Page a écrit:

Ça s’appelle un refus type, et c’est une pratique courante que l’on apprécie car elle signifie que la maison d’édition a pris le temps de répondre.

... de répondre, et dans le cas présent de lire le texte : la ME ne se risquerait pas à parler de l'intrigue dans le cas contraire. C'est une petite victoire en soi !

Caius Pertinax a écrit:

la ME ne se risquerait pas à parler de l'intrigue dans le cas contraire.

Franchement j'en doute très fort. Enfin dans le cas précis du Bélial, c'est peut-être le cas, mais de manière générale, beaucoup de refus-types donnent l'impression qu'une lecture a été faite, alors qu'il n'en est rien. Des refus-types, même s'ils donnent l'impression d'être personnalisés (et c'est fait exprès), restent des refus-types. Bon ça reste des réponses aussi et c'est toujours appréciable d'être fixé ^^
Celui-ci est à 100% un refus-type.

J'ai reçu exactement le même refus il y a quelques semaines pour une nouvelle de SF.

Personnellement ça m'a un peu déçue. Disons que Le Bélial était pour moi la seule maison qui faisait des retours personnalisés et j'attendais le mien avec impatience pour savoir quoi améliorer dans mon texte. D'autant que je respecte leur ligne éditoriale, pas d'erreur de casting. Au final, je ne suis pas plus avancée.

C'est toujours très bien qu'une maison prenne le temps de répondre aux auteurs. D'ailleurs, quasiment toutes les ME et revues qui publient des nouvelles ont cette démarche et je les en remercie. Mais quand même, ce petit mot en plus, je l'attendais  

Bref, peut-être sont-ils débordés avec tous les romans à lire, peut-être ont-ils abandonné cette démarche chronophage, ou bien peut-être que mon intrigue n'était effectivement pas convaincante...

Mais je l'aurai cette publication, un jour (dans 10 ans )

Hello audel’ash.
C’était la nouvelle de sf que tu m’avais envoyée pou BL ?

ShadowLight a écrit:

Hello audel’ash.
C’était la nouvelle de sf que tu m’avais envoyée pou BL ?

Oui, celle du gosse dans le jeu vidéo  Peut-être que je l'enverrai à 1115 quand ils rouvriront.

Et puis pour Le Bélial, je vais réfléchir à une nouvelle inédite plutôt que mes habituels recyclages

Audel'ash a écrit:

J'ai reçu exactement le même refus il y a quelques semaines pour une nouvelle de SF.

Personnellement ça m'a un peu déçue. Disons que Le Bélial était pour moi la seule maison qui faisait des retours personnalisés et j'attendais le mien avec impatience pour savoir quoi améliorer dans mon texte. D'autant que je respecte leur ligne éditoriale, pas d'erreur de casting. Au final, je ne suis pas plus avancée.

Ah oui, c'est un peu étonnant.
L'année dernière pour une nouvelle steampunk, le retour reçu était clairement personnalisé : l'éditrice trouvait que la romance entre mes personnages était trop prépondérante par rapport aux autres éléments. Bon, je n'ai rien fait de ce texte depuis, mais soit...

Tiens d'ailleurs, j'ai peut-être une nouvelle SF à leur envoyer...

Bref, désolée pour vos déceptions par ici !

Tout neuf sur le site (enchanté !), que j'ai régulièrement croisé au cours de mes recherches concernant les maisons d'édition françaises, c'est ce topic-ci qui m'aura finalement décidé à m'inscrire...

J'ai déjà essuyé quelques refus pour mon premier manuscrit (premier tome d'une saga de fantasy historique dont les trois premiers tomes sont terminés), et aucun jusqu'ici ne m'avait perturbé outre mesure : ils m'ont tous paru judicieux, voire encourageants. Sur ce, arrive le mail suivant qui m'a marqué plus durement, bêtement peut-être :

"Nous vous remercions de l'attention que vous portez aux éditions du Bélial’ mais je suis au regret de vous informer que votre roman intitulé [...] n'a pas été retenu car nous n'avons pas été suffisamment convaincus par l'intrigue pour envisager une publication chez nous.
Bien cordialement,"

Après avoir parcouru ce topic, il apparaît qu'il s'agit d'un refus-type. Ça me rassure quelque part, même si comme Audel'ash je n'ai aucune piste pour améliorer mon texte.

En attendant, la quête continue !

Je crois qu'ils sont noyés sous les manuscrits, et que faute de temps ils ont dû renoncer à cette politique de réponse systématique. C'est bien dommage, mais à l'impossible nul n'est tenu !