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Commencé Dans le café de la jeunesse perdue de Modiano, eh bah jusque-là ça se profile plutôt bien et en beaucoup moins chiant que ce que j'avais lu de lui, soit très peu, alors peut-être ça va me réconcilier avec l'idée de rien que j'en avais, j'aime bien, l'atmosphère, les personnages croisés, certaines phrases à mâchonner, le parfum de la mystérieuse que tous poursuivent, un parfum de quelque chose qui veut se dire à travers cette image de café et de jeunesse, juste les changements de voix un peu grossier peut-être à vouloir se faire sans se dire vraiment mais bon, une poussière, pourvu que ça continue comme ça !
 
Kid
   
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Kid  /  Un talent FOU


Bon c'est décidé : j'abandonne le Monde d'hier à la 323ème page.
Il ne sert à rien de se faire du mal : je m'endors dès que j'ouvre le bouquin. Pourtant je ne le trouve même pas mauvais. Juste, ça m'endort. Un mystère.
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Cyprien  /  Tycho l'homoncule


J'avais eu cette impression avec Henry James... Dont la seule qualité était le nombre limité de pages.

Pour ma part, j'ai déjà bien entamé "L'homme sans maladie d'Arnon Grunberg. Un jeune architecte suisse se rend à Bagdad pour y réaliser un opéra. Ne comptent lui que "l'ergonomie et la beauté". Il n'a aucun avis sur la politique du pays et le chaos régional. Mais on le prend pour un espion et il devra bien ouvrir les yeux. C'est noir. Ca fait un tantinet penser à Kafka. Un peu trop "détaché" à mon goût. Le jeune architecte ne semble presque pas concerné par ce qui lui arrive et lorsqu'il se rebelle, c'est plutôt mollement... Et j'ai juste envie de le secouer.
 
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Lalla Romano.

Poétesse italienne super.
 
Hobbes
   
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Hobbes  /  Attention : chat méchant


Bouclé Agonie d'agapè. Je réitère sur le titre — aussi bien pour l'original que la version française — : peut-être l'une des formules, presque un slogan, qui représentent avec la concision la plus parfaite et de la manière la plus immédiatement polysémique le livre dont elles essaient de rendre compte. Le spectre de la Cène, la morte lente et sans fin de l'art non industriel, la trahison du/des c/C/réateur(s) — ouais : je gratte —, l'assassinat par gloutonnerie en réunion : tout y est. Dommage que le monologue en lui-même soit a) relou, b) d'un intérêt tout relatif, spécialement par contraste avec ses sources — big up, Walter Benjamin et Paul Valéry —, c) complètement dispensable en regard de la bibliographie de Gaddis qui dit déjà tout ça, mais avec plus de pages et de vrais moments de grâce à l'intérieur.

Continué avec Tendre est la nuit, dont le premier volet tutoie la perfection — c'est une façon de parler, mais pas tant que ça non plus : le début du roman figure et manifeste une forme de grâce aux frontières du réel. Il y a bien quelques niaiseries, des lieux communs et des poussées de lyrisme un peu balourdes, mais c'est aussi le projet du texte : faire le récit, par l'entremise d'une gourgandine noyée dans les romans d'amour, de la grandeur et de la misère d'un couple de beaux gosses criblés de déchirures ontologiques au sein d'un monde qui leur pisse à la raie de toute la force de son urètre hostile et immanent. Fitzgerald a cette intelligence parfois sentimentale du décorum — les intermèdes pluvieux, les bains de soleil interminables, les temps de latence au détour d'un dîner mondain — qui traduisent bien cette euphorie désespérée, fuyante, presque agressive, des gens qui se forcent à s'amuser. Dès que — malheureusement — le vernis craque, c'est tout de suite moins réussi : ça crie, ça boit, ça baise, le plus souvent de manière convenue et/ou trop appuyée. J'ai le sentiment que le bouquin serait complet, plus triste et mieux construit, sans le segment « décadence » qui court sur tout le dernier tiers. Très bon, quoi qu'il en soit.

Lu César Birotteau, principalement pour m'occuper dans le métro. Étonnamment, il doit s'agir de ma meilleure rencontre avec les romans de Balzac — que, d'habitude, je déteste. C'est toujours étouffé de personnages casse-couilles — Du Tillet, Nucingen : plein le cul de ses figures lucifériennes et de ses accents lourdingues —, trop long, trop lent, livré avec son commentaire de texte et composé à la truelle, mais son portrait d'une bourgeoisie vulgaire, idiote, grégaire, sublime, crétine et messianiquement probe, fait l'intérêt du livre. J'ai rigolé deux ou trois fois, surtout vers le début, et bien aimé le happy end frénétiquement premier degré, quoique — parce que ? — limite obligatoire.

