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 [Editeur] Publication de votre 1er roman : vos attentes

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Mitsu
   
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Mitsu  /  Powerpuff girl


Dites, les gens, ces derniers temps les débats sont plutôt tendus. Peut-être que si vous admettiez qu'il n'y a pas de bonne ou de mauvaise réponse, et que ces sujets sont ouverts pour que vous partagiez votre avis - pas pour essayer de convaincre les autres - l'ambiance serait-elle plus cordiale Smile
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e-bou
   
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Bonjour. J'arrive après la bagarre. Tant pis. Bon, la question :

Citation :
- Vous publiez votre premier livre, à partir de combien d'exemplaires vendus considérez-vous que l'éditeur à bien fait son boulot ?
- Vous publiez votre premier livre, vous souhaiteriez toucher combien en à-valoir de la part d'un éditeur sérieux ?

question 1 : le problème de la question n'est pas la question du nombre, c'est le problème de l'estimation, de l'estime de soi, de l'estime des autres.

C'est donc subjectif, dépend du segment et de la motivation initiale de l'écrivain. Puisque la question est adressée aux auteurs de premiers romans, et que c'est mon cas, je vais répondre pour moi, subjectivement.

Je n'avais pas d'idée du nombre standard des ventes. L'éditeur a parlé de 2000 pour le premier tirage. Je crois que je serais satisfait de ce nombre s'il était vendu.

Question 2 : Disons que pour un tirage de 2000, il me semble qu'un à-valoir honnête peut tourner de 5% de la valeur totale de vente du premier tirage, sachant que la marge finale est de 9% des exemplaires effectivement vendus. Donc : 2000 exemplaires à 20 euros =40000 euros. 40000 X 0,05=2000 euros. À 2000 d'à valoir pour 2000 exemplaires imprimés (et pas forcément vendus), ça me semble correct. Je parle en prix de vente hors taxes et en revenu brut.

Et pour finir, j'espère vendre suffisamment pour que l'éditeur ait envie d'éditer la suite de la série rapidement, donc, qu'il fasse bien son boulot et qu'il gagne sa vie sur mon livre.

Beaucoup d'auteurs vivent aussi des signatures, d'ateliers d'écriture et autres produits dérivés assimilables aux droits d'auteurs. Il y a donc également les retombées indirectes pour ceux qui le souhaitent qu'on doit aussi au fait d'être édité. Mais je sors moi aussi de la question posée dans le topic.

Bonne journée à tous.
 
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C'est quand même un comble de se faire traiter d'individualiste quand on défend au contraire un droit collectif...

intéressante ta réponse e-bou, je n'avais aucune idée de comment le calculer cet a valoir. Ca donne déjà une base.

Et je suis assez d'accord sur la question 1...
 
L'ivre-Book
   
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Je sais, je sais que l'on parle en tirage mais regardez-vous seulement le tirage ou le nombre vendu et par conséquence à combien de vendus estimeriez-vous être satisfait pour un premier roman.
Je suis désolé que cette discussion puisse partir en c..., ce n'est pas voulu. Mais c'est un peu, hélas, l'état d'esprit d'aujourd'hui, on se sent tout de suite attaqué, même si ce n'est pas le cas, et on prend l'autre pour l'adversaire, alors qu'il n'y a pas de raisons.
Si on veut se respecter soi-même et être respecté, il faut respecter les autres. Des avis contraires peuvent aussi faire avancer les choses et on peut toujours essayer de convaincre sans affrontement sanglant.
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Mitsu
   
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Mitsu  /  Powerpuff girl


C'est compliqué de répondre à la question du nombre de ventes attendu. Si un jour j'étais éditée, je pense qu'à partir de 1000 exemplaires, je serais contente. Et qu'au-delà j'ouvrirais le champagne Smile J'ai entendu dire que dépasser les 1000 exemplaires était assez rare pour un premier roman.

Ensuite, je suppose que mes attentes seraient d'autant plus hautes que le pouvoir de promotion de l'éditeur serait important.
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e-bou
   
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Disons que l'à valoir doit être en rapport avec ce que l'auteur devrait toucher si le premier tirage se vend correctement. C'est le signe que l'éditeur croit dans les chances du livre.

Exemple 1 :

Un poète qui sort un livre à 6 euros édité à 500 exemplaires ne peut pas avoir grand chose.

Si l'éditeur vend 400 exemplaires, le chiffre d'affaire total sera de 2400 euros, peut-être vendu sur plusieurs années. Si l'auteur est à 10% (ce qui est déjà beaucoup pour ce type d'ouvrage et tirage), il touchera in fine 240 euros.

