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 [Avis ME] Mon expérience avec les Editions Belcastel

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Kylie Ravera
   
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Kylie Ravera  /  Hé ! Makarénine


Disons qu'un a-valoir me paraît être un signal comme quoi l'éditeur a envie de bien faire son boulot (soit toute les parties à gauche des /). Mais peut-être que tu as raison, et que ça n'a rien à voir...
(Ma réflexion est toute récente, je ne m'étais pas posé la question avant aujourd'hui Very Happy )

En tout cas, 1200€, je n'appelle pas ça un jackpot (oui, mon rêve ultime dans la vie c'est de me payer une retraite dorée aux Seychelles. Et une rivière en chocolat. Faut que je trouve un moyen de gagner plus que ça... Very Happy).

Un autre point tout de même: en signant avec un éditeur, on s'engage de façon exclusive avec lui. Ca revient un peu à lui remettre un blanc-seing. On a le droit de se sentir frustré s'il n'y a pas d'effort derrière pour valoriser notre travail, alors qu'il aurait été mieux servi par un autre. Cette confiance que l'on accorde mérite peut-être une compensation.
http://www.kylieravera.fr
 
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Invité  /  Invité


Jackpot : 500 euros ? mdr
Sois sérieuse. Le montant du rsa, à peine... Rolling Eyes
et même 1000 euros, à peine le smic ?
Et puis,a ttends quand tu bosses en boite, t'attend spas que le patron ait vendu se spommes, ses chaussures, ou ses voitures pour être payé, tu sais Wink
Quant à faire ses preuves ? Ca veut dire quoi pour un auteur ? Son premier roman peut très biens e vendre et le second pas du tout. Soit l'éditeur y croit, soit il n'y croit pas. C'est lui le patron,c 'est lui qui prend le risque ( et pour ça il prélève sa part sur le prix de chaque bouquin). C'est son boulot de choisir et de penser que tel truc va se vendre ou pas
et puis merde, c'est pas un pot de vin ou un truc qui se refile sous la table !!! C'est dans la loi ! c'est légal ! c'est prévu pour !
Alors déjà que le statut des auteurs est franchement pas rigolo ( va t'amuser voir à quoi ressemble les droits sociaux pour cette frange de la population, tu vas t'amuser !) et que 95 % ne peuvent pas vivre de leur plume, mais si en plus y'en a qui trouvent normal de rabioter sur leurs maigres droits... tant que tu y es pourquoi les payer, hein ? Après tout, ils sont pas productifs pour la société ! Ce devrait etre juste du loisir. Et pis tiens, on pourrait les faire payer pour ! oh, mais on y a déjà penser : compte d'auteur !

Et puis tu parles de contrat ? Et le contrat d'édition c'est quoi alors ? Un chiffon pour se torcher avec ?
Tu confonds tout...
Déjà, une chose. Le commercial dans l'histoire, c'est pas l'auteur. C'est l'employé du diffuseur. Tu sais, celui qui se balade avec ses cartons chez les libraires et leur fait l'article pour qu'il lui en prenne 50 et pas que 2 exemplaires... pour que le bouquin soit sur la table et pas dans l'étagère en dessous.
Celui qui fera les ventes de ton bouquin, c'est ce gus là, c'est pas tes risettes au salon de Petaouchnock... Les ventes, celles qui alimentent la caisse de l'éditeur, elles se font en librairie, pas ailleurs...
Parce qu'au salon de Petaouchnock, si t'es doué, as de la chance ( barre la mention inutile) tu vendras quoi ? Allez quelques dizaines de bouquins ! et je suis gentille, je pense...
Sachant que la durée de vie d'un livre n'excède pas quelques mois ( ben oui, faut faire de la place aux nouveaux, 800 à chaque rentrée et à peine moins tout au long de l'année) tu vas faire quoi ? Trois quatre gros salons... si t'as le temps et le fric ( parce que là encore les éditeurs ils tirent la tronche pour te défrayer)
Allez, si t'es douée, tu atteindras les 150-200 ventes. Grand grand maximum... à vu de nez.
ben dis donc, un commercial qui fait que 10 % de vente ( en prenant un tirage de 2000 ex qui est pas du tout un objectif inatteignable pour un premier roman) moi je le vire !