Poursuivi sur À la vitesse de la lumière, persuadé que Cercas pondait des grands romans par lots de douze depuis Les Soldats de Salamine. Évidemment, j'avais tout faux. Je ne dirais pas que c'est raté, mais il s'agit d'un petit livre pas dénué d'astuce, sans envergure et gangrené de maximes péremptoires un peu trop fières d'elles-mêmes pour ce qu'elles ont à dire. On aurait pu faire sans les accès de pathos aussi — surtout venant de quelqu'un qui tape sur ses meilleurs bouquins en s'accusant de sentimentalisme. Il doit y avoir une mode panlittéraire — Tesich, Irving — pour les carambolages qui laissent des écrivains casse-couilles orphelins de leur femme — qu'ils trompent — et de leur fils unique avant de sombrer dans le désespoir. Pas nul non plus. Ni mauvais. Sans plus.

En ce moment, La Lune dans son envol. Très emballé, pour l'instant — surtout par la première nouvelle.
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Rask'
   
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Rask'  /  ChériJE® de Mitsu


Hobbes a écrit:
Poursuivi sur À la vitesse de la lumière, persuadé que Cercas pondait des grands romans par lots de douze depuis Les Soldats de Salamine. Évidemment, j'avais tout faux. Je ne dirais pas que c'est raté, mais il s'agit d'un petit livre pas dénué d'astuce, sans envergure et gangrené de maximes péremptoires un peu trop fières d'elles-mêmes pour ce qu'elles ont à dire. On aurait pu faire sans les accès de pathos aussi — surtout venant de quelqu'un qui tape sur ses meilleurs bouquins en s'accusant de sentimentalisme. Il doit y avoir une mode panlittéraire — Tesich, Irving — pour les carambolages qui laissent des écrivains casse-couilles orphelins de leur femme — qu'ils trompent — et de leur fils unique avant de sombrer dans le désespoir. Pas nul non plus. Ni mauvais. Sans plus.

Oh, je l'ai fini récemment, je fus totalement conquis. Un jour je devrais poser à l'écrit mon ressenti sur Cercas et ses deux livres que j'ai lu (Les Soldats de Salamine - big up J.E. Bouqine - et celui-ci donc). Je suis un très petit lecteur (mais compte bien changer cela), donc mes impressions sont nécessairement biaisées par le manque de point de comparaison, de références, et de culture en général. Je suis assez sensible à l'hybridité entre réel et fiction, la place de l'écrivain, et à la personnalité de Cercas. Dans le Society#18 il y avait un entretien intéressant avec lui, j'avais envoyé une photo à Lo.mel d'ailleurs, je peux la poster ici si ça intéresse quelqu'un.

Au final, Les soldats de Salamine et A la vitesse de la lumière m'ont par moment un peu lassé, ou irrité ; qu'importe, l'émotion globale et la trajectoire de chacun des livres est si forte que je l'accepte - et l'intègre même comme faisant parti du dispositif narratif s'il faut. Les Soldats de Salamine rendait sans doute mieux compte du contraste d'échelle entre l'individu et le collectif, la petite et la grande histoire, en plus de la question de la mémoire, de la notion de héros, etc. A la vitesse de la lumière étant bien plus egocentré, mais au moins autant percutant sur moi.

Qu'as-tu aimé chez Cercas ?
 
Hobbes
   
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Hobbes  /  Attention : chat méchant


