Au lieu de t’échiner à me donner envie d'écrire va faire un traité contre les cons dans mon genre par exemple, je suis sur que ça sera très lu et apprécié ! Même moi je pense que je le lirai, pour un petit moment de rigolade.

Mais en fait, tu ne me connais pas réellement et je ne te connais qu'à travers tes remarques cyniques. C'est pourquoi je ne tarderai pas à lire un extrait de tes écrits. Il se pourrait que tu sois une grande écrivaine ! Et puis par la même occasion, au lieu de lancer des commentaires sur mon orgueil, mon ego et mon culot démesuré, apprends d'abord à me connaître: Ensuite tu auras le droit de me juger et je n'aurai rien à redire .

Tu sais Ombros, les gens ici te connaissent et apprennent à te connaître à travers la façon dont tu t'exprimes à l'écrit. Le reflet que tu donnes se traduit par ton expression écrite.
Sachant qu'en plus, le fait d'écrire soit le sujet même du forum, un individu qui est agressif et violent dans ses mots, sans raison, ne maîtrise pas l'écriture et ne donne pas envie qu'on le lise.


Personnellement, je n'ai pas envie d'apprendre à te connaître si je ne t'ai pas déjà lu avant.
Heureusement, je ne retiens pas le fait que tous tes messages soient si vindicatifs.

Quant aux autres réactions concernant le post d'Ombros, inutile de s'emballer. Je ne pense pas qu'il voulait faire mal. Mais qu'il a simplement difficilement encaissé certaines critiques et que ça ressort ici. AU final ça le fait écrire! tant que c'est sain comme on l'a vu plus tôt

On se calme, bande de sauvages.

Swa a écrit:

Mais qu'il a simplement difficilement encaissé certaines critiques et que ça ressort ici.

Oui, enfin, si critique il y avait eu, au moins... Le contexte est plus compliqué.
Enfin bon.

Ouioui Hobbes.

Ah... cette sensation quand on parle de moi.

(Au fait, j'ai galéré pour se faire afficher ce p**ain de gif!!!)

Edit: pour répondre au sujet (ouais parce que bon...) j'ai remarqué que ce qui me stimulait à écrire était d'avoir un chaperon sous le coude. Quelqu'un qui te dit "c'est quand la suite?" ou encore "t'en es où?"
Avoir au moins une personne dans la confidence, c'est pas mal parce qu'au moins il/elle peut te foutre des coups de pieds au cul quand tu passes par la fameuse période de flemme et de découragement.
Ce forum en lui-même est aussi un bon stimulant car on se sent moins ... alone in the dark!
Lire aussi. Ça ravive le désir d'écrire.

Le chaperon, c'est un c****r de première, j'ai toujours envie de lui dire : "mêle-toi de tes affaires ou écris le toi-même, ce bouquin !"

Une méthode infaillible pour écrire ? Ça ressemble à ces pubs sur internet, "j'ai maigri de 90 kilos en un mois, suivez ma recette gratuite dans ce lien absolument pas bourré de virus". Si quelqu'un en tenait une infaillible et universelle, il l'aurait donnée immédiatement à tout le monde... s'il s'arrêtait d'écrire.

Quelqu'un qui nous motive pour connaitre la suite peut effectivement être assez efficace.
Mais ça ne m'est jamais arrivé, perso, parce que la plupart du temps je garde mes écrits pour moi, et je ne trouve jamais vraiment de problème pour écrire. Je laisse monter l'envie, et j'écris quand je veux.

Ce qui déclenche l'écriture chez moi ?
hm... Un film, une scène particulièrement touchante, une musique, une situation.
Bref, n'importe quoi qui provoque un bouillonnement dans mes entrailles, que je dois libérer en écrivant.

C'est pas une science exacte... un stimulant qui a marché une fois ne marchera pas toujours, ou au contraire fonctionnera à tous les coups.
Je ne sais pas, je crois que c'est surtout un truc qui me ronge. Je n'ai pas encore assez analysé quand/pourquoi ça se produit pour répondre clairement (et pourtant, ça fait plus de 12 ans que j'écris...)

