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| Publier en ligne = Ruiner ses chances d'être publié ? | |
| | Nombre de messages : 2409 Pensée du jour : L'art de l'écrivain consiste surtout à nous faire oublier qu'il emploie des mots (Bergson) Date d'inscription : 22/08/2012 | Marybat / Guère épais Jeu 11 Déc 2014 - 4:10 | |
| - Jasy-Santo a écrit:
idmuse: bien sûr on retiendra toujours les exceptions, la mémoire humaine est ainsi faite. Mais je peux te certifier qu'à part si le stagiaire qui ouvre les manuscrits s ennuit a mort il ouvrira même pas le livre. J'ai été ce stagiaire....
Et si l'auteur ne précise pas que son roman a déjà été proposé en autoédition, le stagiaire il fait quoi ? il ne peut pas le deviner, non ? |
| | Nombre de messages : 3829 Âge : 112 Localisation : Haute-Garonne Pensée du jour : "Toute personne qui aime la musique ne sera jamais vraiment malheureuse"- F. Schubert Date d'inscription : 29/08/2011 | Molly / Sang-Chaud Panza Jeu 11 Déc 2014 - 4:55 | |
| - Marybat a écrit:
- Et si l'auteur ne précise pas que son roman a déjà été proposé en autoédition, le stagiaire il fait quoi ? il ne peut pas le deviner, non ?
Mieux vaut changer le titre et le nom d'auteur quand même, certains éditeurs font des recherches pour vérifier que le texte n'a pas été déjà publié... (cela m'est arrivé). Sinon, à propos de livres auto-édités qui sont ensuite repris par un éditeur, il y a le "fameux" roman d'Agnès Martin-Lugand, Les gens heureux lisent et boivent du café, réédité par Michel Lafon. Et je connais au moins un autre cas. Donc... |
| | Nombre de messages : 307 Âge : 38 Localisation : Londres ou Avignon Pensée du jour : "Vox Clamabat in Deserto" V.H Date d'inscription : 16/10/2014 | Jasy-Santo / Tapage au bout de la nuit Jeu 11 Déc 2014 - 4:59 | |
| - Marybat a écrit:
- Et si l'auteur ne précise pas que son roman a déjà été proposé en autoédition, le stagiaire il fait quoi ? il ne peut pas le deviner, non ?
Ben le stagiaire ne peut pas le deviner, donc il fera comme pour tous les autres: lira quelques bouts puis rejettera si c'est médiocre, lira un peu plus si c'est moyen, lira en entier avec fiche de lecture si c'est bon. Il le fera passer au stade au-dessus, qui fera pareil. (bon tout ça bien sûr en regardant si ça rentre ou pas dans la ligne, ça va sans dire). Disons que le truc est génial et que ça passe au stade contrat. L'auteur signe. Mais là, ça coince, en faisant une recherche sur google, quelqu'un découvre que le roman n'est pas inédit. Le contrat est annulé et ça peut aller plus loin. Je rappelle que l'auteur s'engage en signant à livrer une oeuvre originale -non plagiée - et inédite (jamais publiée). A moins qu'on soit franc au moment de signer, et de signaler que le roman n'est pas inédit, ce qui pourra faire réfléchir l'éditeur - chose à éviter le plus possible, le temps qu'il réfléchisse, il aura trouver quelqu'un d'autre à publier, ou la lubie sera passée... - Molly a écrit:
- Sinon, à propos de livres auto-édités qui sont ensuite repris par un éditeur, il y a le "fameux" roman d'Agnès Martin-Lugand, Les gens heureux lisent et boivent du café, réédité par Michel Lafon. Et je connais au moins un autre cas. Donc...
