Hello tous !

Je cherche les retex de trentenaires tombés dans la grosse marmite de l'écriture.

Je deviens fou avec mes envies d'écrire et je travaille comme un forcené sur un roman depuis 8 mois. Avec la trentaine, je sens les thèmes qui me travaillaient mûrir et que je dois leur donner une forme physique pour m'en délivrer.

Je suis au Japon, en ce moment, et le sérénité du coin aide pas mal à se concentrer. Mais je suis de Paris et j'y rentre en janvier.

Et vous ? Pourquoi vous êtes vous mis à écrire ? Comment vous vous y prenez ? Et quels sont vos thèmes ?

Je suis quarantenaire, ça compte  ?  

EDIT : Je viens de me rendre compte avec le commentaire de Jimilie que la brume du matin était encore présente dans mon cerveau.

Quadragénaire pas quarantenaire !!

Je ferai mieux d'y retourner dans mon formol  

Les Quadra sont invités à rester dans leur bocal de formol.

49 ans.
Commencé à écrire, si on va chercher loin, pendant mes études, vers la vingtaine, certains textes juste pour évacuer le stress et d'autres pour avoir des histoires à raconter à mon petit voisin.
Ah... en fait, on peut remonter plus haut. A 17 ans, quand je m'entraînais à taper au clavier avec la machine à écrire de ma mère (les ados n'avaient pas d'ordinateur, à l'époque), j'ai pondu une paire de nouvelles. Western.
J'avais un projet de bd, qui a engendré aussi des écritures de scénario.
Vers la trentaine, ai été embarquée dans un projet de fanzine SFFF, d'abord comme dessinatrice puis comme gribouilleuse d'articles. A ce moment-là, des petits textes apparentables à des nouvelles courtes.
Des ennuis de santé me compliquant l'acte de dessiner et l'inspiration en étant venue à travers mes dessins, j'ai pondu le premier épisode de ma série Tutore Noctis en 2011, c'est à dire quand j'avais 36 ans.
Quelques nouvelles courtes, indépendantes les unes des autres, à cette période.
En 2012, fin de l'aventure fanzine sus-citee et début d'une autre, lancée par moi et à thème mythologie. C'est ce fanzine qui, en 2013, m'a conduite à m'inscrire sur JE.
2012 aussi, écriture d'une courte nouvelle dont l'envie d'écrire la suite dérapera pour devenir les Errances Galactiques. Suis totalement partie dans le décor, sur ce coup, parce que ça n'a strictement rien à voir.
En 2013, partant d'une série de mes dessins, un debut de roman Fantasy, qui tombera en panne, ou bien plutôt sera écrasé par d'autres inspirations.
2014, santé totalement KO, la seule chose que j'arrive encore à faire, c'est taper au clavier, l'ordinateur posé sur le lit. Écriture de mon premier roman. Western.
Le tout début des Errances a été pondu en 2013, mais c'est après ce premier roman que leur écriture commence pour de bon.
Ai alors 39 ans. La suite sort du cadre des trentenaires.

Oh le coup de vieux...

Tout juste admis au club des trentenaires.

J'ai plus ou moins toujours aimé écrire et imaginer des trucs. Et ma motivation est que, globalement, ça m'amuse beaucoup d'écrire.
J'écris beaucoup au travail, souvent le soir aussi.

Mon thème de prédilection son les histoires elles mêmes, et mon ton préféré celui de l'humour.

