Ikor éditions a écrit:

si vous souhaitez envoyer vos manuscrits, vous serez les bienvenus. Si vous ne le souhaitez pas, je vous souhaite longue vie. Pour toutes questions supplémentaires et non destruction massive de l'éditeur vous pouvez me contacter par MP.

Il y a des millions d'ouvrages et des milliers d'auteurs, chacun attend que la porte s'ouvre. Après si on désire taper sur la porte au lieu d'en saisir la clé, chacun est libre

Juste un conseil, si vous aimez casser une porte, ne vous étonnez pas aprés qu'elle ne soit pas votre amie

Nos questions sont parfaitement légitimes et en rien agressives. Je ne vois aucune "destruction massive" (et pas plus d'éditeur, pour le moment) ici. Quand on devient agressif, je peux vous dire que ça prend une toute autre forme.
Et votre absence de réponse ne fait que confirmer nos craintes. D'autant plus que d'après votre métaphore filée il faudrait accepter n'importe quoi de n'importe qui du moment qu'il se prétend éditeur...
Pour rester dans votre métaphore, être l'ami d'une mauvaise porte, c'est se mettre toutes les bonnes à dos (en plus d'être un poil psychotique, parce que je connais aucune personne saine d'esprit qui soit ami avec une porte...). Pour faire ça, autant la construire soi-même, sa porte.
Fin bref, c'est votre droit de ne pas nous répondre et de donner une mauvaise image de vous, comme c'est le nôtre de faire appel à vos services, ou pas.
Bon courage.

[quote="Marc Anciel"]

Ikor éditions a écrit:

Fin bref, c'est votre droit de ne pas nous répondre et de donner une mauvaise image de vous, comme c'est le nôtre de faire appel à vos services, ou pas.
Bon courage.

J'ai répondu à plusieurs questions, et comme ce sont les mêmes qui reviennent, j'ai précisé que nous allions faire une FAQ pour que vous puissiez avoir toutes les réponses.

Et un peu d'humour ne nuit pas on peut être ami avec qui ont veut sans être forcément mal dans sa tête. Il y a des portes que l'on peut aimé, notamment celle du jardin secret, ou celle des rêves. Etre auteur est aussi le monde de l'imagination

Bientôt on sera obligé comme pour les boulangers d'ajouter le terme "artisan" à celui d'"éditeur". Il y aura les artisans éditeurs proposant un véritable travaille d'éditions aux lecteurs et aux auteurs, et à côté de ça, les "éditeurs" qui ne seront que des dépôts de livre, des intermédiaires entre l'auteur et l'imprimerie (et rien d'autre). Sûr, que dans un monde qui a fait allégeance au vide, le métier d'intermédiaire est un métier d'avenir.

On ne s'improvise pas éditeur. Il y a des éditeurs de qualité moyenne comme il y a des auteurs moyens. Il n'y a aucun intérêt à se faire éditer par un intermédiaire qui n'a aucun regard sur ce qu'il vend. Ça pourrait tout autant être de la soupe ou du savon, du cheval ou du bœuf, ce qu'il vend ce n'est pas un produit mais un service à coût réduit.

Après je veux bien croire qu'il y en a des honnêtes et compétents qui sont passionnés des livres et partent, comme les auteurs qu'ils publient, de rien. C'est tout à leur honneur dans un marché déjà asphyxié. Ici, ce n'est clairement pas le cas.

Pour séduire le chevalier blanc, il faut se faire toute belle. Je préfère rester vieille fille avec un avorton sur les bras qui a le goût de cellophane qu'être mariée à un emballage plastique (tin faut que j'arrête le thé moi).

Ikor éditions a écrit:

si vous souhaitez envoyer vos manuscrits, vous serez les bienvenus. Si vous ne le souhaitez pas, je vous souhaite longue vie. Pour toutes questions supplémentaires et non destruction massive de l'éditeur vous pouvez me contacter par MP.

Il y a des millions d'ouvrages et des milliers d'auteurs, chacun attend que la porte s'ouvre. Après si on désire taper sur la porte au lieu d'en saisir la clé, chacun est libre

Juste un conseil, si vous aimez casser une porte, ne vous étonnez pas aprés qu'elle ne soit pas votre amie

Destruction massive ou questions embarrassantes?

Hélas, les miennes resteront sans réponses, je suppose...quoique l'absence de réponse est déjà une réponse en soi.

Vous aviez pourtant l'air de vouloir jouer franc jeu. Il n'y a aucun mal à proposer un partenariat commercial. La seule chose c'est que ça doit être clairement expliqué dans le contrat et pas déguisé en contrat d'édition littéraire classique...parce que pour l'auteur qui y croit vraiment, la porte il va se la prendre dans la g...

Float a écrit:

Ici, ce n'est clairement pas le cas.

Qu'est-ce qui vous fait dire cela ? Même si c'est flatteur pour notre équipe qui travaille d'arrache-pied, avez-vous au moins pris contact avec notre première auteure pour voir si elle est satisfaite ?