sinon, la preuve que l'auteur sert à rien ou si peu dans la vente réelle : le cas des pseudonymes... Tu connais, je pense ? J'irai cracher sur vos tombes ? ça te parle ? Tu sais comment ça a marché ? Et même, si je prends un exemple plus récent, Stephen King a inventé Richard Bachman pour écrire certains de ses romans (il l'a même tué ). Tu crois qu'ils se déplaçaient pour vendre leur bouquin sous leur pseudo d'emprunt ? Wink Preuve que l'auteur, son boulot, c'est d'écrire point barre. Et que ça peut très bien marcher sans son aide !

M'enfin bon, là je parle de véritable édition, hein ? pas de micro édition avec des premiers tirages ridicules parce que bon zéro diffuseur, donc peanuts niveau vente à attendre...

Le seul point où je peux être d'accord avec toi, c'est le cas de romans très régionaux où la proximité de l'auteur avec son public peut jouer, ok... et dans ce cas, au vu de ce que j'ai pu observer, l'auteur a intérêt d'etre physiquement présent et d'activer son réseau local ( et pour ça vaut mieux etre le bibliothécaire de la ville ou occuper un poste du genre pour etre efficace...) ok...
Et encore quand je compare les cas que je connais personnellement, c'est celui qui a choisi l'auto-édition ( je dis bien choisi, il avait la possibilité d'être édité par une petite structure mais dont les conditions ne lui convenaient pas) qui s'en tire le mieux... et aligne des chiffres de vente qui peuvent faire rougir de jalousie ceux qui sont passés par des éditeurs reconnus en passant.
D'ailleurs, c'est sur la base de ce que j'ai pu observer que j'en viens à la conclusion que l'auto-édition n'est pas forcément une mauvaise solution et qu'il veut mieux p'tre en passer par là dans certains cas...
Si on a le réseau pour, les compétences (ou les gens qui ont cette compétence), vaut 100 fois mieux en passer par là que de filer son travail gratos ou presque à un à un tiers... pour à peu près le même résultat ( voir meilleur si on se débrouille bien...)

Enfin bon...
 
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PoissonRougeMan  /  Petit chose


J'ai envie d'inverser les rôles... Tu me dis que l'éditeur prend un risque, qu'il ne connait pas les futures ventes... Mais qu'en est-il de l'auteur?
L'auteur, du moins dans mon cas, il a passé des centaines d'heures sur son roman. Oui oui, des centaines d'heures. Entre le premier jet, les relectures, les corrections, les nouvelles relectures après les corrections, les nouvelles corrections après les nouvelles relectures... Tout ça, c'est un travail. Ca demande du temps et de l'énergie, ça demande d'être complètement focalisé sur l'histoire, de se couper du reste. Personnellement, je n'ai pas toujours bossé sur mon roman quand j'en avais envie, mais je me suis imposé des règles pour bosser dessus même quand je n'en avais pas envie, parce que j'avais envie de voir mon projet se concrétiser. C'est bien davantage qu'un loisir.
Dans cette vision là, qui prend un risque, réellement? L'éditeur qui imprime quasiment à la demande (oui, pour moi 300/500 exemplaires, c'est presque de l'édition à la demande) et qui écoule ses petits bouquins tranquillement, ou moi qui lui confie GRATUITEMENT (s'il n'y a aucun à valoir) le fruit de mon travail sans savoir ce qu'il en fera, s'il tentera vraiment de le promouvoir au maximum... C'est un énorme risque que l'auteur prend. L'à valoir permet de minimiser ce risque.
Le boulot principal, c'est le bouquin, il ne faut pas l'oublier.
Dans le cas où il n'y a aucun à valoir, et qu'il n'y a pas de ventes, l'éditeur peut aller dire à l'auteur "ben il fallait te bouger davantage hein coco ! ", alors que dans le cas où il y en a un, s'il n'y a pas de ventes, c'est l'éditeur qui perd de l'argent. Et ça il n'aime pas, donc il va se bouger pour qu'il y ait au moins assez de ventes pour être rentabilisé.

Je ne nie pas pour autant l'importance de la promo, mais tu es payé, quand tu es auteur, en droits d'auteur sur le livre. Ca veut dire uniquement sur ton livre. Tu ne reçois rien de l'éditeur parce que tu es allée promouvoir ton livre au salon de Paris, si? Pour moi, c'est bien la preuve que le vrai boulot de l'écrivain, c'est d'écrire. Il a beau être noté dans le contrat que l'auteur doit participer à la promo, tu ne reçois aucun salaire pour cette activité de la part de l'éditeur.

Et pour finir... Si, si, et re-si, c'est l'éditeur qui est responsable des ventes. L'éditeur accepte le travail d'un auteur, il pense donc pouvoir en faire quelque chose. Sinon, il ne l'accepte pas, c'est aussi simple que ça. Ce n'est pas changer la merde en or, c'est trouver un filon et le rendre le plus rentable possible. Et ce n'est pas le mettre sur un piédestal que de dire ça, c'est juste son travail, il est payé pour. Sinon l'éditeur est juste un imprimeur, et je ne m'occupe pas de lui laisser une partie de mes droits, ni au diffuseur, et je fais tout ça moi-même.
 
SergentMajor
   
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Il ne faut pas seulement voir le côté fric. La visibilité qu'offrent les grandes maison d'édition vaut bien que l'auteur se bouge un minimum (ce serait un maximum dans mon cas :mrgreen: ).
Quand vous les voyez au JT de 20H, ou en dédicace au Virgin des Champs-Elysée, dîtes-vous bien que même les écrivains célèbres ne sont pas payer pour ça.
Et ceux qui prétendent que ça les emmerde, le font quand même parce qu'ils savent que personne ne fera mieux la pub de leur bouquin qu'eux même.
...Et d'ailleurs, quel auteur n'est pas heureux de parler de son livre?

Qui prétend refuser un contrat chez GalliGraSeuil pour un premier roman (manuscrit envoyé par la poste), parce que l'à-valoir lui semble trop petit?

Les auteurs qui vivent de leur plume en France on les compte sur les doigts (sans les pieds).
Même édité, on a 99% de chances de faire parti de ceux qui devront bosser à côté.Il ne faut pas oublier que c'est avant tout le public qui fait le succés d'un livre.

Alors un éditeur avec une visibilité nationnale, un réseau, un diffuseur, des noms célèbres plein son catalogue et ses livres dans les rayons de la fnac, je regrette, mais on signe tous, même si l'a-valoir est de 500 euros.
Et la promo au salon du livre, on y fonce tous aussi gracieusement. Et ravis d'y être invité en plus!

On négociera l'à-valoir du deuxième roman, mais pour le premier, on fera tous des concessions.



 
Tombe.ch
   
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Tombe.ch  /  Gloire de son pair


Toujours pas de retour de Mnémos ?
Je suis dans le même cas que toi... dur dur de patienter...
 
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PoissonRougeMan  /  Petit chose


Non pas encore, j'avais reçu le mail le 18 octobre, et ils m'avaient prévenu qu'il faut généralement entre 2 et 3 mois pour décider. Donc je rentrerai seulement dans les deux mois dans une semaine...

Tu as reçu une réponse qui te disait que tu avais passé les premières sélections il y a longtemps?
Mais j'approuve... L'attente est rude :p
 
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HEU....
j'avais pas vu que tu avais mis la date...
Ben moi j'ai reçu cet email le 18 Octobre, aussi, la blague !!

Et le 22 octobre, madame Weil a répondu à certaine de mes questions:
1.Est ce que le MS a été lu pour passer la première étape ? Non, seulement le résumé...
2. Quelle est la sélection à la première étape ? selon elle, 90% des MS qu'ils reçoivent ne passe pas ce cap...

C'est quoi le titre de ton roman et ça parle de quoi ?
 