Si le poète touche 180 à 200 euros, c'est signe que l'éditeur croit en la qualité de son travail. Bien entendu, il n'en vivra pas, mais il se trompe s'il pense qu'on se moque de lui. Il ne sait pas compter, c'est un poète Rolling Eyes

Exemple 2 :

Si un auteur à succès tire régulièrement à 230000 exemplaire en beaux livres, le chiffre d'affaire est pour un prix HT de 20 euros unitaires de l'ordre de 4 600 000 euros. Si l'auteur est à 12%, il recevra in fine 552 000 euros. Un à-valoir de 450 000 euros n'est pas un risque pour l'éditeur. L'auteur devra donc négocier sur le pourcentage, pas sur le montant de l'à-valoir dont en toute logique, il doit se moquer comme d'une guigne.

Bien entendu, l'observatoire du livre nous dit qu'ils sont deux ou trois en France à ce niveau. Musso, Levy, et Pierre Dunkan qui veut nous faire maigrir en mangeant du steack cru. *vomi* Je préfère mes rondeurs. Il nous apprend aussi que ces quelques-uns-là sortent plus d'un bouquin par an, la vie est mal faite.

Pour moi :

Avec l'à-valoir de la série, j'ai acheté des valises pour toute la famille pour partir en voyage. Les autres avaient 20 ans, elles étaient un peu pourries. J'ai même pu changer la vanity. On était super contents, fiers et tout en traversant la ville avec nos Samsonite "made in l'Atalante". Very Happy

Avec l'à-valoir du premier tome, je vais organiser un week-end en pension complète avec les relecteurs. Il devrait rester juste assez de sous pour avancer le billet de train Amiens/Aulnay-sous-bois pour le salon en juin, mais le week end, c'est vin et café compris pour six personnes en gite rural !

La vie est belle.
 
Annunziata
   
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Pour moi c'est aussi compliquer de répondre à la question, parce que déjà réussir à avoir 500 exemplaires et les vendres c'est déjà énorme. Par ma part ce sera déjà une grande satisfaction, même si j'admets que réussir à avoir 2000 exemplaires vendus, c'est le paradis pour une première oeuvre. Il ne faut pas non vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, savoir se satisfaire de ce qu'on a et non ce qu'on a pas.

Ensuite, je crois que la première chose qui est importante avant le fric, c'est la reconnaissance. Voir son roman en librairie ou en version Ebook, c'est l'aboutissement d'année de travail et également une reconnaissance de la part de l'éditeur et de la société qui veut bien acheter votre création. C'est une fierté que bon nombre d'aspirant "écrivain" rêve. Être enfin reconnu comme étant un auteur "talentueux" reconnu par notre système ( pas très fiable, je l'avoue... )

Je le dis tout de suite, le fric ne m'intéresse pas ( on vit déjà dans une société trop obsédé par celui-ci ). La seule chose qui compte c'est d'avoir des lecteurs qui apprécient mon oeuvre, qu'ils en parlent autour de soi et non pas le côté Chouette, je vais avoir 100'000'000 Euro en compte en banque. Je suis malheureusement pas ainsi, d'abord les lecteurs, les amis, la famille et le fric en dernier...

Après demandez ces questions c'est un peu le bonheur la chance, car on ne sait pas ( surtout pour ceux qui ne sont pas encore édité ). Tant qu'on a pas signé de contrat et tant qu'on a pas vu les résultats de la vente de notre livre. On ne peut pas vraiment dire à combien d'exemplaire est-ce qu'il va se vendre.
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Papigeo
   
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ilham a écrit:
La réponse est déjà donnée dans ce que tu as cité, Papigeo...
Je n'ai édité aucun roman. Je n'ai même fait aucune démarche dans ce sens.
Mais je rencontre des auteurs, je discute avec eux, je me renseigne... et j'en tire mon opinion.
Ce qui ne préjuge en rien du fait que je parvienne un jour ou non à ce que je désire... il est tout à fait possible que jamais aucun éditeur digne de ce nom n'accorde le moindre intérêt à ma prose. et cela avant même qu'on commence à discuter gros sous.
C'est pas grave, ça restera un loisir, c'est tout.

Je comprend mieux ton intransigeance.
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Laska
   
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Intéressant comme sujet pour une éditrice. :mrgreen: À peu près toutes les personnes qui se sont exprimées sur le sujet ne voudraient donc pour rien au monde être éditées par moi... aïe ! Razz

QuillQueen a écrit:
ouep, moi je suis éditrice vous me dites ça je vous envoie péter. Clairement. Vous ne me faites pas confiance, avant même que je vous ai expliqué les modalités, donc, ça ne peut pas fonctionner, excusez-moi j'ai des gens plus modestes qui attendent.
C'est un peu ça, oui. Wink

Et je voudrais insister une remarque de jeBookine, dont le fait qu'elle soit passée à la trappe me semble refléter la pertinence du débat. Vous parlez tous de "vendre" un livre à l'éditeur ou de lui céder vos droits comme si c'était une opération irréversible. Personnellement, je vous déconseille de céder vos droits à vie, à-valoir ou pas. Mais vous pouvez les prêter à un éditeur pour une durée déterminée.

L'idée selon laquelle on peut aussi bien se passer d'un éditeur s'il n'apporte pas un plus-value importante au niveau pécuniaire me sidère. Non qu'elle soit totalement infondée ; certaines personnes passent par l'auto-édition et y réussissent, mais voilà l'exemple même d'un modèle non généralisable. Éditer un manuscrit est une montagne de travail, et si votre éditeur ne vous apporte rien de plus ce que vous pourriez vous apportez vous-mêmes, fuyez, non parce qu'il ne vous propose pas d'à-valoir ou de lecteurs tout cuits, mais parce qu'il ne fait pas son travail... Rolling Eyes

En fait, j'ai du mal à comprendre la posture "quitte à être édité, il faut que ça vaille le coup". Comme si l'édition représentait en même temps une forme de perte (peut-être dû à cette confusion que l'édition signifie forcément une cession complète et illimitée de ses droits), alors que le pire qui puisse arriver, c'est de ne gagner presque rien et d'avoir dû faire des corrections en plus sur son texte...

À ce propos, je vous conseille un blog en anglais, pour ceux et celles qui le lisent : Drunk Writer Talk: In Defense of Harlequin... (Pour résumer : Harlequin ne sont pas des saints ni les chums de leurs auteurs, mais si votre but est d'être lu et de gagner de l'argent, alors dans 95 % des cas, leurs conditions restent préférables à l'auto-édition.)

Après, Harlequin sont Harlequin, justement. Leur taille permet à la fois : 1) que même des conditions objectivement bof vaillent le coup pour les auteurs, 2) que leurs auteurs cherchent ensemble à améliorer leurs conditions.

Pour ma part, à partir de 200-300 lecteurs, j'estime que je pourrais rémunérer mes auteurs correctement (plus de 500 $ pour un roman), mais plus ça va et plus je doute de pouvoir atteindre 200 lecteurs... Sad Pourtant, Dieu sait que je crois dans ces histoires et que je suis prête à tout pour le plus de monde possible les découvre ! Enfin, il reste encore trois mois pour continuer la promo... Twisted Evil
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PoissonRougeMan  /  Petit chose


Mais... Pourquoi faire confiance à l'éditeur sans le connaitre? Tout se négocie de toute manière, ça a été dit, mais pour un auteur, je pense qu'il est au contraire très sain de ne pas faire confiance à un éditeur, parce que peut-être vous placez-vous dans la catégorie des bons éditeurs (ce n'est pas un jugement, je ne vous connais simplement pas), mais il y a une pléthore d'éditeurs pourris, donc... pourquoi faire confiance sans connaitre?
Quant à dire "des gens plus modestes", moi ça me fait peur perso.

Quant au "quitte à être édité, il faut que ça vaille le coup", pour moi c'est assez limpide. J'ai bossé des centaines d'heures sur mon bouquin, ça m'a bouffé un gros paquet d'énergie, je me suis vraiment investi dedans, donc oui, je veux que ça en vaille la peine. Et céder mes droits, même pour une durée limitée, à un éditeur qui va faire deux trois corrections dedans et en vendre autant sur le marché du samedi (en caricaturant un brin), ce n'est pas ce que j'attends.
 
Papigeo
   
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Papigeo  /  Tapage au bout de la nuit


Pour moi un éditeur qui vous édite à compte d'éditeur, qui évidemment ne vous demande pas un centime, ne vous demande pas d'acheter un certain nombre de votre roman, ne vous demande pas que vos connaissances achètent un certain nombre de vos livres avant de commencer l'édition est digne de confiance.

