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Volte
   
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Volte  /  JE's Official GO


Ouh, quelle belle liste, merci ! On a des goûts assez similaires je crois, j'en connais quelques uns Smile d'ailleurs je les aurais pas rangés dans les histoires d'amour, notamment Un bûcher sous la neige ou Le club des incorrigibles optimistes.

Je ne comprends pas ta question "Tu cherches une histoire d'amour romantique plutôt ? " ; je cherche une histoire de "relation amoureuse" dans tous ses états (oui, je dirais romantique, pas dans le sens fraternel ou amical), que ce soit vraiment le centre de l'intrigue mais qu'il n'y ait pas que ça, un peu dans l'esprit de Tant que nous sommes vivants, mais en plus aventure... Je sais pas trop comment expliquer, mais ça peut être historique, réaliste, fantasy, peu importe, triste ou heureux... Je veux rêver Laughing


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CorentinL
   
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Sinon, l'assassin royal de Robin Hobb ? La romance n'est pas omniprésente, mais n'est pas non plus annexe. Peut être déjà lu par contre ?
 
Volte
   
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Volte  /  JE's Official GO


Non jamais, mais c'est pas une ultra longue série ?

Je viens de trouver ce fil, il vaudrait mieux que je poste là-bas pour ne pas hors-sujettiser trop ici, en fait.

Merci et désolée !


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Volte a écrit:
Je lance une recherche : j'ai envie de lire une bonne histoire d'amour, mais un truc épique, avec de l'aventure, du tragique, mais pas d'érotisme ou quoi que ce soit du style... Quelqu'un a ça ?

Martin Eden
 
Leasaurus Rex
   
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Haha, je t'avais prévenue sur le biais de mes goûts, je vois des trucs là où il n'y en a pas forcément selon le sens commun. Razz

Oui, je demandais une précision dans le sens "relation amoureuse" et pas amour fraternel ou pour son chien, ou que sais-je.

Je rajoute Les ailes brisées de Khalil Gibran, lecture courte, facile et poétique. C'est une vraie histoire d'amour, pour le coup !

Si tu veux mêler complexité de l'intrigue, thriller et intrigue amoureuse en te dépaysant totalement, Mon nom est Rouge d'Orhan Pamuk.
 
Trôme
   
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Volte a écrit:
Je lance une recherche : j'ai envie de lire une bonne histoire d'amour, mais un truc épique, avec de l'aventure, du tragique, mais pas d'érotisme ou quoi que ce soit du style... Quelqu'un a ça ?

Le premier titre qui me vient en tête c'est Clair de femme, de Romain Gary. On ne peut pas parler d'amour épique, plutôt un aspect réflexif autour de la question du couple. Il y a du tragique, oui, l'homme vient de perdre sa première compagne des suites d'une longue maladie, la femme a eu un accident de voiture quelques mois auparavant, dans lequel sa petite fille a été tuée. Je crois que l'auteur arrive à ne pas tomber dans l'excès mélodramatique. Un certain lyrisme avec un brin de cynisme. Je l'ai relu cet été et j'en garde un souvenir agréable.


Cycle de Chrysopée :
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Chroniques séculaires [recueil de nouvelles]

La pègre vous salue bien !
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Manfred
   
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Dans la série « j’essaye des têtes de gondole décriées pour me faire ma propre opinion », je viens de finir La Vie secrète des écrivains. C’était mon premier Musso et ce sera le dernier.

J’ai renoué avec John Fante et La Route de Los Angeles me laissera une impression plus durable que Mon chien Stupide, c’est sûr. Il est plus à l’aise lorsqu’il parle de son milieu social d’origine.

J’avance difficilement dans L’Œuvre au noir de Yourcenar, car c’est exigeant. Mais tellement riche.

Shutter Island m’a agréablement surprise, je m’attendais à quelque chose de moins intimiste. Un peu trop théâtral vers la fin, cela dit.

Et sinon, je viens de découvrir Tristan Garcia sur le podcast Bookmakers et son imagination débordante m’a donné envie. Si quelqu’un a lu quelque chose de lui qu’il aimerait recommander, je suis toute ouïe.

 
Volte
   
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Volte  /  JE's Official GO


Je n'ai trouvé aucun des livres conseillés à la librairie, mais je suis tombée par hasard sur Les audacieuses. Donc je vais commander Martin Eden, Les ailes brisées, Clair de femme, Mon nom est rouge.

Enfin, j'ai presque fini Les Rois Maudits. C'est rapide, mais j'aime bien.


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Manfred
   
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J’ai adoré Les Rois maudits. Sauf le dernier tome, construit sur un artifice narratif qui m’a beaucoup ennuyée.
 
