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 La sexualite dans votre roman, absente, presente ?

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Dans votre roman, la sexualite est presente:
Tout au long du roman, avec des descriptions graphiques
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Tout au long du roman, avec des descriptions non graphiques; ou sous entendue
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Dans quelques scenes eparpillees
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Tres rarement
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Elle est abscente
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Sam
   
    Masculin
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Sam  /  la Langue


"Sa bouche rencontra la mienne. Elle dénoua sa ceinture et sa robe s'ouvrit. J'enlevai mes vêtements mouillés et sentis contre moi la peau dont j'avais eu une telle nostalgie. Nos corps se pressèrent l'un contre l'autre avec la fougue et la folie de la jeunesse."

Point.
Moi, je trouve cela parfait. Tout le reste serait superflu et horriblement mal placé dans le contexte.
 
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Invité  /  Invité


(En attendant, Clara Morganne, elle s'est reconvertie facilement...)

Les scènes de cul ne doivent pas durer plus d'un chapitre, quoi. Se taper 50 pages de descriptions pour savoir que X va se faire Y...
 
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Invité  /  Invité


Concernant l'extrait posté par Sam, je suis entièrement d'accord avec lui, il est parfait.

Du sexe, si cela aide l'histoire, je dis OUI. Dans le cas contraire, je le vois comme du voyeurisme et cela me gène.
Attention à ne pas dévier dans le porno.

Ne soyons cependant pas prudes. Une passion dévorante et charnelle de quelques lignes sur 350pages, ça ne peut pas faire de mal si c'est bien écrit.
 
Hiver
   
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Hiver  /  La Papesse


Je n'ai pas spécialement eu l'idée de l'intégrer à mes écrits pour l'instant puisque ca ne tourne pas spécialement autour de ça et qu'en général ils sont assez courts. Et de toute manière je n'ai pas de roman en cours.
En revanche, ce sujet m'a interpellée car je suis actuellement en train de lire Choke de Palahniuk, et du sexe, oui, il y'en a puisque le narrateur est un sexolique en sevrage. C'est interessant d'avoir le point de vue de ce type de personne, sur lesquels on ne s'attarde peut-etre pas suffisament, donc en un sens c'est pas "gratuit". Mais comme je n'ai pas énormément progressé dans le bouquin, je ne m'avance pas trop trop non plus!
 
QuillQueen
   
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   Pensée du jour  :  La "recherche d'équilibre" sur JE est interrompue, ça manque de mécènes en temps de crise.
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QuillQueen  /  Wallonne OUvreuse de LIttérateurs POstiches


Moi c'est ainsi que je procède, claude. Le sexe, dans mes romans, ne fera que quelques lignes s'il n'a pas de grande utilité à l'histoire, et s'il n'y a vraiment que deux personnes s'abandonnant dans cet acte avec plaisir et confiance. mais parfois, c'est plus que cela, ça a une symbolique, un impact sur le personnage, parfois c'est le moment où on règle ses comptes, où on avoue tout, où on ne fait ni semblant, ni la langue de bois. Ou au contraire, on séduit et profite d'un coeur trop ému d'une façon cruelle.
La dimension psychologique, et la logique de scénario, m'amène quelque fois à écrire des scènes de cul, qui peuvent durer un chapitre, mais dans lequel il y a des étapes, qui font que le personnage n'est plus le même au début et à la fin de l'acte. C'est alors une scène trop clé pour pouvoir être réduite à un paragraphe.
 
lulli
   
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lulli  /  Effleure du mal


J'écris pas de roman donc pas de scène de cul incorporer dans autre chose qu'elle même, si je puis dire.

Pour avoir lus nombre de roman et pièce de théâtre je tiens à dire que l'on peu avoir une scène de sexe tout à fait pronographique et voyeuriste au centre d'un roman si celui ci si préte.

Par exemple je me souvient d'un personnage attarder mental qui joue avec de trés jeune fille, c'est du porno (en therme descriptif) mais c'est tout à fait justifié par le personnage lui même (qui ne vois pas de mal à ça ni à rien, il se pense amoureux, il le vie différement de ce que la moral pourai en dire)...


La encore, dire : du cours c'est mieux c'est oublié la spécificité de chaque roman, de chaque écrivain.
Et puis le voyeurisme qui vous met mal à l'aise pose des questions sur vous autant que sur le roman... Tout peu se justifié en therme litéraire et heureusement !

Il serrai domage de ce contraindre à faire cours, plume de rêve en écrit des chapitre pour le bien du roman ça me semble interessant. On n'a pas à écrire de longue ou de courte scène, du sensuelle ou du sexuelle, du soft ou du trasch : tout dépend du contexte et de ce qu'on à envie nous d'écrire !
 