Séléné.C a écrit:

49 ans.
Commencé à écrire, si on va chercher loin, pendant mes études, vers la vingtaine, certains textes juste pour évacuer le stress et d'autres pour avoir des histoires à raconter à mon petit voisin.
Ah... en fait, on peut remonter plus haut. A 17 ans, quand je m'entraînais à taper au clavier avec la machine à écrire de ma mère (les ados n'avaient pas d'ordinateur, à l'époque), j'ai pondu une paire de nouvelles. Western.
J'avais un projet de bd, qui a engendré aussi des écritures de scénario.
Vers la trentaine, ai été embarquée dans un projet de fanzine SFFF, d'abord comme dessinatrice puis comme gribouilleuse d'articles. A ce moment-là, des petits textes apparentables à des nouvelles courtes.
Des ennuis de santé me compliquant l'acte de dessiner et l'inspiration en étant venue à travers mes dessins, j'ai pondu le premier épisode de ma série Tutore Noctis en 2011, c'est à dire quand j'avais 36 ans.
Quelques nouvelles courtes, indépendantes les unes des autres, à cette période.
En 2012, fin de l'aventure fanzine sus-citee et début d'une autre, lancée par moi et à thème mythologie. C'est ce fanzine qui, en 2013, m'a conduite à m'inscrire sur JE.
2012 aussi, écriture d'une courte nouvelle dont l'envie d'écrire la suite dérapera pour devenir les Errances Galactiques. Suis totalement partie dans le décor, sur ce coup, parce que ça n'a strictement rien à voir.
En 2013, partant d'une série de mes dessins, un debut de roman Fantasy, qui tombera en panne, ou bien plutôt sera écrasé par d'autres inspirations.
2014, santé totalement KO, la seule chose que j'arrive encore à faire, c'est taper au clavier, l'ordinateur posé sur le lit. Écriture de mon premier roman. Western.
Le tout début des Errances a été pondu en 2013, mais c'est après ce premier roman que leur écriture commence pour de bon.
Ai alors 39 ans. La suite sort du cadre des trentenaires.

Oh le coup de vieux...

Quel parcours ! C'est inspirant. On y sent toute ta pugnacité à l'écriture. Et ce premier roman, est-ce que tu l'as publié dans une ME ?

Docal a écrit:

Tout juste admis au club des trentenaires.

J'ai plus ou moins toujours aimé écrire et imaginer des trucs. Et ma motivation est que, globalement, ça m'amuse beaucoup d'écrire.
J'écris beaucoup au travail, souvent le soir aussi.

Mon thème de prédilection son les histoires elles mêmes, et mon ton préféré celui de l'humour.

Bienvenu je m'y suis auto-admis il y a peu. De quoi t'inspires-tu pour concocter tes histoires ?

Hello

Alors n'ayons pas beaucoup de temps ce matin, je m'auto-cite (message posté lors de ma présentation) mais je pense qu'il répondra un peu à la question ^^

O'Brian a écrit:

Ce n'est peut-être guère plus qu'un poncif pour certains, toutefois, il n'a jamais été aussi vrai pour moi : l'écriture, c'est toute ma vie !

Alors non, je ne suis pas le petit-fils d'un grand écrivain ou l'héritier d'une grande maison d'édition (ça m'aurait donné quelques avantages). Seulement un gars qui se sait lié aux mots jusqu'à la fin de ses jours.
Pourtant, élève prometteur, je n'ai jamais brillé par ma discipline à l'école, ni même l'intérêt que je lui portais. Jusqu'à la vingtaine passé, je faisais 3 fautes à chaque mots...
Les idées étaient pourtant là. Toujours. Tout le temps.
Mon imagination est une source qui ne semble n'avoir aucune limite, ni même aucune fin.
J'imaginais, je créais, je rédigeais. Correct sur le fond, passable, voire médiocre, sur la forme.

Alors une fois dans la vie active, j'ai utilisé Internet pour m'instruire. Le soir et le weekend. Je me suis procuré beaucoup de romans, des modernes aux classiques. Puis j'ai lu.
J'ai utilisé les moteurs de recherche pour dénicher des sites sur la « grammaire », la « conjugaison ». Fait les exercices, tentant de comprendre mes erreurs. Et c'est ainsi que j'ai progressé.