Kavanaugh
   
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Kavanaugh  /  Bile au trésor


Je viens de commencer Déracinée de Naomi Novik et je suis conquise par les cinquante premières pages.

Livre présent - Page 24 719b-712

Résumé:
 
Volte
   
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Manfred a écrit:
J’ai adoré Les Rois maudits. Sauf le dernier tome, construit sur un artifice narratif qui m’a beaucoup ennuyée.
Ah, je ne vois pas du tout de quoi tu parles, et je viens de finir... tu pourrais m'expliquer ?

J'ai pas du tout aimé la fin. Maintenant je dois aller sur Wikipedia Laughing


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Manfred
   
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Volte a écrit:
Manfred a écrit:
J’ai adoré Les Rois maudits. Sauf le dernier tome, construit sur un artifice narratif qui m’a beaucoup ennuyée.
Ah, je ne vois pas du tout de quoi tu parles, et je viens de finir... tu pourrais m'expliquer ?

J'ai pas du tout aimé la fin. Maintenant je dois aller sur Wikipedia Laughing
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Volte
   
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Volte  /  JE's Official GO


Ah... eh bien tout s'explique, je n'ai pas le dernier tome Laughing je me disais bien que la fin était bizarre...

On dirait qu'en fait le découpage est fait en 6, 7 ou 9 tomes scratch va falloir que je regarde tout ça.

Sinon j'ai attaqué Les audacieuses. Je trouve que ça démarre un peu vite.

EDIT : en fait j'ai une édition de 1966... le 7 n'était pas encore sorti. Voilà voilà.


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Pasiphae
   
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Pasiphae  /  Truquage geniphasien


Je me rends compte que je n'alimente plus ce topic alors que je le lis régulièrement, avec intérêt, et alors que j'annote mes listes de lecture senscritique. Un simple copier-coller devrait donc suffire !

Les Armoires vides, Annie Ernaux, terminé le 10/10/20.
Formidable. Un thread pour lire quelques extraits ; ici. Les Armoires vides, c'est le roman de la haine pour le milieu d'origine, pour l'ouverture de la blessure d'allégeance entre deux mondes qui se méprisent et auxquels, pourtant, on appartient à la fois. Celui du café-commerce des parents, où les clients ivres restent tard et vomissent ; celui de l'école huppée, où les jeunes filles apprennent à aimer les classiques de la littérature et partent en vacances dans des pays étrangers. J'ai été frappée par la colère vibrante qui se dégage du texte ; frappée aussi par la montée en puissance de la sensualité de la jeune fille, désirs, caresses, sexualité consommée – avortement. Réflexions sur le mensonge nécessaire lorsqu'on provient d'une classe méprisée ; sur la nécessité de représenter en littérature les expériences des femmes (leur désir, leurs avortements).

Alger, rue des Bananiers, Béatrice Commengé, terminé le 14/10/20.
Ce livre m'a fascinée, parce que je l'ai vu fabriquer quelque chose d'inédit. D'abord, on peut aller lire des extraits ici. Béatrice Commengé est née en Algérie ; ses aïeul·es, sur plusieurs générations, aussi. C'étaient ces colons pieds-noirs de classe moyenne inférieure, à qui on avait vendu la nouvelle France comme une aventure, une terre de conquête et de renouvellement ; un lieu où tout était possible, y compris gravir les échelons sociaux. Donc l'autrice, qui a dû quitter son pays à 12 ans, un an avant la date officielle de la décolonisation, remonte sur les traces de ses ancêtres, avec les documents qui restent – photos, papiers, souvenirs transmis par voie orale. Beau récit de filiation, mais qui se double ensuite des souvenirs de la jeune Béatrice, de sa rue des Bananiers où les enfants grandissaient ensemble, religions et couleurs de peau différentes, sur le devant des maisons.
Et ce qui fascine : le rapport à l'espace. Tout espace est montré à travers des couches temporelles superposées. Dans la baie d'Alger, on voit le regard de la fillette mais aussi les corps réduits en charpie, le sang des conquêtes un siècle plus tôt. Sur le petit chemin, les pas de la fillette et ceux d'Albert Camus. Et toujours, livres d'Histoire et de littérature en main, l'autrice tisse son expérience de la ville comme lieu aux expériences précédentes – expériences de violence et de mort qui tranchent avec celle de l'enfance sereine, où seuls quelques événements lointains viennent rappeler la guerre en cours (guerre qui ne dit pas son nom, "événements"). Sérénité, violence – c'est aussi l'épaisseur du non-dit : comment grandir enfant, comme se souvenir d'une enfance dans le rôle in-su du colon ? a-t-on le droit d'évoquer les bonheurs d'une époque, d'une filiation, de personnes qui étaient, après tout, les dominant·es ? c'est au cœur de ces questions troublantes que Commengé écrit son livre, d'une écriture limpide et élégante.

