. ._.
J'aime écrire des histoires d'amour tout simplement parce que ça fait partie intégrante de la vie de tous les jours, qu'il est partout et pas simplement en tant qu'amour passionnel ou de "couple". Il y a tellement de façons d'en parler et de l'aborder, ça peut être une relation où se mêle l'amour et la haine, une relation d'amour filial, l'amour qu'on peut ressentir dans ses plus fortes amitiés ou juste l'amour fusionnel, extrême, charnel. On peut en parler d'une façon comique, romantique, tragique ou noire et dure. Je pense que c'est l'un des aspects que je préfère dans les romans, voir quelle relation a été tissée entre chaque personnage et à quel point et à quel niveau ils s'aiment ou non. De plus, c'est un thème universel qui a été abordé dans des tas de livres, et il est facile d'en parler parce que tout le monde aime et a aimé, de n'importe quelle façon. C'est une valeur sûre pour toucher les gens à travers les mots parce que ça réveille quelque chose chez tout le monde.
En conclusion, oui, oui, oui, je suis pour l'amour dans les romans. Mais pas forcément l'amour guimauve et nian-nian d'un roman à l'eau de rose, simplement l'amour de tous les jours. |
| | | Invité / Invité Jeu 16 Jan 2014 - 19:35 | |
| Moi perso, j'ai toujours aimé observer les gens. Ce que je vois en eux, je le transmet dans ce que j'écrit. L'amour, je ne l'ai pas encore mis dans mes nouvelles, mais je travaille sur une espèce de livre tenant du conte. Ca ce passe dans notre monde, dans les années 70-80, il y à du fantastique, et en ligne de fond, un amour touchant derrière tout plein de conneries de paradoxes (le chat qui pouvait tuer un clodo, et enlever a toute personne le souvenir de son existence...), et je suis sur que ça va être cool! |
| | Nombre de messages : 106 Âge : 42 Localisation : Toulouse Pensée du jour : Dilemme Date d'inscription : 07/03/2013 | Aurel / Barge de Radetzky Jeu 16 Jan 2014 - 21:22 | |
| Bonsoir, Je me permets de répondre à tes questions également car j'aime l'Amour. L'Amour me questionne, me surprend, m'anime, me fait du mal, me fait du bien. Je ne sais plus qui l'a mentionné plus haut, mais l'amour est bien the thème le plus exploité en littérature. Les grands classiques sont fondés sur des histoires d'amour. J'ai lu il y a quelques jours Orgueil et Préjugés qui ne déroge pas à la règle.
Après, faire passer l'émotion et les sentiments amoureux à l'écrit est très difficile. Je suis d'ailleurs souvent frustrée en lisant certains livres car justement, je trouve que c'est "mal" décrit. Sans pour autant porter de jugement sur l'auteur car je pense que ce qui ne me touche pas touchera forcément quelqu'un d'autre.
Je pense aussi qu'en tant que lecteur on transfère sur ce qu'on lit et soit l'histoire nous "parle" soit moins.
J'ai connu une fois, la force et la violence de l'amour passionné, et je crois que jamais je ne me risquerait à écrire ce que j'ai ressenti car j'en serai incapable. Par contre je vis depuis des années un amour platonique et là, je suis plus à l'aise pour le décrire... Peut-être car je l'ai plus intellectualisé.
C'est très drôle ce sujet car il y a deux jours je cherchais sur Internet des récits de "baiser". Comme décrire un "baiser"... Rien trouvé qui m'a transporté. |
| | Nombre de messages : 874 Âge : 25 Localisation : Proche d'Edelweiss Pensée du jour : La chair n'est pas vraie, c'est l'âme qui est vraie. La chair est cendre, l'âme est flamme. VH Date d'inscription : 22/12/2013 | Sethi / Double assassiné dans la rue Morgue Dim 19 Jan 2014 - 21:26 | |
| Je n'ai pas lut tout le topic (oui, honte à moi ) mais je vais quand même donner mon avis: Personnellement, je trouve que c'est très important qu'il y en ait un peu. Peut-être est-ce dû à mon âge mais les livres où aucune relation d'"amour" à proprement parlé n'est développé, et bien... ça m'emmerde. Je trouve que ça ajoute des sentiments humains à l'histoire surtout quand on écrit à la limite fantasy/sf comme moi. Dans ce cas là, l'histoire se passe souvent dans un monde aux reflets ternes, à la société hyperstricte...etc l'amour permet de rappeler que..ba "on est humain quand même !". La difficulté, pour moi, quand on écrit, c'est le timing. Parce qu'entre la réalité et le roman, il y a un monde quand même. Alors comment décrire un rapprochement des deux personngaes, un coup de foudre, leur rencontre, leur caractère et puis... Comment va s'arrêter la relation ? C'est très personnel mais pour moi, dans un roman "jeunesse"; une héroïne (ou un héro) qui trouve l'amour de sa vie au premier cou, ça cloche. Et puis faut avouer que je suis un peu sadique. J'aime bien faire vivre un tas de chose à mes personnages, surtout ils souffrent un peu au passage. Gna. Donc une décéption amoureuse, surtout si le lecteur se doute de quelque chose, je trouve ça top ! J'aime vraiment les livres qui me tirent des larmes, des cris de joie ou de décéption. Si le miens produit le même effet, je serais ravie ! |
| | Nombre de messages : 263 Âge : 44 Localisation : Quelque part dans l'univers Pensée du jour : Est-ce que j'ai bien fermé la porte? Date d'inscription : 29/12/2013 | Plumedecorbeau / Autostoppeur galactique Dim 19 Jan 2014 - 22:19 | |
| Salut, je vais avouer une chose : je suis une grosse romantique...mais je le cache ! J'écris parfois sur l'amour, en me retenant un peu parfois, car la peur du cliché m'obsède. Tant de gens parlent d'amour, alors que c'est probablement la chose la plus dure à raconter ! J'aime bien les histoires comme celles des soeurs Brontë, où la nature des êtres et les passions qui les agitent les éloigne du bonheur, où le pire obstacle pour l'amour n'est pas extérieur mais intérieur. En ce moment, j'ai un projet de roman, où je songe à décrire une sorte de relation amoureuse, seulement, c'est plus une histoire de soutien réciproque que de sentiments puisque les deux protagonistes se rattachent l'un à l'autre pour fuir leur réalité... Cette aventure ne tient pas la place principale du roman, cependant elle y joue un rôle assez important. Je pense que l'amour fait partie de la vie, il n'y a donc pas de raison de le bannir. Le probleme, c'est qu'il est souvent assez mal représenté c'est vrai : le beau jeune homme rencontre la belle jeune fille, ils se taquinent, s'invectivent par des bravades incipides ; lui est intrigué par le caractère différent de l'autre, elle le titille mais cède facilement... Combien de fois on a vu ça au ciné, dans les libre? Bon, c'est comme tout, bien traité ça peut être intéressant surement... Sauf que ça l'est rarement fait et que c'est pas très original. |
| | Nombre de messages : 652 Âge : 46 Localisation : Montréal, Québec Pensée du jour : " Dont let yours dreams just be a dreams" Date d'inscription : 29/01/2014 | Lady Bella / Hé ! Makarénine Dim 9 Mar 2014 - 2:12 | |
| pour moi l'amour a une grande place dans mes écrit puisse qu'il a tendance a m'inspirer plus que tout les autre sentiment. bien sur je suis une très grande fan de romance qu'il s'agisse de roman historique a la science fiction tan qu'il y a de l'amour ca me va. |
| | Nombre de messages : 7675 Âge : 36 Date d'inscription : 10/04/2008 | Flora / Serial Constance killer Dim 9 Mar 2014 - 8:15 | |
| Je ne suis pas très à l'aise avec l'amour et je ne parviendrais pas à broder un roman autour de ce thème. Mes personnages principaux sont souvent assez hermétiques à l'amour ; Tiara Farrier est presque incapable de le ressentir, Roland de St-Georges tellement bouché qu'un de ses compagnons de route est obligé de choisir sa femme à sa place et Amaury de Pierre-Franche préfère se concentrer sur ses devoirs - pour ne citer qu'eux. Néanmoins, rares sont les romans où je ne parle pas du tout d'amour. J'ai lu très rapidement les autres réponses, et d'autres participants disaient que ça faisait partie de la vie ; c'est une opinion que je partage. Même si mes personnages principaux ne sont jamais des amoureux transis, ils sont toujours plus ou moins concernés. Ils sont souvent la cible d'espoirs déçus, ou l'objet d'une lente et patiente conquête... parfois vaine. L'amour est également une motivation puissante pour mes personnages secondaires. Il est à la base de nombreux rebondissements dans certains de mes textes, ou le point initial du roman dans de rares cas. Et il n'existe pas qu'une seule forme d'amour L'émotion qui unit une mère et sa fille, deux sœurs, deux compagnons de route, deux amis d'enfance, ce n'est pas l'Amour avec un grand A, mais ce sont aussi de beaux sentiments. |
| | Nombre de messages : 263 Âge : 44 Localisation : Quelque part dans l'univers Pensée du jour : Est-ce que j'ai bien fermé la porte? Date d'inscription : 29/12/2013 | Plumedecorbeau / Autostoppeur galactique Dim 9 Mar 2014 - 8:41 | |
| - Flora a écrit:
- Je ne suis pas très à l'aise avec l'amour et je ne parviendrais pas à broder un roman autour de ce thème. Mes personnages principaux sont souvent assez hermétiques à l'amour ; Tiara Farrier est presque incapable de le ressentir, Roland de St-Georges tellement bouché qu'un de ses compagnons de route est obligé de choisir sa femme à sa place et Amaury de Pierre-Franche préfère se concentrer sur ses devoirs - pour ne citer qu'eux. Néanmoins, rares sont les romans où je ne parle pas du tout d'amour.