Je suis passé d'un jeune homme au vocabulaire « limité », à la culture littéraire nulle, et aux grosses lacunes dans la compréhension et la rédaction de la langue Française ; à un homme passionné par les mots, qui doit maintenant se montrer vigilant pour ne pas écrire ou parler de manière trop « riche », sous peine de ne pas être compris par les autres.
Les mots qui m'étaient totalement inconnus avant font dorénavant partie intégrante de mon vocabulaire.
Le revers de la médaille si j'ose dire haha

Toutefois qu'on se le dise, je ne suis pas quelqu'un de prétentieux. Je m'exprime aussi familièrement que n'importe qui. Je fais même l'effort pour ne pas être trop injurieux parfois ^^
Enfin, je voulais juste exprimer l'évolution qui a été la mienne grâce aux efforts fournis pendant ma prime jeunesse (36 ans aujourd'hui, voilà que je deviens mélancolique haha)

Notre si belle langue et ce vivier d'idées qui vivotent dans ma tête méritaient que je sois capable de les exploiter.

Sinon, je suis bien encore (et c'est heureux ! ) dans la trentaine ! Donc c'est avec intérêt que je vais suivre et participer à ce sujet !

Au club des trentenaires je dirais que j'ai écrit il y a longtemps déjà une vingtaine d'année et que je cherchais simplement le lieu ou partagé mes écrits et n'ayant pas spécialement d'envie ou de besoin d'être publié je trouve que ce forum est le lieu idéal pour cela.

O'Brian a écrit:

Hello

Alors n'ayons pas beaucoup de temps ce matin, je m'auto-cite    (message posté lors de ma présentation) mais je pense qu'il répondra un peu à la question ^^

O'Brian a écrit:

Ce n'est peut-être guère plus qu'un poncif pour certains, toutefois, il n'a jamais été aussi vrai pour moi : l'écriture, c'est toute ma vie !

Alors non, je ne suis pas le petit-fils d'un grand écrivain ou l'héritier d'une grande maison d'édition (ça m'aurait donné quelques avantages). Seulement un gars qui se sait lié aux mots jusqu'à la fin de ses jours.
Pourtant, élève prometteur, je n'ai jamais brillé par ma discipline à l'école, ni même l'intérêt que je lui portais. Jusqu'à la vingtaine passé, je faisais 3 fautes à chaque mots...
Les idées étaient pourtant là. Toujours. Tout le temps.
Mon imagination est une source qui ne semble n'avoir aucune limite, ni même aucune fin.
J'imaginais, je créais, je rédigeais. Correct sur le fond, passable, voire médiocre, sur la forme.

Alors une fois dans la vie active, j'ai utilisé Internet pour m'instruire. Le soir et le weekend. Je me suis procuré beaucoup de romans, des modernes aux classiques. Puis j'ai lu.
J'ai utilisé les moteurs de recherche pour dénicher des sites sur la « grammaire », la « conjugaison ». Fait les exercices, tentant de comprendre mes erreurs. Et c'est ainsi que j'ai progressé.

Je suis passé d'un jeune homme au vocabulaire « limité », à la culture littéraire nulle, et aux grosses lacunes dans la compréhension et la rédaction de la langue Française ; à un homme passionné par les mots, qui doit maintenant se montrer vigilant pour ne pas écrire ou parler de manière trop « riche », sous peine de ne pas être compris par les autres.
Les mots qui m'étaient totalement inconnus avant font dorénavant partie intégrante de mon vocabulaire.
Le revers de la médaille si j'ose dire haha

Toutefois qu'on se le dise, je ne suis pas quelqu'un de prétentieux. Je m'exprime aussi familièrement que n'importe qui. Je fais même l'effort pour ne pas être trop injurieux parfois ^^
Enfin, je voulais juste exprimer l'évolution qui a été la mienne grâce aux efforts fournis pendant ma prime jeunesse (36 ans aujourd'hui, voilà que je deviens mélancolique haha)

Notre si belle langue et ce vivier d'idées qui vivotent dans ma tête méritaient que je sois capable de les exploiter.

Sinon, je suis bien encore (et c'est heureux ! ) dans la trentaine ! Donc c'est avec intérêt que je vais suivre et participer à ce sujet !