Moi mon stimulant pour me remettre à écrire en cas de "démotivation passagère" c'est un film bien précis. Dès que je le regarde, je ne sais pas pourquoi, mais je ne peux pas faire autrement que me remettre à écrire.

Spoonky a écrit:

Moi mon stimulant pour me remettre à écrire en cas de "démotivation passagère" c'est un film bien précis. Dès que je le regarde, je ne sais pas pourquoi, mais je ne peux pas faire autrement que me remettre à écrire.

Et c'est quoi ce film?

Pour ma part, ce qui me stimule pour écrire est la musique. Il y a plusieurs chansons qui résument bien l'idée que je me fais de mon histoire, qui collent bien à son ambiance. Et ce sont bien sur des musiques que j'adore. Après en avoir écouté une ou deux, je me sens déjà plus inspirée pour écrire, plus motivée, aussi.

isallysun a écrit:

Spoonky a écrit:

Moi mon stimulant pour me remettre à écrire en cas de "démotivation passagère" c'est un film bien précis. Dès que je le regarde, je ne sais pas pourquoi, mais je ne peux pas faire autrement que me remettre à écrire.

Et c'est quoi ce film?

C'est le film "Fucking Amal". Dès que je le vois, Bam ! Il faut que j'écrive, j'ai pleins d'idées qui me viennent. Mais parfois ça peut venir d'autres films mais celui-là a un effet rapide et radical.

(Bon, je me lance ...)
J'avoue que l'ambiguïté de ce thème de "stimulant sans faille" est intéressant ... mais aussi ambiguë de premier abord. Entre les stimulants purement naturels et la véritable impulsion, il y a des nuances à poser (et plutôt bien).
Hemingway, Bukowski et co, carburaient principalement à l'alcool. K Dick carburait aux amphétamines. Bref, il y a eu autant de bonnes que de mauvaises fins. Une chose est certaine, il y a forcément une part de névrose dans le processus. C'est un fait à admettre. Dans ce domaine la question intéressante à se poser (qui connaîtrait la phrase des Spacemen 3 ?) : la drogue est-elle un stimulant pour l'écriture ou l'écriture est-elle juste l'accompagnement pour la drogue ? (une simple question, pas une apologie ou contre-apologie).
Sinon, la musique est un stimulant inévitable (surtout que je suis un fervent partisan de la synesthésie, ou de la couleur des notes). D'un point de vue plus interne de stimulation, cela se résume à une autre question  : un joueur de blues serait-il aussi bon et passionné s'il ne ramait pas dans sa propre vie ?
Sinon, un tit 'tard peut-être ? (hum, je renvoie à la première question).
Une autre idée c'est de sortir avec un calepin, histoire de caser un plan. Pour moi, c'est très IMPORTANT, dans mon cas, la réécriture pèse plus de 90 % du temps d'écriture (J'aime écrire des pavés). Disons que j'ai des idées claires sur des moments clés du livre et de relie le tout à la manière d'un téléphérique sur des montagnes de fractales (à partir de quand s'égare-t-on ?).
(A bon lecteur, bon écrivain )

Mon meilleur stimulant, surtout maintenant que j'écris quasiment tous les jours (1k mots minimum) c'est de toujours avoir un texte en cours qui colle à mon humeur.
J'ai 7 ou 8 projets en ce moment, donc il s'en trouve toujours un pour lequel l'inspiration vient très vite ou que j'ai envie de poursuivre.
J'ai aussi un carnet (virtuel) d'idées qui regorge de tout ce qui me traverse l'esprit.

L'habitude d'écrire est un bon stimulant, aussi, je trouve. Je garde beaucoup plus le "fluide" d'une cession à l'autre.

mon meilleur stimulant ?
je dirais mes personnages et le "pouvoir" que j'ai sur eux la plupart du temps...
et puis mon histoire aussi, l'envie de la raconter de la meilleure façon possible...