Faut-il comprendre que c'est un hommage à ceux et celles qui veulent enrichir la langue française en féminisant les noms de métiers, en la rendant ainsi plus subtile ce qui permet donc à priori de mieux réfléchir ? et que ce processus est justement à l'inverse de ce qui est décrit dans 1984 et ce qui se passe souvent dans les états totalitaire, et qu'il faut ainsi s'en réjouir ?