Comme je l'ai déjà dit, on retient plus facilement les exceptions. Mais combien de romans auto-édités directement jetés à la poubelle pour quelques rares cas? Ceux là on en parle pas puisqu'ils ne sont jamais exposés. C'est comme les histoires d'insécurité. ça fait 30 ans qu'elle baisse partout, mais on ne retient que le dernier truc qui passe à la télé, parce que l'exception est toujours plus sensationnelle que la réalité ennuyeuse. En plus dans le cas de l'édition, ça fait rêver des rêveurs professionnels qui n'ont pas besoin d'excuses pour fantasmer. Je rappelle que le but c'est quand même de mettre toutes les chances possibles de son côté non? 99.9999999% des premiers romans publiés sont des romans inédits, jamais auto-édités, envoyés en manuscrit dactylographié en police times new roman, taille douze, reliés et envoyés par la poste (oui on peut me sortir le cas du manuscrit écrit à la main qui fait légende - d'ailleurs est-ce vraiment une histoire vraie ou plutôt une légende urbaine?). Je préfère pour ma part essayer faire partie de ces 99.99999999% de ces premiers romans que tenter le cas-où! L'éditeur aime la régularité. Il n'aime pas qu'on sorte des normes. Il fait avec ce qu'il a l'habitude de faire. N'essayez pas de faire original et de sortir du lot (sinon avec votre écriture, quoi que, ce qu'il recherche c'est un truc qui ressemble à X mélangé à Y, pas un truc qui n'a jamais été publié pour la simple raison que si ça n'a jamais été fait c'est parce que ça ne vend pas - faut comprendre la logique du mec qui essaie de finir ses fins de mois). Faites avec les instructions qu'on vous donne sur les sites éditeurs, et sur les forums. Car 99.9999999% des premiers romans édités n'ont pas cherché à faire dans l'original ou n'ont pas été auto-édités. Edit: j'ai un autre exemple de mémoire sélective qui fera moins polémique. Est-ce que vous vous souvenez de toutes les fois où vous avez pris un train qui était à l'heure? Non, je ne pensais pas. Mais vous vous souvenez de la majorité des fois où votre train a été horriblement en retard, où vous avez dû dormir dans le wagon, et il neigeait, et le wagon n'était même pas chauffé? Pourtant, qui peut me regarder dans le blanc des yeux et me dire que tous les trains, tout le temps, partout, la majorité des fois, sont toujours en retard? |
| | Nombre de messages : 226 Âge : 39 Localisation : Lourdes Date d'inscription : 09/12/2014 | Chris Red / Autostoppeur galactique Jeu 11 Déc 2014 - 6:46 | |
| En gros Jasy-Santo, tu cautionnes la cupidité des éditeurs et tu penses qu'il faut baisser son pantalon et répondre à leurs exigences et critères même si on n'est pas d'accord avec eux ? Mon but dans la vie a toujours été d'accord avec moi-même. La politique du monde d'édition, sachant que ce ne sont pas non plus pour les grosses maisons des gens qui ont du mal à finir leurs fins de mois, ne m'enthousiasme pas vraiment, ils pensent à eux et à leurs intérêts et non aux auteurs et aux romans en premier lieu qui sont pour eux un produit et un moyen de réaliser des bénéfices. Si tu agis comme tu le fais, alors c'est normal que les maisons d'édition font ce qu'ils font. J'aurais été stagiaire comme toi, ça aurait chauffé sévère entre eux et moi je pense. Ils profitent du fait qu'ils ont une offre de romans conséquente pour l'utiliser à leur avantage et au détriment de ceux qui proposent, sans se soucier d'eux. Enfin, c'est comme ça que je perçois et ressens la chose. Après, je peux me tromper. |
| | Nombre de messages : 3794 Âge : 48 Localisation : Suisse Date d'inscription : 19/10/2014 | Florence_C / Sang-Chaud Panza Jeu 11 Déc 2014 - 6:49 | |
| Pour ma part, j'ai besoin de savoir que le texte a été sélectionné (dans un AT, par un éditeur) pour accepter de le voir publier.
Les avis de mes proches ne me suffisent pas pour me dire que ma production est publiable.
Si je passais par l'autoédition, j'aurais l'impression d'être un imposteur.
Peut-être bête, mais on ne se refait pas... |
| | Nombre de messages : 14921 Âge : 49 Localisation : Côte d'Or & d'Opale Pensée du jour : Confiance et longueur de Temps... Date d'inscription : 12/01/2013 | Séléné.C / La femme qui tomba amoureuse de la lune Jeu 11 Déc 2014 - 6:58 | |
| - Florence_C a écrit:
- Pour ma part, j'ai besoin de savoir que le texte a été sélectionné (dans un AT, par un éditeur) pour accepter de le voir publier.
Les avis de mes proches ne me suffisent pas pour me dire que ma production est publiable.
Si je passais par l'autoédition, j'aurais l'impression d'être un imposteur.