Oh j'aime ce texte de présentation ! Je suis moi-même passé par là : m'exprimer de manière pataude et traînante par surusage de la profusion de mots nouveaux dont je me gorgeais semaine après semaine. Tout le charme de l'érudition est de savoir en faire usage l'air de rien, ici et là, comme quelque chose de naturel

Citation :

Quel parcours ! C'est inspirant. On y sent toute ta pugnacité à l'écriture. Et ce premier roman, est-ce que tu l'as publié dans une ME ?

Dans un premier temps, j'ai cherché. Au bout de nombreux refus. J'ai trouvé une ME, mais finalement ça ne s'est pas fait. Ensuite, j'ai trouvé une ME intéressée, mais qui demandait des retouches dont je ne voulais pas.

J'ai créé une ME, avec l'intention de publier aussi d'autres auteurs, et sorti mon livre moi-même.

Mais cette ME est "en panne" depuis deux ans parce que ma vie familiale a été fort chronophage. Actuellement, mon existence IRL devient moins épuisante, mais établir un nouveau rythme de vie ne se fait pas en un claquement de doigts.
J'aurais bien aimé y consacrer une partie de mon mois d'août, mais (le sort s'acharne) mon ordinateur est tombé en panne le 3 août et son remplaçant n'est sur la table que depuis hier.

J'ai actuellement deux romans terminés. Pour le deuxième, j'ai cherché un peu, mais pas prolongé. Il ne fera jamais partie du catalogue de ma ME, car il n'entre pas dans la ligne éditoriale. Proposé aux éditeurs sur le site "Edith et Nous".

Ce deuxième a été entamé une première fois en 2012, puis plusieurs autres tentatives. En fait, c'était un projet beaucoup trop ambitieux pour une débutante ! Contente d'en être venue à bout, mais bizarrement, c'est un texte auquel je ne suis pas très attachée.

Les Errances Galactiques, dont je parle plus haut, ne sont toujours pas finalisées. Le peaufinage traine en longueur, s'arrête, reste en attente, reprend, tombe sur un os, etc.
Pourtant, j'aimerais bien en venir à bout !
C'est un énorme pavé. Je pensais qu'il aurait la même taille que le western, mais il en fait probablement plus du double.

Typique de l'auteur débutant, ce manque d'attention sur la longueur du texte...

Il y a aussi eu un "projet à la con" dont je ne pensais même pas qu'il irait jusqu'au dixième du premier jet. Projet abandonné, mais qui est quand même allé jusqu'à la fin dudit 1° jet. Si ma santé était restée ce qu'elle était il y a dix ans, j'aurais eu du temps à y consacrer, mais je vais mieux ! Et puis, ce truc était fort épuisant pour le moral.
A quoi bon se démolir les nerfs avec un truc écrit juste pour s'amuser ?

Avec ce projet là, j'ai explore des zones totalement différentes de mes autres textes, et appris pas mal de choses.
En particulier à contrôler la longueur !

Tutore Noctis compte à présent de très nombreux épisodes, mais pas tous assez fignoles pour que je les poste ici. Trois d'entre eux sont sur Edith et Nous.
Leur format dépasse celui d'une nouvelle mais est très inférieur à celui d'un roman, si bien que chercher activement une ME serait une grosse perte de temps.

J'ai entamé un autre Western il y a quatre ans, en m'interdisant formellement de le finir en moins de deux ans. Pas envie d'avoir déjà un truc à peaufiner en plus !
Il est de type très différent du premier.

De façon générale, mon style et mes inspirations évoluent.
J'aime expérimenter.
Rester dans une zone déjà connue me fait craindre d'être répétitive.
Et puis, il y a l'envie de voir où sont mes limites.

Western de type un peu cinéma aventure
Urban Fantasy vampirique
SF de type Space Opéra
Littérature blanche entre historique et psychologie
Un peu de poésie
Western contemplatif
...