Echotoïne.
   
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Echotoïne.  /  Hé ! Makarénine


En général, les scènes de sexe dans les romans, ça m'horripile, alcaline. Parce qu'en général, c'est mal foutu, c'est racoleur, etc.
Mais parfois, c'est très bien écrit, c'est pas gratuit, et du coup, ça passe tout seul. Le sexe chez Vian ( dans les écrits signés sous son nom véritable, parce que les Sullivan, c'est encore autre chose ), par exemple, c'est du bonheur. Les partouzes dans Vercoquin & le plancton sont jubilatoires.

Sinon, dans mon "roman", le sexe est présent parce qu'il est absent. Ouhlala la grande phrase so mystériousse. Non mais il est évoqué, pour l'instant j'ai pas écrit de scène érotique, mais ça viendra sûrement. Seulement je ferai tout pour que ce soit pas racoleur, que ça ne s'apparente pas à de la provoc' à la con, etc.
 
Hiver
   
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Hiver  /  La Papesse


Oh tu fais un roman Echotoine?

Plume de reve ( ou petée de rire, haha.), je comprends, c'est bien ca soit dans ce sens coup il y'a une véritable raison, et ce n'est pas juste, de la branlette inellectuelle, au sens littéral du terme haha.
 
Echotoïne.
   
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Echotoïne.  /  Hé ! Makarénine


Bah si tu cherchais un peu dans la section romans, hein !
:p
 
Elouan
   
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Elouan  /  JE Lambda. (Cuvée 2012.)


Ecrivant sur le rapport entre l'homme et la femme, il m'est difficile de ne pas faire des scènes de sexe.
 
Ekas
   
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Ekas  /  Gloire de son pair


Pas de sexe dans tout ce que j'écris. Mes héros sont pudiques ! Wink
http://ekas-samarlande.jimdo.com/
 
lyly ford
   
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lyly ford  /  Barge de Radetzky


j'ai écris de tout,
viol, love scene, séduction, relation ambigue, ou perso "gay", bref je touche à tout, je me dis quand tu écris tu dois pas te donner de limite si tu sais que ce que tu écris à un sens à ton histoire.
plus jeune à 16ans, j'écrivais dans le détail (je parle de love scene) mais vraiment le detail lol avec les années j'ai su trouver les mots pour décrire le passage à l'acte, sans choquer, sans faire trop cheesy aussi.
Je pense avec les années tu apprends à maitriser le sujet et savoir faire ressentir que la scène est importante mais pas "gratuite".
 
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Invité  /  Invité


Moi je ne la décris pas de manière "directe" (dans mon roman actuel) mais je fait plutôt des allusions car l' acte en lui même as une conséquence directe sur le dénouent de l'intrigue mais les détails en eux-même de l'acte n'ont aucune importance.
 
Faust Federel
   
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   Localisation  :  Roazhon (Rennes)
   Pensée du jour  :  Cthulhu is my best fiend...
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Faust Federel  /  Journal du posteur


De mon coté, je traite l'acte du début jusqu'à la fin mais sans le décrire réellement. Décrire une telle chose n'a aucun intérêt, à moins de faire dans le racoleur mais bon, je ne m'appelle pas Houellebecq Rolling Eyes
Je m'attache à ce qui se passe dans la tête du personnage. Ca, c'est beaucoup plus intéressant, surtout lorsque le fameux personnage est un anti-héros.
 
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Invité  /  Invité


Il m'est arrivé une drôle d'aventure lorsque j'ai été confronté à ce problème. Depuis plusieurs années maintenant, j'essaie d'écrire un grand roman qui traite en fond de la question sentimentale et des relations complexes entre amour et amitié lorsque les sentiments ne sont pas forcément réciproques.

Dans mon imagination, une scène sexuelle entre les héros paraissait un point central de leur relation et un passage nécessaire, en plus d'être un exercice intéressant - je ne l'avait jamais fait auparavant. Au moment où arrive l'instant, je n'ai tout bonnement pas été capable de l'écrire. Je ne trouvais pas les mots appropriés, c'est beaucoup plus difficile qu'on pourrait le penser, et me sentais mal à l'aise. J'avais l'impression de trahir les personnages que j'ai créé et de commettre quelque chose de pas correct. Comme si je leur manquais de respect en écrivant quelque chose de pas normal, qui touchait un point sensible.

Au final, je ne suis pas certain qu'une scène sexuelle soit forcément nécessaire. D'accord si elle accompagne le récit, fait avancer, et a une résonance avec le message et les émotions que l'on essaie de passer. Si c'est écrire du cul pour du cul, comme certains nouveaux romans modernes, il vaut mieux s'abstenir.

JM
 

 La sexualite dans votre roman, absente, presente ?

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