C'est comme les notes des jurys aux concours de l'Education Nationale en fait : difficile de comprendre ce qui déplait.

Et j'en sais quelque chose
En plus, j'ai bien malgré moi une excellente mémoire des notes. Je suis capable de donner matière par matière toutes mes notes de brevet, de bac ou même celles de beaucoup d'évaluations qui n'étaient pas des examens. Ça s'imprime dans ma mémoire. Du coup, être notée pour mon roman... Ça fait un peu élève face à un jury, effectivement.

Je viens de l'acheter Figure-toi que j'étais trop intriguée pour attendre la fin du mois. Il est dans mes tutes prochaines lectures prévues.
Promis, je te fais un retour dès qu'il sera lu !

J'étais au salon du chocolat cette après-midi. J'ai posté trois photos sur Instagram et j'en garde une pour Pâques.
Tu vas découvrir Susan, William et tous les autres. Fais attention à Dith : elle n'est pas toujours commode.
Bonne lecture ! 😉

Sur Booknode, une lectrice inconnue a posté deux extraits, et je vais en mettre un des deux ici, à la place de celui que j'avais posté :

Citation :

Une fois dans le jardin, Susan sentit soudain les lèvres de Richard se poser sur elle. Elle voulut crier, mais aucun son ne sortit. Des oiseaux volaient dans le ciel bleu ; le soleil brillait. Les mains de Richard la maintenaient alors qu’il lui chuchotait des mots d’amour mêlés d’injures. Inerte, tétanisée, elle ne se sentait même pas la force de le repousser.

Et mon interview ici : http://sharingteaching.blogspot.fr/2018/03/chronique-et-interview-chicago-requiem.html

Bilan : les ventes ne s'envolent pas, loin s'en faut.
En revanche, au niveau des services presse, j'ai de nombreuses demandes, aussi bien pour la version numérique que pour la version papier que je ne compte pas rendre disponible au service presse (pour des raisons de coût).
Du coup : m'y prends-je comme une quiche ?

Nan, nan, nan, d'abord y'a l'étape de l'awareness et petit à petit les gens se font à l'idée d'acheter et finissent par acheter. C'est normalement tout un process mental avant l'achat : rares sont les personnes qui achètent dès le début, il faut les convaincre. Et puis ces gens là ont déjà acheté ton livre, non ? Donc maintenant, il faut ratisser plus loin et donc ça prend plus de temps.

Pr les services press, ça a un coût donc il faut sélectionner les journalistes qui peuvent toucher le plus de lecteurs et faire l'effort d'envoyer, même en papier. Car il y a nombre de gens qui n'utilisent pas internet pour chercher des rec de livres à lire, mais seulement les magazines ou la TV, les journaux etc.

Ce qu'on appelle SP, services presse, Nemuyoake, n'a plus rien à voir avec les journalistes. Pour la presse locale, je la verrai sur les salons, lors des dédicaces.

Les SP, ce sont les envois aux blogueurs, chroniqueurs, booktubeurs, influenceurs.
On peut lire sur Facebook :

Citation :

Les Editions ... recherche des blogueurs pour des SP Numériques.

(J'ai seulement enlevé le nom de la ME, mais l'accord "Editions" / "recherche" est dans le texte copié-collé).

Citation :

N'oubliez pas vos SP numériques pour découvrir le catalogue des éditions...

Bref : ce sont justement les gens qui utilisent Internet qui lisent les chroniques.
Et j'ai eu beaucoup de "oui" au départ, quand je l'ai proposé, puis beaucoup de demandes de personnes à qui je ne l'avais pas proposé (et pas des personnes qui ont déjà lu mon livre, dont beaucoup s'y intéressent encore, me soutiennent, mais les 6 chroniques parues depuis sa nouvelle parution ont été écrites par des chroniqueuses que je ne connaissais pas). Pour l'envoi en numérique, ça ne me pose pas de problème particulier, mais pour l'envoi papier, c'est à mes frais, y compris les frais postaux, donc pas envisageable (à moins d'un blog vraiment suivi, ou d'un journal, comme tu l'as écrit). Si un blogueur qui a déjà chroniqué mon livre m'en demande un exemplaire papier pour organiser un concours, lui faire de la publicité ainsi qu'à ma page, là, j'aviserai, mais envoyer des exemplaires papier à tous les blogueurs qui m'en font la demande vu comment c'est parti, s'ils sont 100, ça me fait 1000 euros de frais... Je ne peux pas, tout simplement.

