PROJECT VIPER [Autoédition]

25/12/2015

Coucou tout le monde ! #déterrage de fil.

Project Viper poursuit son petit bonhomme de chemin. Rising conquière de plus en plus de cœurs, créée de plus en plus de cauchemars (beuhahaha Twisted Evil

). Quelques acheteurs anonymes me commandent le tome 2. Même s’ils ne laissent aucune trace de leur lecture, aucun commentaire, je suppose que c’est bon signe. J’ai même des gens qui se déplacent pour venir directement m’acheter Faceless en salon ! Les stocks diminuent tranquillement, je suis contente, même si le doute m’habite toujours. Je ne suis pas réputée pour avoir confiance en moi. Mad

En vrai, hormis les commandes « post-salons », c’est silence radio. Le numérique en revanche semble faire son trou, petit à petit. Note à moi-même : dégager de la FNAC asap, parce que ça commence à me revenir cher.
J’ai reçu un mail perturbant, et j’aurais besoin de vos conseils. Un éditeur m’a contactée…
Wou-Hou, champagne ! nouba !! me direz-vous. Que nenni.
Que veut-il ?
Voici la demande (abrégée) :

Spoiler:

Moi :

PROJECT VIPER [Autoédition] - Page 7 Tenor

Qu’en pensez-vous ?

11/01/2013

Un partenariat ? scratch

Citation :: Note à moi-même : dégager de la FNAC asap, parce que ça commence à me revenir cher.

leur côté plate-forme de vente ? ça prend une si grosse part que ça ?

Smile

en tous cas, tu as le moral et des lecteurs en prime Smile

08/12/2015

Hey ! Très bonne nouvelle pour Rising, et au moins ça présage du bon pour le troisième tome !
Côté mail de l'éditeur, même si j'imagine que c'est déjà fait, renseignes-toi bien sur l'émetteur ainsi que sur cette pratique. Après, rien ne t'empêche de demander le contrat pour plus d'informations et savoir plus précisément vers quoi tendre. J'aurais une tendance à me méfier des éditeurs qui viennent nous chercher, même si certains gros succès ont été fait comme ça (bon, là, je n'ai que Twilight et 50 Shades en tête, mais on doit pouvoir trouver des exemples moins ankward What a Face

).

19/10/2014

Ici l'éditeur te propose de vendre ses propres livres sur ton stand, si je décode bien... ça me paraît un peu bizarre comme démarche, surtout si le catalogue est très différent de ton univers.

26/01/2014

C'est un éditeur sans diffusion qui pense avoir trouvé un bon filon : démarcher les auteurs autoédités qui font beaucoup de salons pour qu'il diffuse les livres qu'il édite à sa place, le tout contre un pourcentage moins important que s'il payait une vraie diffusion. Il se fiche absolument de ce qu'écrit LadyRavenya. Le principal pour lui, c'est qu'elle devienne son VRP à coût réduit. En envoyant ce message à plusieurs auteurs, l'éditeur pense couvrir toute la France.

On voit bien d'ailleurs que ce n'est pas un message personnalisé :

Spoiler:

25/12/2015

Oui Florence, c'est exactement ça...

Tout à fait Maddy, c'est exactement ce que je pensais. Je trouve ça franchement de mauvais goût.

Damn, j'en ai vu chez les éditeurs. Entre celui qui te refuse avec une lettre-pub-#librinova, celui qui ne m'a jamais payé mes droits et celui qui veut que je joue au VRP... Je commence à me dire que je fais bien de faire ma popote solo. :mrgreen:

En tout cas, ils vont se prendre un mail bien salé de ma part. Pour l'instant je leur ai dit "je vais y réfléchir" mais ça veut dire :

PROJECT VIPER [Autoédition] - Page 7 D6e

PROJECT VIPER [Autoédition] - Page 7 D6e

26/01/2014

J'ai connu ça aussi. Pour le paiement des droits, bienvenue au club. Vive l'auto-édition, où là, je touche mon argent. Après... trois de mes maisons d'édition ont toujours été sérieuses et m'ont payée, mais parfois, on a de mauvaises surprises.
Et pour l'éditeur qui cherche des auteurs VRP, j'ai vu pire : un(e) auteur(e) que j'apprécie a signé un contrat d'édition à compte d'éditeur, qui paraissait tout à fait sérieux. Mais la ME lui a assez vite demandé de prendre aussi les livres édités par la ME en plus des siens. Parfois, sur les salons, il y avait les livres de la ME sauf les siens... et aucune rémunération, des droits d'auteur qui tardaient à arriver, au point que cet(te) auteur(e) (je tiens à conserver son anonymat) m'a confié qu'il/elle aurait préféré rester avec son précédent contrat, à compte d'auteur. C'était à ce point, mais un salon par semaine pour le compte de sa ME, pour vendre d'autres livres que les siens, ou les siens plus d'autres livres, et le tout en attendant une paie hypothétique, on peut comprendre que ça soit lourd.

