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 Le corps des livres

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J’avais publié il y a quelque temps ce lien vers un sondage dans le cadre de mon mémoire sur la matérialité du livre.
Je vous propose de partager avec vous quelques unes des belles réponses reçues anonymement et d’en discuter.

Le corps des livres Firesh11

Q2 : Pour quelles raisons ?


  • Le confort

  • L’habitude, je lis souvent sur Google books

  • Le toucher, la qualité de lecture, le geste de l'ouvrir et de le fermer

  • Numérique je suis moins encombré papier j’aime toucher pour éventuellement prêter

  • La matérialité du livre

  • Pour éviter de rester trop longtemps sur un écran, mais aussi parce que pouvoir avoir le livre dans la main et le tenir ça donne un meilleur sentiment

  • je n'ai besoin ni d'une application, ni de matériel, ni d'électricté pour le lire

  • Le fait de tourner les pages, de lavoir en main.

  • Pour le plaisir du contact physique

  • L'odeur / plus facile à manier

  • L'objet, le toucher, la sensualité

  • Le plaisir d'avoir un livre entre les mains

  • épaisseur de l'objet

  • J'y suis habituée, ça ne fait pas mal aux yeux, et j'aime sentir le livre, voir les pages défiler...

  • Pour l'objet

  • Le contact et l'échange

  • Car je passe déjà trop de temps dvt des écrans et que j'aime avoir un objet physique imprimé

  • Quand je décide de lire un livre, j'aime le garder dans ma bibliothèque ou le prêter.

  • On peut le prêter !

  • Avoir un objet qui reste, à mettre dans la bibliothèque.

  • le toucher du papier, la beauté d'une couverture glacée à vernis sélectif

  • Plus d'attachement, de sensations

  • Tenue de l’objet en main, l’odeur, la sensation d’avancer la lecture : le plaisir (ou non) de terminer l’ouvrage

  • le toucher, l'odeur

  • La beauté de l'objet et surtout, l'effet "trophée" dans la bibliothèque

  • Plus agréable à lire

  • Car j'apprécie les choix de fabrication, l'odeur du papier, découvrir la 4e de couverture, le type de reliure... et j'aime conserver et ranger livres après lecture.

  • La matérialité du livre : on le touche, on le sent, on sent physiquement et visuellement où on en est…

  • Symbolique de l'objet

  • Confort de lecture

  • c'est plus agréable

  • Objet fini, à conserver, à transmettre

  • odeur et concentration

  • Couverture, papier, texture, odeur, laisse un plus vif souvenir

  • C'est plus tangible, concret. On voit bien où on en est de sa lecture.

  • Le livre numérique manque de réalité

  • Les textures des papiers, le fait de pouvoir toucher l'objet, qu'il puisse être physiquement beau, de pouvoir le valoriser chez soi (dans une bibliothèque, mais pas seulement)

  • sans doute pour le côté affect de l'objet qui ne vient pas, pour moi, avec un objet numérique, qui reste "abstrait", non palpable.

  • confort de lecture

  • Possession

  • Pour l'odeur et le refermer quand on a terminé

  • Attachée à l'objet livre

  • J'aime avoir un véritable objet entre les mains, et le choix du faconnage etc. apporte souvent quelque chose.

  • Concentration de lecture différente + sensation de voir les pages défiler, on sait combien il en reste, ou l'on est dans l'histoire

  • Le papier me permet de toucher le livre, de corner les pages. Et puis c'est un bel objet. C'est une habitude prise, une autre façon de lire plus intime, plus vivante. Le numérique me plaît pour le côté pratique : tous mes livres à portée de main, plus facile de lire dans les transports, etc.

  • L'odeur principalement, la texture du papier sous la pulpe des doigts. L'objet matérielle et sa possession.

  • plus joli - plus agréable - beau sur mon étagère.... plus facile à lire et pour retrourner en arrière .... etc etc

  • Plus beau, plus compliqué à être détruit qu'un simple fichier qui peut sauter à cause d'un bug

  • Plus agréable en main, l'odeur, la possibilité d'offrir avec de petits mots

  • Si l'on parle du livre en tant qu'objet et non en tant qu'activité, l'objet-livre est plus stimulant, plus spécifique, plus touchant et plus tangible que l'objet-tablete. Et puis, dans l'activité, il y a l'imprégnation que le lecteur fait sur ce livre, en l'abîmant ou le cornant ou en prenant soin, qui permet de se l'approprier. Et puis la place que prennent les livres donne une tangibilité à l'imaginaire et au savoir.

  • J'ai coché les deux j'espère que ça ne dérange pas car plus je lis sur ces deux supports plus je trouve autant d'avantages à l'un qu'à l'autre.

  • J'aime flâner dans la librairie, feuilleter, palper et tenir " l'objet livre " entre mes mains

  • sentir dans ses mains l'espace et le texte

  • Matière et sensations

  • j'arrive mieux à me concentrer pour lire, et j'aime l'objet

  • le livre numérique n'a pas de mémoire ne se partage pas ne se feuillette pas

  • Le contact avec l objet

  • l'objet à toucher, à sentir sous ses doigts, entendre le bruissement des pages, sentir son poids...

  • 1) Tenir le papier, tourner les pages, avoir un super marque-page... 2) je n'ai pas de liseuse^^ 3) On ne peut pas "personnaliser" un livre numérique (une dédicace, la tache de thé, les grains de sables des vacances dans la reliure...)

  • Confort de lecture

  • C'est juste sentimental, au niveau des sensations, le papier au toucher, l'objet aussi, c'est matériel, ça ravive des souvenirs

  • j'aime les objets livres

  • on peut le toucher, manipuler les pages

  • Plus pratique car tout y est regroupé dans mon smartphone

  • L’odeur du papier ancien, le toucher, la joie ou la tristesse de voir son livre diminuer au fur et à mesure ??

  • L'odeur, le toucher du papier different à chaque livre...

  • Matière

  • l'odeur, le toucher et la rapidité de consultation

  • habitude , plaisir de tourner les pages et de manipuler l'objet

  • Ma lecture est différente en numérique, je ne parviens pas à investir un roman. En revanche, quand il s'agit d'un documentaire, pas de problème.

  • Pour toutes les nuances et subtilités physiques qui déterminent l’identit du livre papier

  • le plaisir du toucher

  • Pour pouvoir écrire dessus, corner les pages

  • Je peux le garder, le regarder, le toucher, c’est juste incomparable pour moi

  • Odeur de l'encre / plaisir de toucher le papier

  • Objet, papier, plus reposant.

  • confort de lecture

  • Plaisir de toucher et de respirer l odeur

  • le papier

  • Pour l'odeur du Papier et pour le bruit quand on tourne les pages

  • ma liseuse quand ya pas assez ou trop de lumière, je peux pas la lire !! + les BD passent pas huhu

  • La sensation du toucher, sentir cette épaisseur du papier au bout de mes doigts

  • Le toucher, les textures, l'odeur et le côté matérialiste.

  • J'aime les versions papier pour les annoter, les ranger et classer dans ma bibliothèque, pour les prêter à des amis, pour la beauté de l'objet livre. Et surtout ! Pas besoin de prise électrique pour recharger son livre !

  • Le plaisir à en tourner les pages, son odeur, sa robustesse.

  • le touché

  • Question d'habitude : j'ai toujours lu sur papier. Et question d'esthétique : j'aime bien avoir une bibliothèque remplie

  • le garder ensuite dans ma bibliothèque (pour décoration)

  • le toucher, l'impression de moins fatiguer mes yeux, l'odeur, les souvenirs

  • sa matérialité

  • On peut toucher, voir des qualités d'impressions, de couleurs etc. Le livre papier permet également des jeux de matières papier (pop up...)

  • Le toucher de la matière et j'avoue j'aime bien que les gens voient ce que je lis

  • L’expérience de la lecture est plus authentique avec un livre papier, les sensations sont différentes (on peut tourner les pages, sentir l’odeur d’un vieux livre ou d’un livre neuf). Je ressens plus d’émotions en lisant un livre papier qu’un e-book.