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90% qui ne passent pas la première sélection? Vu le nombre de manuscrits qu'ils reçoivent et le nombre de nouveaux auteurs édités par eux (même si comparativement à d'autres, ils éditent beaucoup de nouveaux), je pense que ça doit être le même ratio pour la seconde sélection...

Cela dit, je pense que c'est normal qu'on ait eu la réponse le même jour ; à mon avis, ils doivent avoir des dates où ils envoient des réponses aux gens, et où ils font que ça de la journée. Quelque chose comme une fois tous les trois mois.

Mon roman, c'est une sorte d'enquête sur fond d'intrigues politiques dans une ville fantasy. Pas de dragons ni de grandes batailles, je me suis concentré sur les personnages, leur caractère, et m'éloigner des clichés du genre. Tout en les reprenant. Pour ce bouquin là, mes inspirations, c'est Hobb, King et Sapkowski.
Et toi, tu leur as envoyé quoi? Smile
 
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Ouais tu as sans doute raison...
Je leur ai envoyé ma dystopie "la dictature aléatoire". C'est évidement inspiré par Orwell, Huxley et Barjavel. Même si plusieurs personnes m'ont dit que ça leur avait fait penser au "Fleau" de King (que je n'ai pas lu... et oui... j'ai honte)
 
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PoissonRougeMan  /  Petit chose


J'vais pas te taper, j'ai pas encore lu le Fléau non plus (et j'ai honte aussi :p )
J'irai jeter un oeil à ta dictature aléatoire ; Orwell, Huxley et Barjavel, j'aime Smile
 
Tombe.ch
   
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cool, ben j'espère que j'aurais l'occasion aussi de découvrir ce que tu écris.
 
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Bé je peux t'envoyer ça en MP si tu veux, j'aime toujours avoir de nouveaux avis Smile
Et réciproquement ; j'ai vu qu'il n'y avait qu'une partie de ton roman , si tu veux me l'envoyer en MP...

Au passage, n'hésite pas à me prévenir quand tu as des nouvelles Smile
 
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Citation :
Dans le cas où il n'y a aucun à valoir, et qu'il n'y a pas de ventes, l'éditeur peut aller dire à l'auteur "ben il fallait te bouger davantage hein coco ! ", alors que dans le cas où il y en a un, s'il n'y a pas de ventes, c'est l'éditeur qui perd de l'argent.

Heu... Shocked si ya pas d'a-valoir de versé et pas de ventes, l'éditeur perd quand même de l'argent ! Ben oui, au départ, il a pas payé l'imprimeur avec ses poux ! Et n'oubliez pas qu'un a-valoir c'est juste une avance sur les droits d'auteur, ce qui veut dire que le jour de la reddition des comptes, l'éditeur déduit l'à-valoir des droits d'auteurs qu'il vous doit (si a-valoir il y a ).
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PoissonRougeMan  /  Petit chose


Oui et non. Dans le cas où l'éditeur commande un stock, effectivement il perdra des sous. Cela à relativiser, parce qu'il ne payera que les coûts d'imprimerie, s'il n'y a pas de ventes. Et il n'y aura pas de ventes si l'éditeur fait mal son boulot. Avoir des critiques positives, c'est l'affaire de l'auteur. Faire des ventes, c'est l'affaire de l'éditeur.
Quant au fait que l'éditeur déduit l'a-valoir dans les comptes... Oui, mais l'a-valoir n'est jamais remboursable.
 
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Que l'a-valoir n'est pas remboursable, je le sais. Mais je précise que c'est juste une avance car il y a des auteurs qui ne le savent pas.

Un auteur qui demande un a-valoir parce que ce n'est pas remboursable, je lui demanderai : "tu ne crois donc pas en ton livre ?".

S'il n'y a pas de ventes un éditeur ne perd "que" les coûts d'imprimerie. Oui, mais vu qu'on en imprime une certaine quantité, ce "que" peut être assez imposant. Et un éditeur (qui propose un contrat d'éditeur hein) commandera forcément un stock pour tenter de minimiser un peu ces coûts parce que, à l'unité, c'est la ruine assurée.

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