11/01/2013

Si tu as envie de les faire chier : fais-les lanterner en demandant des précisions (c'est ce que je fais avec les démarcheurs téléphoniques)
Evidemment, tu peux leur envoyer un mail incendiaire, mais ils ne liront que e début, alors pas besoin de te fatiguer !

Sans l'étalage de raisons pour lesquelles tu y gagnes, je dirais que le concept peut-être intéressant, mais cette façon d'allécher, ça sent le truc où c'est eux qui y gagnent.
Par contre, tu peux t'en inspirer avec d'autres auto-édités faisant dans le même créneau ou un créneau proche (encore que les conditions exactes entre deux, ça ne sera sûrement pas facile à fixer)

Tu as regardé leur site ? Il a l'air de quoi, cet éditeur ?
Petit truc qui fait mieux les livres qu'il ne les vend ? Machin bizarre à livres bateau ? Autre ?

25/12/2015

Reuh ! Sorry pour le blanc, j'ai raté la notif... :'D

Maddy > wow, ça me donne encore moins envie de traiter avec un éditeur, tout ça.

Je commence à me demander si, hors "grosses têtes", il y en a qui sont vraiment sérieux...

Séléné > c'est un éditeur "moyen" on va dire. Enfin, quoique... je n'en sais trop rien.

Il est référencé chez les JE cela dit. Je ne veux pas lâcher son nom ici et comme ça, de but en blanc, pour éviter le flaming en public mais... j'avoue que c'est tentant.

Btw, voici ma réponse à leur mail (après qu'ils aient essayé de me forcer à grand renfort de compliments et de "vous voulez voir le contrat ptet ?")

Citation :: Bonjour,
J’ai mûrement réfléchi à votre proposition.
Je dois admettre que, passée la surprise, j’ai été pour ainsi dire choquée par celle-ci. J’étais loin d’imaginer le peu de crédit que l’édition traditionnelle accorde aux auteurs indépendants.
Je vous remercie de vos compliments sur mon travail, même si j’ignore encore comment vous en êtes arrivés à me connaître. Je me dis que mon dur labeur en matière de communication finit par payer.
Cela dit, sachez que je ne suis pas une sorte de « VRP » à moindre coût. De plus, si le partenariat que vous me proposez était sain et juste, j’accepterais certes de vendre vos livres sur MES stands que JE paye… mais en échange, vous feriez de même. Or, au vu de votre message, il semblerait que je ne sois pas la seule à qui vous proposez ce type d’accord à sens unique. Ainsi, il serait difficile pour vous d’installer sur vos stands toutes les œuvres des auteurs que vous réussissez à convaincre.
Ce n’est pas mon cas. Oui, j’aimerais un jour trouver un éditeur sérieux à qui confier mes romans. Oui, votre « partenariat » serait un moyen de nous connaître professionnellement parlant. Hélas je ne suis pas encore prête à en arriver à de telles extrémités pour me faire une place dans ce milieu.
En d’autres termes, je ne suis pas intéressée.
Néanmoins, je vous souhaite bonne continuation.

11/01/2013

Poli, clair, net, professionnel Smile

En effet, un éditeur inscrit sur JE, c'est problématique

Smile

bonne suite Smile

25/12/2015

Merci !

Oh et, je viens de mettre mon site à jour. Il y avait du nettoyage à faire !

Comme beaucoup de lecteurs me l'ont conseillé, j'ai ajouté une rubrique "extraits" ...

Avec l'illustration qui va bien (~~et m'a coûté la peau du cucul~~)

https://www.ellenmartin.fr/extraits

11/01/2013

jolie image.
C'est pour un côté "image numérique qui grésille", les lignes sur l"image, ou bien c'est la pluie ?

25/12/2015

Merci ! (surtout pour mon illustrateur tongue

)

Les lignes, c'est la pluie !
==> Un déluge rinçait le Capitole. Les lumières de la ville dégueulaient sous ce rideau de pluie, semblant se mélanger entre elles. Dans le ciel sombre ne se distinguaient que les loupiottes rouges des aéronefs en maraude. À l’arrivée de l’hovercraft blanc, des silhouettes se massèrent à l’hélistation de Pinxit Industries. Parmi elles : Haytham Cutlaw, la face marquée par la gravité de la situation ; et Aryan Turner, la mine sévère comme d’habitude. Son assistante se tenait à ses côtés et le protégeait d’un parapluie.

(début de la scène illustrée, l'extrait sur le site y est lié Smile

)

11/01/2013

Pour de la pluie, je trouve ça un peu raide...
J'aime mieux l'idée d'un brouillage Smile

Je suppose que chacun y verra ce qu'il préfère

05/06/2016

Moi, j'aime bien les lignes. :mrgreen: