Nombre de messages : 357 Âge : 34 Localisation : 00.000.00.0 Pensée du jour : « Il n'y a pas une tête lucide entre deux termes d'un choix. Il y a une nature étrange, en détresse de n'être pas les deux. » Date d'inscription : 22/07/2021 | Nuage-Rouge / Tapage au bout de la nuit Ven 13 Oct 2023 - 22:21 | |
| Le préambule que j'avais posté avec mes commentaires : - Citation :
- en préambule à ce classement je dois dire que « patchouli » et « fragrances » sont pour moi les clichés fautifs qu'il fallait éviter, et qui ont nuit aux poèmes qui les ont mobilisés, voire qui en ont abusé.
Pour moi aussi, un piège du thème était de foncer dans le champ lexical des odeurs et parfums. J'ai généralement plus apprécié les poèmes dont le pivot, l'enjeu tenait à cette notion d'odeur, mais qui ne s'engageaient pas dans une pure description d'une odeur ou des odeurs en en faisant des caisses, en essayant de mobiliser le vocabulaire le plus abondant (et cliché) du champ lexical.
Aussi, j'ai dû classer les poèmes non seulement en fonction de mon sentiment à leur égard, mais en essayant de considérer l'effort qui a été fait pour honorer le thème avec originalité et subtilité sans trop le tordre ni s'en éloigner en se disant « mon poème parle d'amour ou, j'ai vaguement évoqué une odeur, ça passera ». Pour moi il fallait 2 éléments pour être dans le thème, il fallait véritablement se focaliser sur la figure de la personne aimée, et tout autant l'odeur associée. Après le type d'amour, de personne, l'enjeu de cette relation odeur/sentiment, c'était tout l'intérêt du sujet.
Donc par souci d'équité il y a quelques poèmes que j'ai moins appréciés qui se trouvent classés avant d'autres que j'ai plus appréciés mais qui me semblaient moins respecter le thème.
- Mes commentaires, avec le classement de chaque poème de la première à la dernière position:
1er => n°13
« l’odeur c’est celle qui me reste après les jours à explorer les recoins des tapisseries de vide qui creusent mes joues
l’odeur de celui que j’ai quitté celle que je cherche dans celui qui m’attends et me fait partir aux premiers mots des expressions qui entachent ma parole »
Ici il y a quelque chose. Quelque chose d'original et simplement évocateur, l'odeur comme révélateur du vide (« qui creuse les joues », belle trouvaille pour évoquer les effets de l'absence sur le corps et l'esprit), l'odeur encore comme on l'a vu ailleurs comme évocation d'une absence, comme lien à l'absence. Ici l'odeur est le point d'entrée vers une introspection de la relation à la personne aimée (qui n'est pas une personne en particulier, qui est un motif récurrent, la personne aimée est de passage dans la vie, son odeur n'est pas son odeur propre, c'est l'odeur de la personne aimée de manière générique), et la figure de l'odeur permet subtilement d'évoquer le mouvement de quitter/chercher, et ses causes/conséquence sur le ou la poétesse franchement je trouve ce poème original, subtile, touchant, sans manières ni airs. En quelques images simples, efficaces (flemme de les analyser une à une), on a des états précis et les enjeux de ce qu'on veut nous raconter, nous évoquer, du point de vue de celui ou celle qui quitte dans le mouvement des relations, suivant une trame olfaffective
2e => n°3
Bon le titre est dommage, on a explicitement la mention du thème, c'était pas forcément nécessaire pour moi d'annoncer aussi directement la couleur
Mis à part ça je trouve le poème plutôt intéressant. Là on est dans le thème, on a quelque chose de très sensible qui n'en fait pas des caisses, qui essaye avec des images précises et un vocabulaire humble de décrire des sensations qui se mêlent à des sentiments. Et en écrivant ça je me rends compte que c'est vraiment l'axe principal du sujet, que de traiter cette rencontre entre sensation, notamment liée à l'odeur, et sentiment pour LA personne aimée. Je trouve ce poème pertinent et juste, crédible. « sentir ton souffle », évidement polysémie attendue mais incontournable. « Ta toilette achevée, dans ton cou je respire Un parfum inventé qui n’est plus vraiment toi Et que d’autres humeront sans jamais te connaître. » La pointe d'originalité du poème pour moi
et sinon un bémol sur « se lover » dont je ne suis pas fan
3e => n°6
« rousse toison » déjà là je sors du poème... Ici je dois dire que c'est une critique récurrente que j'ai à faire, il faut à mon avis arréter d'utiliser des synonymes pour utiliser des synonymes (ici de cheveux, c'est très bien cheveux), pour exhiber gratuitement un vocabulaire. Le vocabulaire ça doit servir à être précis à enrichir le sens quand c'est nécessaire, à connoter, à utiliser des niveau de langage de manière justifiée, mais ça doit pas être un costume d'apparat pour faire genre « poétique ». Ca créé ce genre de cliché gratuit kitch « ces baisers, sucrés, » pareil, cette image....