Pourquoi voulez-vous qu'un éditeur qui ne vous a rien demandé, (même s'il ne vous versent pas un avaloir) après avoir fait les corrections (je peux vous dire pour le faire régulièrement que c'est un sacré boulot), la mise en page, la page de couverture, fait imprimé 500 à 4000 exemplaires, voire plus ne cherche pas à commercialiser votre roman, ce serait stupide et suicidaire, il ne mettrait pas longtemps à déposer le bilan.
Imaginer une grande surface de jouets qui trois mois avant Noël ferait imprimer 50 000 catalogues de jouets et qu'au lieu de les distribuer, il les mettrait à la poubelle.
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+100 papigeo

Vraiment, je crois que pour beaucoup vous n'avez pas rencontré assez d'éditeurs dans votre vie, IRL j'entends, écouter leurs propos et non faire semblant, vous devriez sortir de l'épouvantable sphère internet aux comptes d'auteurs et autres sites de faux livres, pour voir les amoureux du papier. Editeur et auteur, ont les mêmes combats, que ça vous plaise ou non, mais ils ne se battent pas de la même manière, et tant mieux !

Dès qu'on sous entend que l'éditeur peut être un type sympa qui a vraiment envie de défendre une oeuvre, on reçoit des discours défaitistes qui résument l'éditeur à un robot jouant au spéculateur boursier, aussi froidement que Ford qui licencie des milliers de Genkois avant d'annoncer de jolis bénéfices d'entreprise...

Si la plupart des éditeurs avouent fonctionner au coup de coeur, c'est qu'ils en ont un... pfff franchement, c'est guili nombril certaines réponses. Pour bien vendre un livre, le but c'est "ensemble" pas "chacun pour soi". Parce que si c'est pour venir voir votre éditeur avec un casque et une hache en criant "tayauuu !", vous ne récolterez rien. Ni bonne entente, ni écoute de vos besoins REELS, ni grand enthousiasme.
 
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Mdr...
Parce que tu crois être la seule à rencontrer des éditeurs, des vrais... Wink
Tu crois qu'on vit dans notre petite bulle parce qu'on ne raconte pas ce qu'on a foutu de notre week-end ?
Enfin bon, c'est pas avec ce genre d'argumentation (ou plutot d'absence d'argumentation quand on tombe dans les attaques mesquines) que tu vas convaincre...

Moi, j'en ai rien à foutre qu'un éditeur soit sympa, tout comme j'en ai rien à foutre que le mécano du garage où j'amène ma bagnole le soit. Je veux juste un gars professionnel et efficace.

Je cherche pas un pote avec qui discuter littérature au coin du café... ça, c'est bon, j'ai déjà dans mes relations ! mdr

Tant mieux pour toi si tu ne demandes que ça à un éditeur, être sympa et passionné, c'est pas difficile à remplir comme exigence au moins !

Euh sinon, pourquoi j'ai pas envie de faire confiance au premier venu, Papigeo ?
ben suffit de regarder le nombre de nouveaux éditeurs qui se cassent la gueule après un ou deux ans d'activités... Ça refroidit.
Ensuite, vendre 200 exemplaires d'un roman lambda ? C'est bon, j'ai pas besoin d'un intermédiaire qui prélève sa dime pour ça... je peux me démerder seule... si j’ôte un peu mes doigts du nez.



 
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Pareil. Des éditeurs, des vrais, j'en ai rencontrés quelques uns. C'était tous des gars et des femmes sympas et passionés. Mais etre sympa, ca suffit pas pour etre compétent. Et ca, ca se voit au nombre impressionnant de nouvelles boites qui ferment.

Au bout d'un moment, il faudrait arreter de croire que tous les jeunes auteurs qui ont un minimum d'exigences (parce que putain, on ne demande pas la lune) sont des inconscients prétentieux. On ne doit pas tout a l'éditeur, et l'éditeur profite aussi de notre boulot. C'est normal d'avoir des exigences, c'est sain.
 
Clementh
   
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Clementh  /  Autostoppeur galactique


Je suis d'accord sur en tous points avec Laska, Papigeo et QuillQueen : c'est bien mieux de faire passer de l'argent dans de la diffusion que dans des à-valoir. Oui, Galligrasseuil pourra vous donner des à-valoir conséquents, mais il n'a pas qu'eux dans la vie, et les petites boîtes ne peuvent pas donner des à-valoir astronomiques (500€, mais wtf, si une petite boite fait ça, elle est plus là dans 15 jours hein).
Faut savoir que l'éditeur ne touche pas grand chose non plus sur les ventes. Sinon, ça ne serait pas un "métier de gentleman" (comme on le disait avant).
 

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