Peut-être bête, mais on ne se refait pas... Je comprends... Suis pas loin de penser pareil. Ou de ressentir pareil, plutôt, car pour les éditeurs, ça dépend de la qualité du produit et du marché qu'ils voient pour ce produit. Deux choses très différentes. Mais il y a un effet psychologique qui joue, ça on ne pourra pas l'ôter. Passer par une maison d'édition, ça rassure l'auteur et en même temps ça lui ôte des raisons de stress et de fatigue. |
| | Nombre de messages : 307 Âge : 38 Localisation : Londres ou Avignon Pensée du jour : "Vox Clamabat in Deserto" V.H Date d'inscription : 16/10/2014 | Jasy-Santo / Tapage au bout de la nuit Jeu 11 Déc 2014 - 7:15 | |
| - Chris Red a écrit:
- tu cautionnes la cupidité des éditeurs et tu penses qu'il faut baisser son pantalon et répondre à leurs exigences et critères même si on n'est pas d'accord avec eux
La question n'est pas là. Je n'ai pas dit que j'étais ou non d'accord avec eux. C'est juste qu'à un moment ou l'autre il faut ouvrir les yeux et agir en accord avec ce qu'on veut. Si on veut être édité (je parle à mon sens et dans mon état d'esprit, donc n'y voyez pas de jugement qui ne s'y trouve pas), la question ne se situe pas dans le fait de baisser ou pas son pantalon. On se plie au système qui marche. Si le système fonctionne d'une certaine façon, alors vaut mieux rentrer dans le rang des exigences professionnelles des professionnels. De plus, s'auto-éditer n'est vraiment pas la même démarche qu'être publier par une ME. Les entreprises d'auto-édition sont encore plus cupides que les ME. Elles ont au moins compris que le désir plus ou moins narcissique d'un écrivain voulant à tout prix être publié pouvait rapporter plus gros que de lancer sur un marché déjà saturé un livre qui ne marchera sûrement/peut-être pas. Ces entreprises vous soutire de l'argent pour que vous ayez la joie de mettre dans votre bibliothèque votre oeuvre en forme de livre. Et que vous le vendiez à vos proches. ça c'est aussi un système qui marche et qui se justifie. Je comprends qu'on puisse se plier à ça. Soumettre un manuscrit dans le but d'être retenu et publié par une ME est une autre démarche: d'abord on se soumet au jugement d'un professionnel qui devra croire en vous, commercialement, mais aussi littérairement. La ligne éditoriale de toute ME est avant tout une qualité (littéraire ou commerciale j'entends). Donc pour moi, ce serait déjà une satisfaction énorme d'être choisi par quelqu'un qui connait non seulement son métier mais aussi ses lecteurs - puisqu'au fond c'est de ça qu'il s'agit et que là réside toute la différence entre ME et auto-édition: l'une est pour le lecteur, l'autre pour l'auteur. D'où aussi la grande différence de traitement. Chez les ME vous êtes un fournisseur (pour parler en termes d'entreprise), chez les auto-éditeurs vous êtes le client. Les ME pensent en premier lieu à leurs bénéfices, comme tu dis. Mais ça comme toutes les entreprises, y compris les auto-éditeurs. Mais les ME sont surtout un gage de qualité de présentation (couverture, correction, mise en page etc) et de marketing (choisir le bon ouvrage pour son public). Littérairement, un lecteur sait qu'il trouvera tel type de livre chez telle ME. Et la ME se doit de garantir cette continuité. Pour ce qui est de mes actes et de mes paroles, je veux seulement faire comprendre aux rêveurs (dont je fais partie) que, oui, on peut ruiné ses chances à être publié en s'auto-éditant. c'est la réalité de la vie. De plus je n'arrive pas à comprendre pourquoi passer par l'auto-édition si au final on veut être publié (par une ME)? Je veux dire, si vous vouliez être publié à tout prix, vous l'avez déjà obtenu, non? Si vous vouliez seulement votre oeuvre en forme de livre, alors c'est ce que vous avez eu en étant auto-édité? Pourquoi chercher alors à être édité chez une ME? je ne comprends pas du tout la démarche (ah moins que vous ayez compris que ce n'est pas du tout pareil, et là pourquoi être passé par l'auto-édition en premier lieu alors?) - Citation :
- J'aurais été stagiaire comme toi, ça aurait chauffé sévère entre eux et moi je pense.
Tu as une vision du monde du travail qui m'étonne. Mais bref, passons. La triste vérité, c'est que quand tu arrives, avec tes illusions et tes envies d'imposer tes goûts etc, tu es vite découragé: d'une part par le fait que soutenir des projets qui au final ne seront pas retenu peut être fatigant, mais en plus, au bout d'un moment tu en viens à comprendre pourquoi les choses sont faites ainsi: quand tu as lu une centaine de merde par jour, tu apprends à vite faire un tri implaccable. C'est essentiel parce que derrière il y en a une centaine d'autres qui t'attendent avant la fin de la journée. tu te concentres avant tout sur la qualité et sur ce qui peut être retenu. Pourquoi perdre son temps à essayer de décripter des textes clafis de fautes (et parfois sur des histoires sans intérêt) alors que tu pourrais utiliser ce temps pour défendre les quelques perles que tu reçois? Tu perdrais ton énergie et tu n'aurais jamais assez de temps pour faire les deux. C'est soit l'un soit l'autre. On a qu'une seule vie et que 24h dans une journée.Donc le fait qu'une ME ne réponde pas à tout le monde dans les détails n'est pas un problème en soi, ça veut simplement dire qu'ils accordent du temps là où il y a qualité littéraire, potentiel, talent; ça fait partie des vérités qui ne plaisent pas, mais c'est avant tout une vérité. En plus, quand tu es stagiaire dans le monde de l'édition, c'est que tu crois au monde de l'édition. Tu crois à son intérêt culturel, à sa valeur en tant que métier (presque artisanat j'ai envie de dire). Donc quand tu reçois un livre auto-édité qui te dit avec sa superbe couverture limite ClipArt, que cet auteur ne croit pas en l'utilité du métier que tu es en train d'apprendre, il n'a pas besoin de toi, qu' il croit que choisir un texte pour un lectorat, corriger, mettre en page, passer des heures à discuter de la meilleure façon de vendre un livre, tout cela est à la portée de n'importe quel cancre qui a assez d'argent pour imprimer un livre. C'est ça le message au fond. Mais les ME croient qu'à chacun son métier. Certains ont le talent d'écrire, d'autres ont le talent pour éditer. ça n'arrive pas souvent que les deux se retrouvent chez la même personne. Du coup, tu prends le livre à la super couverture. Tu mets à la poubelle, et tu recherches dans ta pile quelqu'un qui a l'humilité de se soumettre au jugement des professionnels avec son petit manuscrit en police Times taille 12. - Séléné a écrit:
Florence_C a écrit:Pour ma part, j'ai besoin de savoir que le texte a été sélectionné (dans un AT, par un éditeur) pour accepter de le voir publier.
Les avis de mes proches ne me suffisent pas pour me dire que ma production est publiable.
Si je passais par l'autoédition, j'aurais l'impression d'être un imposteur.
Peut-être bête, mais on ne se refait pas...Je comprends... Suis pas loin de penser pareil. Ou de ressentir pareil, plutôt, car pour les éditeurs, ça dépend de la qualité du produit et du marché qu'ils voient pour ce produit. Deux choses très différentes. Mais il y a un effet psychologique qui joue, ça on ne pourra pas l'ôter. Passer par une maison d'édition, ça rassure l'auteur et en même temps ça lui ôte des raisons de stress et de fatigue. Tout pareil que vous |
| | Nombre de messages : 331 Âge : 43 Date d'inscription : 19/05/2014 | paty / Tapage au bout de la nuit Jeu 11 Déc 2014 - 8:20 | |
| - Jasy a écrit:
- Si un livre a déja été imprimé en auto-édition, il ne sera jamais édité par une ME. C'est clair net et précis.
Attention je viens pour le débat collègue ! MDR ! Et bien moi je connais une personne qui a soumis son manuscrit auto-édité dans une ME qui accepte les Auto-édités (indiqué sur leur site) et qui a vu son manuscrit publié par cette ME ce mois-ci et dont les premiers retours sont trèèèès positifs ! Comme quoi ! Quels sont les avantages ? - Etoffer son lectorat pour l'auteur et sa visibilité, se faire connaitre bien plus ! - Faire découvrir grâce à la ME qui l'a choisie un manuscrit passé à la trappe par d'autres ME et ne pas se montrer si catégorique sur les auto-édités. Etre auto-édité ne veut pas dire avoir une dent contre les ME. Il y en a qui s'auto-éditent tout simplement car ils se sous-estiment et préfèrent se faire publier pour soi, par soi-même, jusqu'à ce qu'ils réalisent par les retours de lecteurs que leur roman vaut plus et mérite donc plus. D'où une tentative de soumission en ME ensuite. |
| | Nombre de messages : 307 Âge : 38 Localisation : Londres ou Avignon Pensée du jour : "Vox Clamabat in Deserto" V.H Date d'inscription : 16/10/2014 | Jasy-Santo / Tapage au bout de la nuit Jeu 11 Déc 2014 - 8:25 | |
| - Paty a écrit:
- Attention je viens pour le débat collègue ! MDR !
