Luc Deborde a écrit:

Comme pour n'importe quelle autre scène, c'est leur qualité qui importera, et ce genre de scène est vraiment difficile à réussir.

Personnellement, c'est sur ça que je mettrais l'accent aussi. Je pense que si ça s'inscrit organiquement dans ton récit etc, il n'y a aucun problème, mais toute la réussite de l'entreprise tient dans le style que tu y déploieras.
En écrire une, c'est cohérent et bienvenu, la réussir sans verser dans quelque chose de trop "prude" ou de pornographique, c'est très délicat.

Mes contes obéissent aux trois "S" de la littérature de gare et ne valent pas plus.
Les trois "S", tels que théorisé par l'éditeur Fleuve Noir (dans les années 60-70), ce sont :
- Du Sang
- Du Sexe
- De la Sueur !
Personnellement, j'ai toujours au moins une scène de cul dans mes récits (quand ce n'est pas une trilogie entière consacrée à cette thématique...) . Donc je n'y vois aucun problème ! J'ai envie de dire que l'écriture est un territoire de liberté, donc foin de pudibonderie ! Faite des scènes érotiques si vous le sentez, ne le faites pas si vous ne le sentez pas. L'important est que votre histoire vous plaise en premier lieu.

Gernier a écrit:

Mes contes obéissent aux trois "S" de la littérature de gare et ne valent pas plus.
(...)
L'important est que votre histoire vous plaise en premier lieu.

Autrement dit : assumer ce qu'on est et ce que l'on fait, et jouer avec. J'approuve absolument