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 Que ressentez vous à la fin

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Invité  /  Invité


Salut les JE,
qu’est ce que vous ressentez a la fin, lorsque vous rédiger le mot, la ligne de conclusion de votre histoire avant même d’envisager la perspective de la réécriture.
Quel est l’émotion qui vous traverse, êtes vous statisfait, heureux, presque en train de pleurer, ou déçu que cette aventure s’arrête là, vous déprimez ?
 
Séléné.C
   
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Séléné.C  /  La femme qui tomba amoureuse de la lune


Ca dépend des fois....

Les divers épisodes de Tutore Noctis : ça dépend des fois, mais en général, j'attends d'avoir relue, peaufiné etc. pour considérer que c'est fini, donc émotion au point final pas toujours très forte.
Howahkan : j'ai chialééééé (vraiment)
Errances Galactiques : j'ai poussé un gros "ouf" d'avoir enfin réussi à poser le point final, après avoir passé des plombes sur les dernières pages (d'un roman gigantesque en plus).
Ange Martin : je me suis demandé si c'était réellement terminé et promis que si cette énième version n'était pas bonne, je n'en tenterais pas une de plus.
Nouvelles diverse pour AT : en général, un gros ouf d'avoir réussi à boucler dans la deadline
Poèmes : impression d'avoir mis sur clavier une inspiration mais pas aussi bien que ferait un vrai poète, m'enfin bon, c'est toujours bon comme entrainement pour les passages poétiques d'un texte en prose
Intermèdes des Errances Galactiques, en vers : heu... hem... est-ce que c'est bon, ou bien à refaire ? (doute intense)

.


Dernière édition par Séléné.C le Jeu 6 Juin 2024 - 10:14, édité 1 fois
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Jimilie Croquette
   
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Jimilie Croquette  /  De l'Importance d'être Constamment Là


Un sentiment d’incrédulité. Je rédige je rédige je rédige et puis vient ce moment où je n’ai plus de suite à apporter. Le récit est terminé. Et je reste devant mon écran, vaguement étourdie, un peu déboussolée.

Et LÀ j’ai très envie d’envoyer le texte aux maisons d’édition TOUT DE SUITE mais non, Emilie, non ! Il faut laisser reposer ! Il faut faire relire ! Ne fais pas ça !!!
https://linktr.ee/emilie_goudin.lopez
 
Kavanaugh
   
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Kavanaugh  /  Bile au trésor


Pour le seul roman que j'ai écrit et donc terminé, une grande fierté (et une certaine incrédulité d'être arrivée jusqu'au bout, comme Jimilie !)

Pour les nouvelles, en général, je suis soulagée d'avoir réussi à les mener où je les imaginais !
 
Jedewyn
   
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Jedewyn  /  Roberto Bel-Agneau


L'incrédulité, oui, tellement ! Et après, ça dépend des histoires. Il y a souvent une grosse bouffée d'émotions qui me laisse étourdie, une espèce de patchwork de soulagement, fierté, tristesse, bonheur, excitation, inquiétude, etc.
 
Mokkimy
   
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Mokkimy  /  Maîtrise en tropes


La déception. Je suis rarement en phase avec le résultat, dans ma tête, tout paraissait tellement plus mieux. ^^

Cela vient aussi du fait que je m'épuise en cours d'écriture. Mes fins sont souvent bâclées, comme si j'en avais marre de réfléchir, d'où le sentiment d'insatisfaction chronique. Je pense qu'en réalité, je suis juste impatiente. Toujours très contente de commencer, et très contente d'arriver au bout et de pouvoir passer au roman suivant.
J'en ai toujours plusieurs d'avance en cours de réflexion, ce sont de vrais parasites.

J'ai tendance aussi à vouloir attaquer les corrections aussitôt, sans laisser reposer.
Ne faites pas ça chez vous. Laissez reposer votre texte.
https://lamonstrotheque.home.blog/
 
Aliénor
   
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Aliénor  /  Miss Deadline


Très d'accord avec Jedewyn !
L'incrédulité d'abord, puis mille émotions qui dépendent vraiment du roman. Souvent, je ressens un intense soulagement en parallèle : celle que je suis disparaît au profit de mes personnages, quand j'écris, et c'est éreintant.
Et après la vague d'émotions, le vide. Un genre de baby blues qui se traduit parfois par une panne d'écriture de quelques jours/semaines/mois. Jusqu'à la nouvelle étincelle, en fait.


Que ressentez vous à la fin 1f47d.png?v=2.2
Alien officiel de la CB since 2022.
Modératrice spécialisée dans la Section Édition.

Instagram, pour suivre mes aventures dans la jungle de l'édition.
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Fred Dee
   
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Fred Dee  /  Hé ! Makarénine


C'est un moment assez éclaté pour moi car j'écris toujours deux fois la fin. En premier, j'écris toujours un brouillon sur papier donc cette fin, je l'ai déjà écrite, parfois même bien avant d'autres passages. Parfois je la réécris parce que des choses ont changé en chemin. Et enfin je la mets au propre sur word et là, c'est la fin. Je savoure un peu mais je sais aussi que le lendemain, je vais tout relire, puis donner à lire, il y aura les corrections.