Ca fait toujours plaisir de pouvoir débattre avec toi J'ignorais l'existence de ME qui acceptent ce genre de soumission de manuscrit (comme quoi on en apprend vraiment tous les jours dans l'édition). D'ailleurs tu pourrais nous donner leur nom, au passage, pour les gens qui voudraient soumettre leur projet? - Citation :
Etre auto-édité ne veut pas dire avoir une dent contre les ME. Attention, je ne voulais pas forcément dire que c'était l'intention. C'est juste la façon dont c'est vécu de l'autre côté du miroir par les ME (ou la plupart en tout cas) |
| | Nombre de messages : 728 Âge : 49 Localisation : Montréal Date d'inscription : 13/06/2012 | idmuse / Blanchisseur de campagnes Jeu 11 Déc 2014 - 8:35 | |
| Bon, je vais aussi mettre mon grain de sel, mais... toutes les ME sérieuses prennent de l'auto-édité si c'est bon et si les droits n'ont pas été cédés à un tiers.
Harlequin / HQN l'indique sur leur site (et une copine y est avec des textes qui étaient en ligne) Gallimard a pris La faux-soyeuse, d'Éric Maravélias, roman auto-édité chez Atramenta (et si Gallimard le fait, ma foi...) Bref...
Un bon texte est un bon texte, point. Il roulera sa bosse d'un côté comme de l'autre. Les deux ont des avantages et des désavantages. |
| | Nombre de messages : 307 Âge : 38 Localisation : Londres ou Avignon Pensée du jour : "Vox Clamabat in Deserto" V.H Date d'inscription : 16/10/2014 | Jasy-Santo / Tapage au bout de la nuit Jeu 11 Déc 2014 - 8:40 | |
| Comme je disais, on trouvera toujours l'exception magique.
Mais je faisais état de mon expérience dans le monde de l'édition, et d'un état de fait général. Bien sûr qu'il y a des exceptions. |
| | Nombre de messages : 728 Âge : 49 Localisation : Montréal Date d'inscription : 13/06/2012 | idmuse / Blanchisseur de campagnes Jeu 11 Déc 2014 - 8:46 | |
| Pour ma part, je ne parle pas juste d'une exception, mais j'ai la flemme de te sortir une liste. Y'a pas d'exception magique, y'a seulement des parcours différents les uns des autres, mais chacun est libre de penser ce qu'il veut J'ai juste un peu de mal avec les grandes vérités qu'on vient nous enseigner sur ce site, parfois |
| | Nombre de messages : 307 Âge : 38 Localisation : Londres ou Avignon Pensée du jour : "Vox Clamabat in Deserto" V.H Date d'inscription : 16/10/2014 | Jasy-Santo / Tapage au bout de la nuit Jeu 11 Déc 2014 - 8:51 | |
| Bien sûr mon but n'était pas d'apporter une grande vérité (je caricature pour faire passer mon message), mais plutôt "d'aider" les gens à mettre toutes les chances de leurs côtés, c'est tout. |
| | Nombre de messages : 684 Âge : 48 Localisation : Il est vilaine... Date d'inscription : 29/06/2012 | Kylie Ravera / Hé ! Makarénine Jeu 11 Déc 2014 - 8:52 | |
| On a tous des attentes différentes concernant le Monde de l'Edition (et il peut arriver que l'éditeur, en tant qu'entité individuelle, en soit absent. Sans qu'on soit forcément un cancre plein aux as, nondidiou!). Je crois que j'ai assez clamé sur ce forum ma joie d'être autoéditée , tout comme le fait que, j'en suis persuadée, ce point seul ne suffit pas à me fermer les portes de l'édition classique - aussi vais-je plutôt laisser la parole à l'Express.fr sur le sujet: http://www.lexpress.fr/culture/livre/salon-du-livre-5-bonnes-raisons-de-s-auto-editer_1499918.html (Mais encore une fois, à chacun de trouver le mode de publication et de diffusion qui lui convient.) |
| | Nombre de messages : 331 Âge : 43 Date d'inscription : 19/05/2014 | paty / Tapage au bout de la nuit Jeu 11 Déc 2014 - 9:07 | |
| - Jasy a écrit:
- Paty a écrit:
Attention je viens pour le débat collègue ! MDR !
Ça fait toujours plaisir de pouvoir débattre avec toi Smile
J'ignorais l'existence de ME qui acceptent ce genre de soumission de manuscrit (comme quoi on en apprend vraiment tous les jours dans l'édition). D'ailleurs tu pourrais nous donner leur nom, au passage, pour les gens qui voudraient soumettre leur projet? Contente de te retrouver aussi lol Je crois que Idmuse a répondu. Il y a aussi la mienne. Bref, l'inédit c'est pas obligatoire partout ! Je pense que le dialogue est la meilleure façon de se vendre. Tu préviens, tu informes la raison de l'auto-édition, les raisons de ta soumission, ce que tu espères et après tu vois avec l'éditeur en question. |
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