SergentMajor a écrit:

Ikor éditions a écrit:

si vous souhaitez envoyer vos manuscrits, vous serez les bienvenus. Si vous ne le souhaitez pas, je vous souhaite longue vie. Pour toutes questions supplémentaires et non destruction massive de l'éditeur vous pouvez me contacter par MP.

Il y a des millions d'ouvrages et des milliers d'auteurs, chacun attend que la porte s'ouvre. Après si on désire taper sur la porte au lieu d'en saisir la clé, chacun est libre

Juste un conseil, si vous aimez casser une porte, ne vous étonnez pas aprés qu'elle ne soit pas votre amie

Destruction massive ou questions embarrassantes?

Hélas, les miennes resteront sans réponses, je suppose.

Vous aviez pourtant l'air de vouloir jouer franc jeu. Il n'y a aucun mal à proposer un partenariat commercial. La seule chose c'est que ça doit être clairement expliqué dans le contrat et pas déguisé en contrat d'édition littéraire classique...parce que pour l'auteur qui y croit vraiment, la porte il va se la prendre dans la g...

En fait c'est avec grand plaisir que je répondrais à vos questions car aucune n'est embarrassante. Cependant, aprés avoir lu 5 pages de forum, répondu à plusieurs questions qui me semblait essentielles, passé ma matinée à écrire, et au final avoir la sensation de ne pas avoir avancé.

Je pense et vous le comprendrez que je doive absolument rattrapé mon planning. j'ai des manuscrits à lire puisque je fais partie du comité de lecture et si cela peut vous rassurer ils sont lu entièrement et travaillé avec l'auteur quand on voit des coquilles. Notamment le roman de Paul a quelques coquilles repérées en lecture, avec peut être une erreur de nom de personnage.

Quand au contrat diffusé plus haut c'est un contrat qui sert de base à la discussion, Paul le voulait rapidement, avons-nous bien fait ou mal fait d'écouter cette exigence, seul l'avenir nous le dira. Habituellement nous donnons le contrat à lire, nous en discutons et ensuite chaque partie le signe.

Si vous avez des questions vous pouvez me les poser par message privé, j'y répondrais avec plaisir, chaque cas étant unique, une réponse globale ne pourra pas être satisfaisante

La porte reste ouverte, en ce qui me concerne, pour recueillir vos réponses (je ne suis pas le seul à avoir de l'humour ici ). C'est juste qu'entre "j'arrête là" et "je n'ai pas le temps de répondre à vos questions pour le moment", il y a un monde.
C'est bien pour ça que je n'ai jamais émis d'avis définitif. Pour le moment, je signerais pas chez vous mais ce "pour le moment" vous laisse la possibilité de me convaincre.
Fin, je vous cache pas que ça va être un poil compliqué, quand même. ^^

Je reprécise les choses concernant ma demande "rapide" de contrat.

Dans un mail reçu mercredi, vous m'annoncez que mon manuscrit est accepté par le comité de lecture et me demandez directement mes informations personnelles afin de m'envoyer le contrat que je dois retourner signé s'il me convient. Donc c'est bien vous qui avez évoqué en premier la réalisation du contrat avant tout échange.

Vendredi je vous suggère de me l'envoyer par mail afin d'en discuter d'abord, avant de passer par un envoi postal. Par économie de timbre.

Et lundi matin vous me l'envoyez au format pdf. De là les échanges ont commencé.

Des questions concrètes ont été posés sur la promotion et la diffusion des livres. Qu'est-ce qui est à la charge de l'éditeur ? Et de l'auteur ?

On vous demande simplement d'y répondre.

J'ai posé ces questions par mail privé hier à votre collègue, ainsi que sur le forum, et je n'ai toujours pas eu de réponse.

Si vous ne souhaitez pas y répondre sur le forum, merci de me répondre au moins par mail privé.

N'ayant plus de nouvelle ni sur le forum, ni en mail privé, je crains que les discussions soient closes, et l'affaire classée sans suite.

J'espère encore me tromper, mais depuis que je me suis lancé dans l'aventure de l'écriture et la recherche d'éditeur, j'ai appris à supporter la désillusion. Jamais agréable, mais gérable.

Pas question de se laisser abattre. Ce soir, je ferai le point sur les envois de manuscrit : ceux m'ayant répondu, ceux ne l'ayant pas fait... et les enverrais à certains que je viens de découvrir en fouillant les topics du forum

A l'avenir, tant que je n'aurais pas lu le contrat, je ne ferais plus des sauts de cabri quand un éditeur dit accepter mon manuscrit. Bon, si c'est un gros éditeur, genre Albin Michel, je ne dis pas...

En tout cas, éditeur sérieux ou pas, je salue l'effort de cette personne de s'être mouillée ici.

Oui. C'est la preuve que cette personne y croit. Après, libre à nous de partager ou non sa croyance :-)

Il faut peut être lui laisser un peu de temps ? On ne peut pas toujours répondre en direct.

Comme je le disais "j'espère encore me tromper" :-)