J'ai lu très rapidement les autres réponses, et d'autres participants disaient que ça faisait partie de la vie ; c'est une opinion que je partage. Même si mes personnages principaux ne sont jamais des amoureux transis, ils sont toujours plus ou moins concernés. Ils sont souvent la cible d'espoirs déçus, ou l'objet d'une lente et patiente conquête... parfois vaine. L'amour est également une motivation puissante pour mes personnages secondaires. Il est à la base de nombreux rebondissements dans certains de mes textes, ou le point initial du roman dans de rares cas.
Et il n'existe pas qu'une seule forme d'amour :)L'émotion qui unit une mère et sa fille, deux sœurs, deux compagnons de route, deux amis d'enfance, ce n'est pas l'Amour avec un grand A, mais ce sont aussi de beaux sentiments. Ce n'est pas faut quand tu dis qu'il y a plusieurs formes d'amour, de même qu'il n'y a pas qu'une seule forme d'Amour "avec un grand A". Il y a la passion, l'affection sage et discrète, les sentiments soudains et ceux qui se construisent avec le temps, l'attirance ; il existe aussi des amours malsains, des relations de dépendance, ou encore des formes plus amusantes d'amour, qui donnent l'occasion de faire rire le lecteur. Finalement, c'est un sentiment si vaste qu'on peut encore assez bien broder avec. ^^ |
| | Nombre de messages : 5431 Âge : 29 Localisation : L'Essone résonne, vide de ma Normandie natale... Date d'inscription : 30/05/2012 | Duvodas / Buffalo Bic Dim 9 Mar 2014 - 8:58 | |
| La place que j'y laisse est très minime. L'affection, oui, ça j'en parle, mais a passion, non. Je ne connais pas, donc je n'en parle pas. |
| | Nombre de messages : 41 Âge : 43 Date d'inscription : 14/03/2014 | Spoonky / Petit chose Ven 14 Mar 2014 - 23:07 | |
| Pour ma part l'amour c'est la trame de fond de mon histoire, c'est un roman sur l'adolescence donc forcément tout est décuplé et plus intense. Après il y a plusieurs forme d'amour mais parfois on peut parler juste d'amour fraternelle ou de tendresse sans parler amour/passion. Il y a toujours un peu d'amour, je pense, mais à juste dose, chacun à sa manière sans doute. |
| | Nombre de messages : 183 Âge : 41 Date d'inscription : 21/03/2014 | léona / Tycho l'homoncule Ven 16 Mai 2014 - 9:52 | |
| J’ai écrit plusieurs romans, et tous ont à un moment ou un autre une histoire d’amour. Parfois, elle est au premier plan, d’autre fois, elle se retrouve secondaire. L’amour fait partie de la vie, toute comme la mort, je ne vois pas comment l’éviter. Le tout est de bien doser. Je pense qu’il en faut un minimum pour faire rêver. C’est mon côté romantique qui parle. |
| | Nombre de messages : 367 Âge : 31 Date d'inscription : 18/04/2014 | Géronimo / Tapage au bout de la nuit Ven 16 Mai 2014 - 10:15 | |
| Généralement je ne parle d'amour que pour le détruire. S'il est présent, ce sera un amour déçu, ou un amour impossible car incestueux, ce genre de conneries. Je crois que je l'utilise comme moyen de faire souffrir mes personnages, de façon plus ou moins poussée. |
| | Nombre de messages : 114 Âge : 32 Localisation : nice Pensée du jour : sois le changement que tu veux voir dans le monde Date d'inscription : 15/12/2012 | Leim / Barge de Radetzky Dim 25 Mai 2014 - 16:00 | |
| perso j'adoooooooooooooooooooooore (j'étais obligée pour vous prouver à quel point xd).
Nan plus sérieusement j'écris que ça! Il y à TOUJOURS une histoire d'amour dans chacun de mes romans ou alors une amitié très ambiguë . Je trouve que c'est un sujet magnifique et en général s'il n'y a aucune place à l'amour dans un livre je n'arrive pas à m'intéresser à celui-ci.
En ce qui concerne la forme d'écriture c'est vrai que beaucoup trouve ça un peu cucul mais malheureusement je pense (bien sûr ce n'est que mon avis) qu'on est obligé d'être (un petit peu) mielleux (ou cliché) . Car (sauf si on est extraordinairement doué) il est difficile de décrire l'amour ou de parler des sentiments ou des ressentis des personnages sans ce côté bisounours sinon on a un peu de mal à y croire. Bien sûr je le répète ce n'est que mon avis et je sais que peu le partage mais bon. Après quand je dis un peu bisounours bien sûr il y a des limites car si c'est trop phrases bateau c'est un peu chiant aussi. Faut essayer de trouver un juste milieu. Ca dépend un peu des caractères des personnages aussi s'il ont tendance à être romantique ou au contraire s'il sont froid et distant par rapport à ça. La description ne sera forcement pas la même.
Bref...l'amour c'est cool ^^ |
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