Ce qui, à l'époque, m'avait intéressé dans Les Soldats de Salamine tenait à sa mise en question de la frontière entre histoire, historiographie, fiction, mémoire, légende et ainsi de suite — tout ça regroupé sous le problème plus général de l'importance du narratif dans la vie de tous les jours, avec ou sans le secours du roman : si l'univers, ou ce qu'on s'accorde à définir comme tel, s'ordonne en s'appuyant sur des intrigues dont la structure ne diffère pas de celle qu'on trouve dans un bouquin de littérature, où situer la ligne jaune entre personne et personnage, annales et mythes, souvenirs et récits mis en scène ? Le texte exerce une forme de fascination, dans la mesure où il déploie des effets de réel — introduire des figures connues, représenter le texte comme une enquête, aller jusqu'à menacer de la suspendre par soumission aux données scientifiques — qui se déversent à l'intérieur de la fiction pour s'annexer la confiance du lecteur avant, bien sûr, de la trahir par une série d'indices à la fois rhétoriques — les glissements de points de vue, les topoi romanesques, les rebondissements trop commodes pour ne pas être artificiels — et mentionnés tout crus — les remarques de Bolaño, dont la présence suggère déjà pas mal de choses, sur l'invention d'un « Miralles plus réel que le Miralles réel ». La construction limpide et la subtilité des procédés de brouillage, le plus souvent rétroactifs, ne gâchaient rien non plus. Mais je ne dis pas grand-chose de plus que toi.

J'avais laissé ce message après ma lecture du bouquin.

Hobbes a écrit:
Ravi par les Les soldats de Salamine, qui trace sa propre généalogie depuis l'assassinat manqué de Sánchez Mazas, auteur mineur et phalangiste sacré, jusqu'au soldat républicain dont, d'après la documentation du narrateur — et plus ou moins auteur, même si pas trop : big up Marcel —, la bienveillance lui permettra de se carapater le jour de son exécution. Puisqu'il s'agit d'un texte hispanophone daté de moins de trente ans, s'y croisent des auteurs tutélaires, ici Roberto Bolaño, et de gros morceaux de problèmes théoriques disséminés dans une enquête qui non seulement se donne des airs de pas grand-chose, mais garde aussi le bon goût de ne pas en faire des caisses malgré son passif assez lourd : fascisme, guerre fratricide, piétaille hors d'âge, post-modernisme étouffant. Beaucoup de relents de Paul Ricoeur, sans la vulgate et l'antimite, avec au bout du bout la grande question de l'art romanesque depuis pas mal de temps : qu'est-ce qui, génériquement, matériellement, le place en marge des autres formes de discours ?

Il y a des choses à dire aussi d'À la vitesse de la lumière, mais beaucoup moins et de manière beaucoup plus grossière — ou je ne les ai tout simplement pas vues. Toujours est-il qu'on flotte aux limites du mélo, et que la brillance de Cercas, même quand il tente des arnaques similaires à celles de son grand œuvre — révéler, dans le deuxième segment, que le narrateur était en fait l'auteur des Soldats de Salamine avec tout ce qui va bien de pseudo-marques d'authenticité : l'attachée de presse, les tournées de promotion, les chiffres de ventes du livre, le power trip et la notoriété —, fonctionne au ralenti, moins comme vision du monde qu'à titre de gimmick.
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Neige, Maxence Fermine.
Un joli petit conte, c'est beau et limpide, un peu fugace, mais j'en avais peut-être trop entendu chanter des louanges qui font qu'on en attend toujours plus. J'y serais bien restée un peu plus, mais chouette sinon.
Je suis très curieuse de relire cet auteur sur du plus long cours.
 
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Kid  /  Un talent FOU


Hobbes a écrit:
Il doit y avoir une mode panlittéraire — Tesich, Irving — pour les carambolages qui laissent des écrivains casse-couilles orphelins de leur femme — qu'ils trompent — et de leur fils unique avant de sombrer dans le désespoir.

Oui, hein ?
Moi ça m'avait particulièrement gavé chez Tesich tellement c'était gros comme une maison. J'avais l'impression de voir Californication en moins attachant. Comme si les écrivains américains dans les œuvres de fiction étaient tous des John Fante de bas étage qui se complaisent dans leur propre médiocrité nihiliste. D'un côté ça me casse les couilles, de l'autre ça m'interroge sur le pourquoi du comment.
Et encore, je ne parle pas de l'image de l'écrivain américain véhiculé par les séries télé et le divertissement : riche avec des préoccupations de riche (souci de cœur qui mène à la page blanche), ou, pire, Dan Humphrey.

En tout cas ce que tu racontes sur Paul Ricoeur (pas la première fois que je lis son nom dans tes posts) m'intéresse beaucoup. Mais comme il a un énorme bibliographie je ne sais pas par où chercher. Un conseil ?