Récapitulatif des chroniques sorties depuis la parution numérique de la seconde version :
https://lessortilegesdesmots.blogspot.fr/2018/03/chicago-requiem-de-carine-foulon.html
http://sharingteaching.blogspot.fr/2018/03/chronique-et-interview-chicago-requiem.html
http://partagedelecture.over-blog.com/2018/03/chicago-requiem-carine-foulon.html
https://levoyagelivresquedefabie.blogspot.fr/search?q=chicago+requiem

La chronique négative (plutôt sympa en fait, sauf que c'est rigolo de le voir à nouveau classé parmi les romances... Pourquoi pas ?) : https://bouquinovores.wordpress.com/2018/03/21/chicago-requiem-de-carine-foulon/

Citation :

Chicago Requiem de Carine Foulon

Ce livre attendait depuis quelques mois dans ma liseuse et je l’ai ressorti à l’annonce de sa réédition.

Il vient de renaître aujourd’hui, avec des ajouts et des améliorations.

Chicago Requiem c’est une fresque, une histoire de famille dans laquelle on plonge, une histoire qui nous happe et qui nous prend aux tripes.
En pleine période de prohibition, au temps d’Al Capone et de la mafia, on y suit les aventures des Henderson, une riche famille influente de Chicago, leurs secrets, leurs travers, leur face cachée. Des meurtres inexpliqués, une sœur reconvertie en mère maquerelle et envahie par un terrible besoin de vengeance....
Chicago Requiem, c’est un univers riche, que l’auteur prend le temps de poser et d’amener avec une seconde partie qui s’accélère.
Je me suis vraiment passionnée pour cette histoire mêlant ce qui me plait dans les thrillers mais aussi ce que j’aime dans les romans ; des détails, des personnages avec de la présence, du suspens et des rebondissements sur un fond d’amour et d’espoir

Un voyage au temps d’Al Capone le temps d’une lecture

J'ai mal compté. Il y a aussi eu celle-ci :
https://ivredelivres.wixsite.com/ivredelivres/single-post/2018/03/09/Chicago-requiem---Carine-Foulon

Donc 7, voire 8 avec celle parue vendredi uniquement sur les réseaux sociaux.

Hehe, j'en étais encore restée à "l'ancienne" signification du Service Presse.

J'aime généralement beaucoup communiquer avec les chroniqueurs.
Les petits soucis, c'est plus quand je reçois :
"Bonjour, je n'ai pas aimé votre roman et j'écrirai pourquoi dans ma chronique." Alors après, forcément, je stresse en me demandant quel sera le contenu de la chronique et plus les jours passent, plus je stresse.
ou "Je n'arrive pas à lire. Pourriez-vous m'agrandir le texte, svp ?" Bon, là, ça me prend un peu de temps, le temps de revoir le PDF et que ce soit agrandi partout, mas au final, c'est faisable.
ou enfin "Je ne peux finalement pas lire le format numérique car je viens de perdre ma liseuse. Pourriez-vous m'envoyer le format papier, SVP ?" Euh... Et les frais de port, c'est pour ma pomme ? Et puis, comment savoir si c'est vrai ?

Mais dans 90% des cas, voire plus, ça se passe bien.  
Et même, c'est sans doute ce que je préfère dans l'auto-édition : le fait d'avoir des retours.

Désolée pour le double post, mais il n'a rien à voir avec le précédent.
Je suis allée sur Createspace, j'ai mis un temps fou à créer le PDF et surtout la couverture toukomilfo.
Et puis...
À 5 h du matin, Createspace a supprimé mon boulot des deux derniers jours parce que mon roman est déjà publié par Dreamcatcher.

Et je fais quoi, moi, maintenant ?

Il aura vraiment fallu que je tienne à Chicago Requiem tant son parcours éditorial aura été jusqu'au bout une vallée de larmes.

Il s'agit de la version e-book ?

Créatespace refuse pour quoi, au juste ?
Parce que ça a déjà été publié ou parce qu'ils croient le livre encore sous contrat ?

Version papier.
Pour la version numérique, c'est bon.
Pour la version papier, elle apparaît encore sur Amazon, donc je suis bloquée. Sauf que le Chicago Requiem qui n'a plus rien à faire sur Amazon, c'est l'autre.

envoie un mail à Dreamcatcher...
ça semble la seule chose à faire !
Ou alors, fait semblant d'acheter, pour voir ce qui se passera

On ne peut pas l'acheter.
J'avais envoyé un mail à Dreamcatcher pour leur signaler qu'il était toujours en vente sur Amazon début janvier. J'avais reçu la réponse que ce n'était pas de leur faute, mais de celle d'Amazon.
2 jours plus tard, il était toujours sur Amazon, mais indisponible. Donc il est sur Amazon, mais quand on clique, on ne peut pas l'acheter.

Cette après-midi, j'ai envoyé un mail à Dreamcatcher et deux mails à Createspace.
Mais j'avoue que c'est pénible.

Eh bien, c'est épuisant ces rebondissements incessants. À croire que Chicago Requiem est une oeuvre maudite.