  • Je peux le regarder, le sous peser, prendre des notes dessus, en cela, j'ai vraiment le sentiment de le posséder.

  • moins encombrant

  • plus agréable, palpable (il y a une réflexion sur la forme de l'objet)

  • J'aime l'impression, les couvertures, parfois les textures spécialement choisies pour un ouvrage. Quand j'apprécie un ouvrage, j'aime l'idée de le conserver physiquement. Il y a aussi l'habitude d'avoir lu sur papier étant jeune qui participe à cette préférence.

  • c'est plus palpable - le plaisir de manipuler l'objet, de sentir l'odeur du papier...

  • Difficulté à conserver mon attention dans la lecture d’un livre numéro

  • I'm old school. et mon père est libraire. Je veux pas me fâcher avec lui XD
 
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Q3 : Selon vous, quels pourraient être les avantages du livre numérique ?


  • Utilité pour les voyages et les études : avoir accès à pleins de livres tout en restant léger.

  • D’abord plus pratique pour le transporter partout. Ensuite, quand c’est numérisé, ça offre davantage de choix pour l’écriture par exemple on peut faire quelque chose qui clignote, qui scintille, qui n’est découvert que lorsqu’on surligne etc.

  • Contenu enrichi: liens «en savoir plus», ajout de vidéo, d’effets graphiques, d’éléments interactifs... grossir le texte pour les malvoyants, transportabilité (liseuse en voyage).

  • Interactivité, recherche de mots-clefs, bien pour les sciences humaines.

  • Le fait de pouvoir lire des livres moins « assumés » dans les transports (science-fiction, livres young adult, littérature érotique, etc.).

  • Moins cher, il permet aux grands lecteurs de dévorer à (moindre) coût — ce n’est pas toujours le cas. La liseuse est légère, petite : bien plus pra- tique pour utiliser un dictionnaire pendant une épreuve ou même lire tout Proust lors de voyages... c’est plus pratique !

  • Enrichir les opticiens.

  • Le côté accessible. Rapidement, en deux clics on a accès à du contenu. Je ne sais pas si c’est réellement un avantage, cela contribue à cette course du temps où tout va toujours plus vite, où on n'a plus le goût de l’attente. Tout devient immédiat, rapide, et on court vers le livre suivant...

  • C’est un gain de place pour les personnes avec des petits logements. Et sûrement est-ce plus écologique que de produire des livres.


Dernière édition par Jasmin le Mar 12 Juin - 20:33, édité 2 fois
 
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Q4 : Que pensez-vous des très grands formats de livres ?


  • J’en ai plusieurs chez moi, essentiellement des livres d’art et je les apprécie car les œuvres sont bien imprimées, l’objet est beau et agréable à consulter.

  • J’aime, en particulier quand il s’agit de photos, œuvres graphiques et ou façon planches anatomiques, cartes, etc.

  • Les grands formats de livres s’inscrivent à mes yeux comme des œuvres ; si ce format est choisi c’est avec la volonté d’apporter une di- mension supplémentaire, une plus-value importante.

  • Je n’aime pas trop, trop encombrant, je considère ça comme des livres mais un peu différemment, il y a l’objet avant le propos, très adaptés aux livres d’arts sinon peu maléables.


Dernière édition par Jasmin le Mar 12 Juin - 20:22, édité 1 fois
 
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Q5 : Des très petits formats ?


  • J’aime beaucoup les petits formats de livre, car ils présentent les avantages du livre numérique (gain de place et de poids), tout en étant agréables à manipuler.

  • C’est touchant, comme un petit trésor. Les petites choses ont un fort potentiel à se rendre attachantes.

  • Extrêmement pratiques dès que l’on est à l’extérieur de chez soi. De manière générale, leur rôle est d’être facilement transportables; il y a bien sûr des exceptions et certains petits formats font ce choix avec une visée très précise.

  • Trop cute pour la poésie. Chaque format doit être adapté à son genre finalement.

  • C’est assez intime et souvent intéressant comme approche, j’aime mieux que les très grands formats, mais j’ai tendance à les dénigrer en quelque sorte, dans mon rapport à eux, l’objet passe souvent avant le texte, je me sens vite étouffée et je ne lis pas bien les mots, je regarde seulement l’objet.

  • Pour les petits textes oui, sinon ça m’énerve un peu de tourner les pages trop souvent et ça me donne l’impression que les mots, de par leur taille minuscule, ne sont pas importants.



Dernière édition par Jasmin le Mar 12 Juin - 22:42, édité 3 fois
 
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Q6 : Avez-vous un ou des livres qui vous ont marqué au niveau de leur matérialité (papier, format, couverture, odeur etc.), à l'enfance ou à l'âge adulte ? Pouvez-vous détailler vos impressions au contact de ce ou ces livres ?

Toutes:

Citées dans le mémoire (et j'aurais voulu en mettre plus !) :


  • L’odeur des vieux livres de ma mère (Bibliothèque rose et verte, avec « les Fantomettes », « Club des cinq », « Clan des sept »), leur odeur de renfermé, la couverture rigide avec des pages faites en papier épais et presque granuleux sous la main. J’aime aussi l’odeur de certains livres neufs, cette fois-ci aux pages extrêmement lisses, qui me rappellent les manuels scolaires de mon enfance. Plus récemment, j’ai apprécié des objets-livres mais j'avoue ne pas m’en souvenir avec plus de précision.

  • Je n’ai pas de titres en particulier mais j’aime sentir l’odeur des livres qui ont été dans une cave.

  • Le vernis sélectif, qui a des rendus superbes, les couvertures de livre type livre ancien, très belles, qui donnent l’impression d’avoir quelque chose de précieux.

  • J’aime l’odeur des livres en général. Pour des livres de qualité supé- rieure, j’apprécie particulièrement les ouvrages de la maison Jean de Bonnot. Les dorures, couvertures et frises sont magnifiques et l’idée de trophée prend tout son sens. J’aime beaucoup les livres Harry Potter de la maison Bloomsbury en VO, ils sont beaux, les dessins sont magnifiques. Ils sont cependant un peu grands pour une lecture couchée.

  • Oui j’ai lu ce genre de livre. La plupart du temps, c’était des livres déjà « usés », lus... par moi ou par d’autres. J’ai toujours aimé la sensation du livre déjà lu : plus maniable, odeur particulière, et on peut s’imaginer son histoire.

  • Les éditions Zulma, lorsqu’elles sont apparues sur le marché du livre. Ça a été un peu une sorte de modèle, des livres qu’on a envie d’avoir dans sa bibliothèque simplement parce qu’ils sont beaux, qu’ils ont une identité que l’on reconnaît immédiatement. Le papier de couverture, la charte graphique m’avaient fait une forte impression. Il y avait eu Actes Sud aussi, qui sont apparus quand j’avais 10 ou 12 ans je pense : ils avaient une collection pour les adolescents qui reprenait le format long et allongé (qui a un peu disparu depuis), avec un papier intérieur plutôt jaune et fibré (qui a disparu également pas mal), j’étais complètement fan de ces particularités, on savait tout de suite que c’étaient des livres Actes Sud et je les voulais. D’une manière générale, dans mon enfance et mon adolescence, j’étais très attachée aux chartes graphiques des livres et à un principe toujours identifiable. Dernièrement, un livre qui m’a marquée en tant qu’objet : « La maison dans laquelle », paru aux éditions Toussaint Louverture. L’objet est assez incroyable : assez grand, gros, d’une texture particulière et qui reste assez maniable malgré tout (même si pour ma part, je ne le lisais pas dans les trans- ports, car il reste un peu lourd et encombrant). Il y aussi les éditions du Chemin de fer, dont les livres fonctionnent comme de véritables petits objets, avec un rabat couvrant qui donne l’impression que ce sont des coffrets. Ce sont des livres dont la matérialité est très forte.

  • Plein. Enfant, un livre sur les sorcières, à la couverture et au papier glacé, avec beaucoup de détails, de dessins légendés et colorés en bordure de l’histoire. Adulte, je crois que j’ai gardé ce goût pour les livres qui mélangent illustrations, photos et textes, j'aime les mélanges de supports surtout quand ils font sens, quand l’image ou le dessin prolonge l’univers du texte. Pour en citer deux (plus ou moins récents) : « Sommeil » de Murakami, illustré par Kat Menschik, la couverture est car- tonnée et la typo, argenté gravée, les pages glacées, et le texte entrecou- pé de superbes illustrations monochromes, qui portent, contribuent à l’onirisme de l’histoire. « Des histoires vraies » de Sophie Calle, on a un texte très épuré, et des photographies, papier glacé (je suis sensible au papier glacé je crois !) et le format allongé, rectangulaire, je sais pas, ça dégage déjà quelque chose d’intime, comme un carnet.

  • oui, un très grand livre, dans l'enfance, sinon Douleur exquises de Sophie Calle. En format "long",avec une mise en page très interessante, à droite des témoignages de personnes, et à gauche toujours la même histoire d'une histoire d'amour racontée en boucle encore et encore jusqu'à ce que les mots deviennent de la douleur du papier s'y fondent et se fassent oublier comme une histoire qui s'estompe. J'ai trouvé le format en "hauteur" bien adapté, quelque chose de plus intime.
    La collection Pointdeux m’a impressionné par sa praticité et son confort de lecture grâce à son format ultrapoche, parfait pour la lecture no- made, et sa mise en page ligne parallèle à la reliure, imprimé sur papier bible. Les livres de l’éditeur Xavier Barral: en particulier «Evolution et Mars». Ils m’ont marqué par leur beauté d’impression (les noirs), la finesse des choix de papiers, la qualité globale: des objets d’art en série. J’ai été marqué par un Atlas grand format lorsque j’étais enfant, il faisait à peu près ma taille (environ 1m de haut) page en carton 3mm !

  • Les missels et bibles, souples, confortables pour une lecture debout.

  • Tous les ouvrages de Chris Ware («Jimmy Corrigan» et «Building Stories» en particulier), qui décomposent et restructurent le texte et l’image, à une époque les couvertures des romans de l’Atalante (Annales du Disque-Monde) avec leur texture de papier canson, les BD en général dont la couverture craque quand on les ouvre pour la première fois ou après un long moment, l’odeur de papier-journal des mangas, en général les couvertures des BD des éditions Cornelius (collection So- lange, je crois) et le papier épais qu’ils utilisent, l’édition du « Seigneur des Anneaux» illustrée par Alan Lee que j’ouvre encore de temps en temps juste pour regarder ses aquarelles, les « Tom-Tom et Nana » dont j’aimais bien le format carré, plus pratique à glisser dans le sac que des BD classiques (quand les mangas n’étaient pas encore là où quasi), les livres des éditions Time Life, chacun sur un thème (les 4 saisons, les 5 continents, Les animaux sauvages, etc.) plus grands que des BD et aux pages très colorées et satinées, presque comme des feuilles de car- ton souple plastifié, les livres dont la couverture imite l’aspect du cuir, juste au toucher je trouve ça très agréable, encore plus quand il y a des lettres ou motifs incrustés dessus (comme dans « In God we trust » de Winshluss).

  • Enfant, un livre sur la nuit imprimé à encre phosphorescente en partie, ce qui changeait l’image avec ou sans lumière dans la pièce.
 
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Mis à jour.
J'ai découvert des tas de livres qui jouent sur la matérialité, j'en parlerai dans un prochain post.
 
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Cet homme est un génie. Écoutez-le parler des concepts de livres qu’il développe. Les interactions sont bien pensées et font écho au thème du livre.
J’adore notamment le livre (papier) dont les pages se noircissent au fil de la lecture. Ça doit être étrange comme sensation :



 

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