Mon surmenage IRL a stoppé toutes mes écritures pendant presque un an et demi. Résultat : quand j'ai voulu me remettre à écrire, je n'arrivais pas à aligner plus de 400 mots !!!!! Et rien de bien valable...
Impossible d'avancer sur Tutore, sur Matoskah, tout autant que sur le peaufinage des Errances. Panne d'écriture, non par effet de page blanche mais par manque de confiance.
Je n'ai pas tenté de reprendre Matoskah à ce moment parce que c'est un roman qui exige beaucoup de soin. Je ne m'en sentais pas capable.

Résultat de ce drôle d'etat de panne : deux romans de plus.
Ne parvenant pas à poursuivre mes textes, j'ai suivi l'inspiration comme elle a bien voulu venir, et ça a été une prequelle des Errances que j'envisageais depuis longtemps. Tout en ne m'y mettant jamais parce que j'ai déjà beaucoup de trucs en travail. Puis l'inspiration s'est embrouillée en idées divergentes voire contradictoires. J'ai mis ça de côté, et entamé une deuxième prequelle, débutant dix ou vingt ans après la fin prévue pour la première.

En vue de reprendre Matoskah, j'en ai entrepris une relecture sur l'ensemble, sans intention de peaufiner (même si j'ai changé quelques mots ici et là), juste relire pour reprendre contact avec l'inspiration.
Puis repris, par petites étapes.

A l'instant où mon ordinateur m'a lâchée, j'étais en train d'effectuer un relevé complet des personnages apparaissant dans mes Errances, dont le peaufinage est encore et encore en cours (mais pas souvent en travail intensif).
Si ça tombe, le fichier a été oblitéré au moment où le disque dur a lâché ! Le réparateur a réussi à récupérer une grosse partie du contenu, mais pas tout.

J'ai franchement flippé, quand il m'a dit que le disque dur était HS et qu'il ne savait pas s'il arriverait à récupérer les fichiers...

N'ayant plus guère de temps pour écrire, j'ai désormais mes romans en cours de premier jet sur mon Google Doc, afin de pouvoir y travailler n'importe où.
Le temps où j'écrivais dans mon lit, par morceaux de 1000 à 1500 mots, est rudement loin ! Maintenant, c'est dans le bus, en salle d'attente, dans la cuisine, etc. par petits fragment.

Dans l'immédiat, pas question d'entamer une recherche éditoriale...
Et je dois dire que, même si j'en avais le temps... j'en ai soupé.

J'ai beaucoup progressé, en dix ans.
Sur plein d'aspects.
Beaucoup changé, aussi. Thèmes, style, intention...
Beaucoup moins d'appétit à écrire, aussi.
Et plus d'ambition quant au résultat à obtenir.

Comparativement à d'autres JE, j'ai commencé très tard.
Presque tout le parcours s'est effectué après 30 ans, et une bonne partie (l'essentiel) après 40.
L'an prochain, j'entre au club des JE quinquagénaires...
.

Jimilie Croquette a écrit:

Les Quadra sont invités à rester dans leur bocal de formol.

josephcurwan a écrit:

Jimilie Croquette a écrit:

Les Quadra sont invités à rester dans leur bocal de formol.

C'est pour ça que mon premier post s'arrête à ma sortie du club des trentenaires...

Mais bon... j'ai voulu répondre à la question posée en réponse à ma réponse
(et comme à mon habitude, j'ai fait un pavé)

L'âge, c'est dans la tête!
Enfin c'est ce que pense tout(e) quadra qui a le corps qui craque de partout et qui refuse d'accepter que le temps passe et fait son office.

Sébours a écrit:

L'âge, c'est dans la tête!
Enfin c'est ce que pense tout(e) quadra qui a le corps qui craque de partout et qui refuse d'accepter que le temps passe et fait son office.

Ça me fait penser à une citation de je ne sais plus quel auteur, et je me souviens d'ailleurs assez mal de la citation elle-même...

"A vingt ans, une parisienne est adorable.
A trente ans, elle est charmante.
A quarante ans... ah mais non !
Une parisienne n'a jamais quarante ans..."

.