« patchouli » pourquoi quand on parle d'odeur on se retrouve avec ce cliché récurrent, là encore ce n'est pas uniquement pour ce poème, mais du coup ça affaiblit tous les poèmes, en voulant faire de ce parfum quelque choses d'unique à une personne aimée, finalement on se rend compte qu'il n'y a rien de plus commun... voir on se demande si c'est pas juste pour le mot, pour faire poétique
ceci étant dit, malgré ces détails, je suis rerentré dans le poème, le poème en général se tient bien, le thème est clairement identifié, le propos de fond est intéressant et sensible (idem sentiment/sensation), « A présent continue, cette vie sans fantaisie. Je revêts ton marbre d'essence de patchouli, M'en imbibe l'écharpe, héritage de ta vie, Avec toi dans les fleurs, illumine mon esprit. »
l'oxymore marbre/essence évocatrice le parfum est support de mémoire, la métonymie de l'écharpe est touchante. Le parfum est ici une forme de magie de liaison entre 2 mondes, deux espaces-temps, un au-delà, c'est poétique.
4e => n°14
« lle me permet de me sentir Moins seule. Mais, jamais, Elle ne te remplacera. Mélange de différentes odeurs, Devenant une senteur unique, Je l’aime… Mais moins que toi. »
ce poème très accessible, en plein cœur de l'horizon d'attente du thème, il paraît presque naïf, un peu guimauve, mais c'est ça qui le rend touchant aussi, dans sa simplicité et sa sincérité. On a encore la figure de l'odeur-mémoire comme substitue à l'absence de la personne aimée, mais ici on à une originalité en ce que l'odeur est un substitue de moindre valeur (évidement) c'est ce rapport présence/absence qui est exploré dans ce poème à travers l'odeur, l'odeur pouvant être à la fois la marque de la présence de la personne (« j'ai droit aux deux »), et la marque de son absence, un élément de présence qui perdure, en l'absence. C'est bien mis en jeu et ça fait l'intérêt et la poésie de ce poème pour moi
5e => n°11
J'ai failli mettre ce poème en premier, car sur le fond du texte, la manière dont il est amené, sa simplicité et sa précision en quelques images, j'ai trouvé la scène évocatrice, le vocabulaire adapté, pas de grande démonstrations lyriques, un texte qui ne se donne pas de grands airs. Le thème est bien mis en scène. On a bien un fil conducteur sur la figure des odeurs liés à la personne aimée, on a une odeur substitue en l'absence de cette personne, là encore support d'un lien, et la petite originalité tient à la chute qui est de conserver le lien au delà du départ, à travers l'inspiration du parfum, tout ce qu'on peut retenir et ressentir de la personne qui s'en va le matin
cependant, mis à part le titre et le dernier vers, qui sont pour moi véritablement poétiques, car ils portent en eux plus qu'une image descriptive (le courant d'air figure à lui seul tous les enjeux de la scène au sens propre comme au figuré, apparemment simple et anodin mais très bon titre pour le coup), et le « relent du départ » est une image évocatrice, le reste du texte est plutôt prosaïque. Et comme il s'agit de commenter la poésie des textes....
