Ai-je douter de votre gentillesse ? Et l'aigreur n'a rien a voir avec la jalousie, je ne vois pas de quoi vous vous défendez ni où vous voulez en venir.
Je répondais à votre dérive prychologisante.
Ensuite, j'adore compter les vers, je le fais aussi religieusement pour ce concours, par jeu, par curiosité.
Je l’ai déjà dit, je ne les compte pas (pas les vers, les syllabes), je les entends.
Cela dit limité la question du rythme du vers français à son nombre de syllabe par vers me semble plutôt étroit, étriquer même, comme façon d'aborder la question, particulièrement au XXIe siècle. Mais puisque qu'il y a un petit début d'analyse, creusons ce qui a été évoqué.
Oui, chef. Creusez ! C’est gentil, le « début d’analyse ». Mais, je vous le dis tout de suite, vous ne creusez guère profond, ou alors… pas au bon endroit ? C’est un peu triste pour vous. Vous savez, comme lorsqu’on annonce une bonne blague. Et que ça fait flop.
Aurais-je, qque part, limité le rythme au nombre de syllabes par vers ? Les accents de groupe comptent, aussi, bcp.
Déjà la césure au première ne me semble pas spécialement exister, on peut effectivement le couper en deux, mais je ne vois pas pourquoi il ne serait pas à prendre d'une traite et, mais pour le coup c'est subjectif, ne pas couper le vers me semble plus pertinent dans le contexte de la strophe, les respirations sont dans les espaces vides devant les vers de trois syllabes.
Pas de césure dans un vers de 8 syllabes. J’évoquais prosaïquement la coupure, un enjambement, le vers s’achevant sur la préposition « à », sans raison valable.
Ensuite, je n'avais pas pensé à en lire le rythme comme une partition, et, étrangement, je trouve que vous avez été super inspiré de l'évoquer. Effectivement, je crois qu'il y a un certain inconfort, si je devais me laisser aller à la qualifié, je dirais une certaine angoisse dans le déséquilibre créer par le fait de passer de vers impairs à des vers pairs sans schéma particulier. Et oui je trouve aussi que par moment ça n'est pas réussi, mais à d'autres moments ça essayé des jeux de questions réponses, ça créer une véritable dissonance qui participe aux sentiments généraux du texte.
Ouaippe… soyez précis. Là, c’est du blabla.
Absence de rythme, j’insiste, et vous ne me prouvez pas le contraire. Tout au plus semblez-vous satisfait que ce soit chaotique pour un sujet chaotique. Oui… Je repense à cette œuvre d’art géniale, appelée « étron » et constituée de la matière éponyme...
Personnellement, la première question formelle que je me suis posé face à ce texte, c'est pas le nombres de syllabes par vers, (j'y suis venu bien après et je n'en avait rien dégagé de pertinent dans mon souvenir) c'est pourquoi certains vers étaient décalés.
Oui. Donc, pour ma part, je lis à voix haute. Là, l’absence de rythme (et les enjambements insignifiants) m’ont sauté à l’oreille et aux yeux.
(...)Bref, le lien formel entre une cacophonie et son sujet vous satisfait. Pour autant, vous admettez implicitement que l’absence de rythme vous convient.
Je réitère, je ne sais pas si c'est du "Grand Art", ça n'est pas le poème qui a eu ma préférence j'y ai trouvé des choses que j'identifie comme des maladresses. Mais un jugement aussi lapidaire n'est pas justifié, le texte se défend dans ce qu'il propose.
Rien de lapidaire. Pas de femme adultère. Un pauvre petit texte en prose, qui feint la poésie par sa seule typographie. De la fausse-monnaie.
Se contenter de citer le textes et de dire c'est comme ça et donc comme c'est comme ça c'est nul, je ne sais pas, il y a peut-être une chance pour que ce soit surtout une question de biais qui provoque cette lecture.
Non.
Vous opposez votre « opinion » et un fait : l’incohérence rythmique du texte.
Interrogez-vous, en matière de biais. Pourquoi défendez-vous (assez mal) ce texte en vous accrochant à un non-sens (ici, le rythme) ?
Oui, ce texte en prose pourrait être défendu, sur le fond, la forme, en aucun cas pour son rythme.