Monteriano (terminé le 17/10/20), E. M. Forster
Ah, Forster... l'intelligence de la narration chez Forster. La sensation d'être dans la nacelle d'un manège qui brusquement accélère, et d'autres fois vous emmène tranquille sur les bords d'un gracieux paysage. Grande ellipse – hop, il arrive une chose dramatique qu'on liquide l'air de rien. Hop, on vous met face à un début in media res auquel vous ne comprenez rien, profusion de personnages qui s'exclament et s'embrassent sur le quai d'une gare, et on prend quatre ou cinq pages pour "liquider" leurs relations (en fait, iels se haïssent / méprisent tous·tes). On déplie peu à peu. Et comme toujours, ce qui me marque chez Forster : on commence dans la caricature, personnage drolatiques et tracés d'une main ferme, qui peu à peu, en réalité, prennent épaisseur et s'avèrent émouvants. On est, lecteur·ice, manipulé·e, tout le temps. Et c'est plaisant quand c'est fait avec tant d'intelligence.
Donc, ici, les puissances tyranniques d'une belle-famille sur la belle-fille veuve un peu frivole, qui ne doit pas, en flirtant / se remariant, faire déchoir la réputation de la famille. La jeune femme, tenue en bride pendant des années, part en voyage en Italie sous la tutelle d'un sévère chaperon : une jeune fille anglaise prude et religieuse. Et paf, elle tombe amoureuse d'un bel italien de petite classe. Et paf, elle se dégage des obligations qu'on lui a faites. Je ne vais pas tout raconter (ni même évoquer dans les largeurs le plaisir qu'a Forster de faire se rencontrer des gens dans des hôtels de lieux de tourisme, afin que se rencontrent des classes sociales ou cultures différentes – plaisir de montrer le choc des différences), mais un bon Forster, ça ne se refuse pas.

La rivière de vie, Ngugi Wa Thiong'o, terminé le 20/10/20.
Ce livre m'a été conseillé dans le contexte un peu plus général des réflexions nées (depuis longtemps mais de manière plus vivace) des propos d'Alice Coffin, qui affirme ne vouloir lire plus que des textes d'hommes pour démasculiniser son imaginaire. Cela nous amène forcément à penser que notre canon littéraire est occidentalo-centré... donc un twitto m'a conseillé ce livre, d'un écrivain kenyan (finalement, lorsqu'on parle de littérature africaine, on connaît un peu mieux les écrivain·es francophones du nord de l'Afrique, mais à part ça...). Et la quatrième de couverture, qui annonce le plus grand romancier kenyan, interroge déjà : si c'est le plus grand, comment se fait-il que cette édition (traduction de l'anglais) de 1988 soit la dernière ? comment se fait-il que je n'aie pu la trouver que grâce au formidable réseau de bibliothèques municipales de Paris ?
Laissons cela. La rivière de vie, c'est l'histoire d'une vallée, de deux collines, et d'un peuple gikuyu aux prises avec le colon blanc ; lequel s'y prend de manière subtile : commençons par coloniser les esprits (la religion, avec la mission / l'instruction, avec l'école) avant de coloniser les terres et la force de travail (impôt, prise de possession des terres et salariat des peuples autrefois propriétaires).
Waiyaki, le descendant d'une lignée de visionnaires, est désigné par son père comme l'homme providentiel, celui qui viendra sauver les coutumes, la culture de la tribu, et débarrasser les terres de leurs envahisseurs. Mais les moyens de faire cela ? séparation d'avec les vendus, ou réconciliation ? prend-on des hommes blancs ce qui peut être bon – éducation, peut-être même religion mais adaptée aux coutumes locales – ou rejette-t-on tout en bloc ?
Et c'est très finement que le roman met en scène les contradictions et dilemmes d'un peuple colonisé qui, voulant sauvegarder sa pureté, comprend qu'elle n'est déjà plus qu'une construction mythique et qu'il faut la retravailler pour rendre sa dignité à la tribu broyée.
 
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Invité  /  Invité


Livre présent - Page 24 16035410

De la bonne mauvaise science fiction comme je les aime. Il h à des fautes tout le long du texte, parfois des incohérence. L'auteur se fait des fixettes sur le monde des insectes on dirait presque parfois plus un essai scientifique qu'un roman (Il dose très mal les choses xD). Mais bizarrement, des fois, lire un mauvais livre c'est comme regarder un téléfilm de noël : ça vide le cerveau et c'est agréable. Ça fait même du bien, au fond. Je dois être comme les amateurs de nanars en fait. Je suis très content d'avoir trouvé ce livre dans une bibliothèque de rue. J'ai piqué plein d'autres bouquins de SF dans le même genre, j'espère qu'ils seront aussi cools xD
 

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