6e => n°4
J'ai pas assez senti le thème... j'ai senti qu'il y avait un travail sur les images mais je ne suis pas arriver à leur trouver une interprétation qui me parle ou me touche après l'ambiance générale du poème reste cohérente et « douce », elle ne semble pas forcée, elle manifeste un équilibre, une sorte de sincérité
7e => n°10 J'ai pas été très touché par ce poème, on pouvait s'attendre à ce genre de proposition. Néanmoins, le poème fonctionne bien, il est dans le thème, il mêle sentiments et sensations, aussi, il en va implicitement amener au fait qu'on parle d'un enfant avec un champ lexical de l'enfance (bonbon dès le 1er vers), p-e « polisson » arrive un peu trop tôt et on sait déjà bien de quoi il est question, ce qui peut enlever un petit effet de surprise et le sourire qui irait avec si ça arrivait plus tard, que le doute était entretenu, filé. Bon le propos qui conclu que ce qu'il y a de plus beau c'est sont propre enfant n'est pas original, mais c'est joliment dit, avec l'image que l'enfant qui se repose « imprègne le monde » de la maman.
8e => n°8
N'est pas pour moi parfaitement dans le thème. C'est un patchwork d'odeurs lié à une relation, mais pas proprement l'odeur de la personne aimée. Ce sont des souvenirs olfaffectifs. Je suis pas fan des tirets, mais il y a des choses intéressantes dans le détails précis de la vie témoignée, remémorée grâce aux odeurs ou avec les odeurs, parfois ça semble un peu trop se donner l'air littéraire à mon goût, un peu prétentieux dans l'écriture. Est-ce un poème ou une liste d'impressions littéraires ? Mais la précision descriptive donne un corps réel et vécu au texte, c'est pour moi son point fort, qui n'est pas proprement poétique
9e => n°9 Haiku simple, bon c'est à la limite du thème, mais on peut considérer que le chat est la personne aimée pour la personne, ça aurait presque été marrant d'inverser le truc en prenant le point de vue du chat pour qui le poète ou la poétesse est pour le coup la personne aimée. Pour moi le haiku manque d'une dimension qui ferait un regard proprement poétique sur cette scène de sentir son chat qui ronronne. Il manque pour moi une dimension supplémentaire au fait de parler assez gratuitement de son chat, et hormis le fait de penser que c'est un angle original et surprenant pour un thème sur « la personne aimée »
10e => n°12
Je mets ce poème avant d'autres car il est dans le thème, mais je suis vraiment pas fan du style très « baroque », avec une débauche de vocabulaire, un champ lexical des odeurs envahissant, pas subtile, des images que je trouve téléphonées, frisant le ridicule, dès le 1er vers « Aux tarentules magiques de tes flagrances, les fascinants poisons de nos perditions. » ??!! qu'est ce qu.. ? Ça par exemple !? « De lourdes odeurs prolixes, giclent et glissent sur les plaines chassagne de ton ventre acier. » très très lourd(ingue) à mon goût « le o parfait de tes ovaires cosmogoniques, et moi, petit chien gourmand, je lape et je suce la glace mûre, fraise, vanille, cassis, abricot, melon, cerises que sais-je encore ? de ta jolie tarentule, rose, joufflue, hirsute, touffue, si seule, perdue parmi les pyramides d'ors, sucrées de tes odeurs. » …...... toujours aussi lourd, une lourdeur gratuite et pesante, où est la poésie ?
« Alors, remontent en moi les odeurs évadés d’un tombeau égaré, oublié d’une princesse rouge d'Essex » un enchaînement de participes passés, lourdeur toujours, avec un jeu de mot final purement gratuit. Ça fait pas sens pour moi, mais au moins, la lourdeur est assumée jusqu'au dernier mot...
11e => n°7 « ton odeur comme océan .. »
Ici pour moi c'est la seule image qui raccroche au thème, je trouve ça vraiment léger. En plus de n'être pas forcément emporté par le parallélisme entre le lit île et l'odeur océan. Je trouve ça un peu bateau...
12e => n°5
On est ici explicitement dans le thème , au sens propre, peut être trop propre même, mais je trouve le poème beaucoup trop fermé et uniquement consacré à la description d'un parfum. Pas assez de fond pour moi. Un travail pour étirer le poème à la fois sur cette description et sur la forme de fiole (?). Cette débauche de vocabulaire me donne envie de vomir, comme quelqu'un qui cocotte à mort. Et j'ai jamais été fan des calligrammes, si c'en est
13e => n°1 ce poème ne m'a pas touché, je le trouve peu subtile, je suis pas sensible à son message de fond (l'odeur est un destin?) j'ai l'impression d'une collection du champ lexicale de l'odeur un peu gratuite, un peu pompeuse
aussi je trouve que le thème est trop légèrement respecté vis à vis de « la personne que vous aimez », tout le poème est général, seulement à la fin on trouve u « te ». l'esprit saint, épicure, les hommes.... les formes interrogatives, toutes ces images ne m'ont vraiment pas parlé, j'ai eu le sentiment de lire un poème qui voulait faire de la poésie gratuitement plutôt que de proposer quelque chose sur le fond, avec la bonne référence, antique, le bon mot soutenu, les perles du champ lexical, un msg sur l'humanité universelle, une chute un peu téléphonée
14e => n°2
pas du tout fan de l'univers proposé ni de cet égotrip qui pour moi est un détournement du thème. Le poème se veut sûrement drôle, original, choquant ? Il ne l'est pas tant, mais il n'est pas non plus convainquant, on a dû mal à adhérer à la thèse du poème, « Ce n'est rien de moins que le sens de la vie Que d'aimer tout ce que son corps produit »
peu de gens adhéreront à cette proposition, peu de gens seront à mon avis touchés par cet égotrip olfactif, pour la simple raison que le dégout de ce que « produit son corps » est biologiquement commandé. Peu de gens seront enclin à apprécier leurs excréments, et ce poème n'y pourra rien. Ce poème inspire le dégoût alors qu'il cherche à exprimer l'inverse, il y pour moi un hiatus qui fait que ça ne fonctionne pas.
Enfin, je comprends pas bien en quoi tout ce qui figure dans ce poème serait lié à la testostérone, qui est le titre... Il y a là une forme d'androcentrisme de la crasse autorisée et autosatisfaite que je trouve pour le moins malaisant. Alors être un homme c'est s'autocomplaire dans ses humeurs crasseuses ? Par comparaison à quoi ? C'est un privilège de la testo ? C'est quoi l'idée ? Bref, j'ai pas compris, j'ai pas aimé, j'ai trouvé ça attendu (attendu mais à éviter, idée facile mais dont on saisit vite l'impasse), et une fois la piste révélée, j'ai rien trouvé comme un trait d'esprit qui donne une nouvelle lecture/dimenssion intéressante, surprenante à ce qui est attendu depuis le début.
Donc pour conclure, je trouve que ce poème se donne un air subversif tout en manquant clairement sa cible.
15e => n°15
je n'ai pas retrouvé le thème dans ce poème, bien qu'on puisse trouvé un travail sur les images, plutôt original et stylé, je ne peux pas honnêtement le mettre au dessus des autres. Il est question d'amour en général, pas vraiment d'une personne et encore moins de son odeur. Aussi j'ai trouvé qu'il cherchait à faire poésie dans le style plus qu'à exprimer une poésie spontanée, propre
pourquoi les oranges, pourquoi les oliviers, pourquoi jericho ? Tout ça semble sortir de nulle part... ou plutôt ça semble sortir d'un autre poème que ce poème.
Bref, j'ai pas vraiment compris mais le potentiel de l'écriture qui se cache derrière ce poème est pour moi ici un peu gâché. Je me sens obligé de le mettre en bas pour les raisons évoquése, au regard des autres poèmes qui ont selon moi plus respecté le thème, mais je pense qu'il y aurait eu de quoi faire en travaillant l'idée, en la rendant plus accessible et plus signifiante, en laissant une piste de compréhension sur le pk du comment de ces images et de cet univers, p-e en introduisant mieux le poème qui semble sortir d'un univers dont on a pas les clefs
16e => n°16
là j'ai rien capté du tout, le poème ne semble même pas avoir été relu. Est-ce de « l'écriture automatique » ?
Merci à ceux et celles qui ont apprécié mon poème, le dernier, qui avait bien un titre (Chair éméchée - ivresse, mèche, effeuiller, effleurer, émécher, chère, toussa, vous l'avez ?), et bravo à ceux et celles qui ont produit un poème et/ou un commentaire que j'ai apprécié.
Un petit retour sur ma production comme il a l'air d'être de coutume : - Citation :
- Il pourrait très bien avoir écrit d’une traite comme avoir été écrit petit à petit et retravaillé. EVCY
écrit, réécrit, modifié, transformé etc et merci pour ta lecture attentive aux différents niveaux - Citation :
- Mais pour le lien avec le thème, c’était plus sensations physiques que odeur. C’est dommage, ça c’était une belle proposition.
En fait tout le poème est construit autour du double sens de "sentir"/"ressentir" Et comme il s'agit d'un rêve, d'une rêverie, l'odeur est un fantasme dans ce poème, elle n'est pas proprement perçue (mais pour moi elle est bien le cœur du poème, l'évocation, la trame principale) je sais pas si les lecteurs et lectrices l'ont perçu, l'idée c'était justement de produire un motif de fantasme autour de l'odeur imaginée d'une personne aimée, à partir du sentiment associé à elle, du désir, c'est une projection, ce n'est pas une scène décrite et vécue, du moins pas encore dans le temps du poème, comme un l'a très mal compris, en lisant sans doute bcp trop vite et certainement sans la moindre intelligence poétique. Le 'que j'aspire à cette nuit" est à double sens - Citation :
- un peu trop de répétitions du mot nuque. Je ne retrouve pas assez de référence sur le thème de l’odeur. Je n’aime pas le dernier vers qui me semble contredire le sens du poème.
la répétition était un motif volontaire, au début elle était même encore plus appuyée. C'est le point d'ancrage du fantasme olfactif, auquel je voulais revenir toujours la contradiction est déjà dans l'expression "pot-pourri", c'était un clin d'oeil ce jeu de mot, à la fois dans le sens d'une odeur agréable et fleurie du pot pourri, et en même temps la peau dans la moiteur, le mélange de peaux, leur murissement à l’extrême, bref, clin d’oeil - Citation :
- J’aurais aimé quelque chose de plus bref, épuré, que tu ne gardes que l’essentiel. Je trouve que tu te répètes un peu.
c'est parce que c'est un poème plutôt méditatifs que descriptifs, c'est un état mental qui est censé s'exprimer, qui ressasse un peu son désir Je crois que Edn a donné une idée quelque part de faire un répertoire de définitions de la poésie à travers la langue des poètes, j'y pense maintenant, il y en a une de René Char que j'aime bien, même si elle ne circonscrit évidement pas tout le champ poétique. - Citation :
- Le poème est l'amour réalisé du désir demeuré désir.
- Citation :
- J'aime ce commentaire Rien a rajouté car il montre totalement ce que je voulais passer comme message à travers ce poème... J'aimerais bien savoir qui est cette personne qui a commenté ?!
c'est moi j'aime ce commentaire de commentaire ravi d'avoir fait honneur à ton travail à travers ma lecture - Citation :
- Désolé pour ceux qui ont eu les relents de « quelqu’un qui cocotte à mort » mais cela montre dans un sens que l’odeur du parfum du poème a potentiellement été ressentie, donc que le but a été touché. Et comme aucun parfum ne trouvera grâce au nez de tout le monde, il est normal que certains n’aiment pas.
Je te rejoins parfaitement , d'ailleurs j'ai p-e été un peu sévère en le classant 12e, en revoyant mon classement, mais c'est le côté monomaniac de l'odeur je crois qui m'a vraiment dissuadé de mettre + haut haha et le caligramme
merci à Alice pour son engagement |
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