Bon moi je me suis lancé dans totalement autre chose : Kafka sur le rivage de Murakami. Premier du Haruki que je lis (parce que je connais déjà un peu l'homonyme Ryû) parce qu'on m'a dit que c'était très bien. Je n'en suis qu'à cinquante pages et je ne sais pas quoi en penser à part que la traduction me sort parfois franchement du récit (par exemple l'institutrice décrite comme stressée, choquée, et qui fait des phrases très élaborées et pas du tout naturelles), et que ça a l'air un peu con-con pour l'instant. Mais bon, c'est le début, on verra bien par la suite.
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Hobbes
   
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Bientôt bouclé le Sorrentino. Très inégal et très, très bon — même quand c'est chiant et/ou que ça s'astique.

Kid a écrit:
En tout cas ce que tu racontes sur Paul Ricoeur (pas la première fois que je lis son nom dans tes posts) m'intéresse beaucoup. Mais comme il a un énorme bibliographie je ne sais pas par où chercher. Un conseil ?

Je suis loin d'avoir tout lu de Ricœur, d'autant que les souvenirs que j'en ai commencent à devenir trop vieux pour t'en parler dans le détail. M'enfin, je te dirais Temps et Récit — surtout le premier et le troisième tomes : globalement illisibles, mais tout y est pour peu que tu te fouettes histoire de ne rien laisser passer — ou Soi-même comme un autre, moins exhaustif et bien plus abordable.
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Raven
   
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Le Bouclier obscur de John Lang — ceux qui connaissent Naheulbeuk reconnaîtront le nom qui se cache derrière Pen of Chaos, — réédité dans la coll. Hélios, fin 2015. J'ai appris que le roman a été écrit en 1996, ce qui explique l'usage invraisemblable de mots comme « disquette » et « micro » (pour désigner un ordinateur !). Par contre, je ne sais pas si c'est moi qui lui prête ça, mais on sent fortement l'inspiration rôliste dans cette histoire ! Les descriptions faites, les événements s'enchaînent presque exactement comme dans une partie et par moment, on pourrait presque entendre les dés rouler alors qu'un personnage fait un jet de connaissances (latin) ou que le héros fait un jet de perception quand il monte la garde, c'est assez fou. Sinon, on me l'a vendu comme un roman d'horreur — en réalité, celle-ci est maladroite et évacuée dès les premiers chapitres — et comme écrit avec talent — alors que bon, c'est juste relativement banal.

Désolé, je ne lis pas de Joyce en ce moment… Embarassed
 
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Ok Hobbes, merci beaucoup ! Je vais jeter un oeil.

Raven : j'ai lu les deux premiers romans Naheulbeuk, parce que j'adorais la série audio. J'ai été choqué de tant de nullité. Tu me diras si celui-ci vaut mieux.

Passé les cent premières pages de Murakami. C'est zarbi.
D'un côté la volonté de créer toute une ambiance onirique. J'aime le projet.
De l'autre, le besoin compulsif d'expliquer toutes les références, d'être "accessible" dans le mauvais sens du terme, l'impression grandissant qu'il y a beaucoup de rien. C'est rigolo de voir un vieux croûton discuter avec des chats, mais ce n'est l'aspect improbable de la situation qui va excuser le néant au sein du dialogue ("nous les chats nous sommes casaniers" "ah bon" j'adore les anguilles" "oui moi aussi"). Pareil du côté de Kafuka : le matin je me muscle, je me lave en faisant attention à mon zizi, je pars lire un livre. Et je répète l'opération pendant une semaine bla bla... Bon, cette situation tourne court assez vite, d'où le besoin de poser le quotidien avant, mais je trouve ça très maladroit.
Le problème c'est que j'ai fait l'erreur de continuer à faire des recherches sur le livre après l'avoir commencé, et donc je suis tombé sur des avis très négatifs, alors qu'avant je n'en avais entendu que du bien. C'est en train de me remplir de mauvaise foi.
Sans surprise : je suis un rageux.
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"Read this if you want to take great photographs". Un manuel sans jargon technique, sans tirade péteuse et richement illustré. Et j'aime beaucoup les choix d'illustrations-exemples ; ça devrait m'apprendre pas mal de choses.
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Pangolin  /  Très premier degré


Sucre de pastèque, de Richard Brautigan.
Citation :
J'espère que cela va marcher.
Oh oui. Un coup de poing doux, très doux. Mais ça fait mal.
Encore merci, Jasmin.
 
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Tim  /  Morceau de musique survitaminé


Richard Brautigan c'est grand ! Tu en as lu d'autres de lui ?
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