Ce n'est pas forcément la toute fin qui me fait le plus d'effet. Le plus souvent, c'est quand j'ai une scène clé, où un chapitre qui me touche plus particulièrement. Quand je l'ai écrit, quand je suis enfin parvenu à transcrire cette idée, cette émotion que j'ai contenu, médité si longtemps, là je ressens une grande bouffée de légèreté.
 
Roselune
   
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Roselune  /  Tapage au bout de la nuit


Le seul roman que j'ai terminé, quand je suis arrivée au bout, j'ai ressenti beaucoup de fierté. Pas envers moi, mais envers mes personnages. J'étais fière de ce qu'elles avaient accompli et de ce qu'elles étaient devenues. J'étais triste de leur dire au revoir, aussi, et un peu abasourdie d'être arrivée au bout. Mais c'était vraiment la fierté qui dominait le tout.

Dès le lendemain je me suis mise à gribouiller des idées pour des spin-offs qui ne seraient jamais intégrés au roman juste pour continuer à les garder vivantes avec moi encore un peu. C'est dur de dire au revoir à ses personnages.
 
Sébours
   
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Sébours  /  Pippin le Bref


Je pense que cela dépend si on est architecte ou jardinier.

Un jardinier n'aura sans doute pas la même perspective de la ligne d'arrivée qu'un architecte. Enfin je suppose, parce que je suis archi à fonds les ballons (sur ma première histoire) ! Chaque semaine, je faisais le point sur l'avancement de mon projet et je n'en voyais pas la fin! L'objectif s'était finir pour ne pas avoir tout ça pour rien. Alors la fin ça a été un grand soulagement, un sentiment de fierté...puis une angoisse sur la réécriture en pensant à toutes les balises que j'ai semé au court du premier jet. Et quand j'ai relu mon premier chapitre, mon dieu! C'était affreux. Mais ça permet de mesurer sa progression. Donc fierté et flemme de tout réécrire sur les premiers chapitres.
 
Mika
   
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Mika  /  Tentatrice chauve


J'avais écrit la fin avant le début 🙂 Mais sinon quand j'ai terminé le premier jet, j'étais vraiment contente, avec les petits bras en l'air. Puis je me suis débouchée une bouteille de vin 😄 Puis plus tard, je me suis dit merde mille pages à retravailler !
 
Maxine
   
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Maxine  /  Tapage au bout de la nuit


En fait, une intense jubilation m'habite toute la dernière ligne droite, quand je sais que enfin Razz je tiens ma fin, je vais finir ce texte ! J'adore vraiment ce moment après le gros down qui me saisit au milieu quand j'ai l'impression que mon roman ne va nulle part et que je reprends trente fois ma structure. A la toute fin, je goûte vraiment l'euphorie du moment, je sais qu'elle ne va pas durer, qu'il y succèdera l'angoisse des soumissions, le stress des corrections, le rush de la publication et la fatigue de la promotion... Mais c'est si bon de se dire, que oui, on l'a fait. Ça nous construit en tant qu'autrice, ça nous donne la force pour attaquer le prochain texte.
En ligne
 
Paige_eligia
   
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Paige_eligia  /  Bile au trésor


Excepté pour le premier roman où j'étais trop heureuse d'avoir enfin fini un truc, je suis toujours déçue du résultat.
J'attendais la fin comme un feu d'artifice et ça retombe toujours comme un pudding éclaté xD
Alors je réécris et ensuite ça va mieux lol
https://paigeeligia.com/
 
Tsume
   
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Tsume  /  Pour qui sonne Lestat


Ressenti : un intense soulagement et un gros ras le bol si j'ai eu plusieurs blocages. J'ai enfin réussi à sortir de mon esprit l'histoire qui demandait à être écrite. Contrairement à mes débuts je connais mes faiblesses dans la narration, j'ai appris des trucs et je sais que je vais encore m'améliorer, donc je ne ressens plus cette frustration d'être devant un texte médiocre sans pouvoir l'expliquer.
Je suis content d'avoir fait un bout de chemin avec mes personnages que je quitte sans regret parce que je vais les retrouver durant les corrections et après ça... je ne peux plus penser à mon texte sans qu'il me sorte par les yeux 😅
 
Plumerose
   
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   Pensée du jour  :  Demain, ça ira mieux !
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Plumerose  /  Roberto Bel-Agneau


Une sorte de satisfaction.

D'autant plus que je réfléchis toujours la question de la fin, laissant passer un petit temps (donc je m'arrête un court moment, quelques jours au moins ou plus, c'est selon) pour laisser reposer, éventuellement demander des conseils à des lecteurs/lectrices, sur des groupes FB de littérature...

Après, ce n'est pas forcément réussi, enfin c'est une autre histoire, mais en général, j'en suis contente.

Pour le fameux thriller auquel j'ai dû ajouter une 3ème partie : chose inhabituelle : le dernier chapitre était écrit un bon moment avant la fin, donc j'avais la fin écrite en fait.

Enfin voilà bref, après, il y a un petit soulagement, car l'écriture en non-stop, c'est une tension en non-stop aussi.

Et puis, je repars très vite sur autre chose.

Spoiler:
 

 Que ressentez vous à la fin

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