Chaque jour, les fantômes feront un compte-rendu des événements. Si elles n’ont pas tout vu, ou ont mal vu, vous pouvez ajouter ou rectifier des événements - ici - Bien sûr, vous pouvez aussi simplement commenter l'actu.

Ancien combattant de MMA professionnel et facilitateur dans le cartel de la Santa Muerte en France, ce jeune métis se trouve en exil dans Aguacope, ville d'origine de sa mère qui a émigré très tôt en France.

Diaz, car il apprécie peu qu'on l'appelle par son prénom, s'est fait sa place dans son coin, dans un appartement biscornu, peu confortable, mais il se débrouille avec ce qu'il a. Il possède un Glock-17, un karambit, un poing américain, et une cache d'argent en liquide, réserve avec laquelle il a émigré en clandestin ici.

Il passe des nuits peu reposantes, qui l'ont un temps amené à se montrer actif la nuit. En se précipitant pour faire fuir des zonards dans la rue mal famée près de l'immeuble, réveillant le concierge en pleine nuit, avant de se poser dans le patio, incapable de trouver le sommeil, par exemple.

En mal de certitudes, Diaz a rendu visite à doña Auxilio, qui lui a livré une prophétie singulière, cryptique, dont Diaz peine à dégager des informations. Mais il est reconnaissant pour les actes de cette dame d'âge mûr, qui selon Diaz dégageait un fond de présence maternelle.

Diaz a été accusé par Henri de faire de la contrebande de viande... À la qualité discutable. Alpagué par le Concierge, Diaz a tenté de la jouer fine, persuadé de bien mener sa barque, et ensuite de se montrer intimidant face au vieux Henri.

Diaz s'est rendu chez Esperanza Reyes, touché par la situation précaire de la jeune femme. Il s'est montré délicat et attentionné, soutenant la jeune femme pour sa blessure, et ouvrant sa trappe.

La diffusion d'un événement sportif en lien avec son ancienne carrière, l'UFC 294, a réveillé de vieux souvenirs chez lui. Sa carrière prometteuse, grimpant vers les sommets, s'est brisé prématurément après la mort accidentelle de son adversaire suite à un puissant coup de Diaz dans l'octogone. Une ombre qui plane toujours sur lui.

La présence d'Esperanza et de Mahou éveille un fond de vulnérabilité chez Diaz. Seul chez lui, il revit le souvenir du jour où sa mère lui a révélé qu'il était le fruit du viol qu'elle avait subi, 16 ans en arrière. Le lendemain, Diaz a fugué de chez elle, et démarré sa nouvelle vie. Les larmes aux yeux sans la force de pleurer, il pense que rien ne finira bien pour lui dans l'immeuble.

Diaz s'est renseigné et relancé dans les circuits clandestins, où il occupe désormais un emploi grâce à ses compétences. Il a acquis le nécessaire pour des soins pour Esperanza, a offert deux foulards à doña Auxilio, avant d'acquérir davantage de puissance de feu, et diverses réserves.

Diaz continue de s'entraîner et se maintenir en forme depuis son arrivée. Il reste affûté, et conserve tout le potentiel de son talent d'artiste martial, couplé à diverses compétences qui font de lui un homme dangereux et capable face au danger et la violence.

Lors d'un retour chez lui, il est tombé sur le groupe de zonards terrorisant les gens du coin. Il leur a réglé leur compte avec une brutalité contenue, et envoyé un message clair. Le territoire est déjà occupé.

Diaz a entendu la prise de bec entre France Labitte et le Concierge, et a déposé un mot chez elle, pour proposer ses services.

Diaz a installé un bol d'eau et de croquettes sur le pallier pour la pauvre Mahou.

Lors de l'explosion de la tente, Diaz a bondi dehors, armé, prêt à défendre l'immeuble. En voyant le danger écarté, il s'est replié, et a plus tard appris que Miranda était décédée. Il suivait fréquemment les nouvelles et les journaux, et imaginait déjà le pire pour la suite.

Interpelé par le jeune Luz, Diaz s'est lancé au secours de Teofano, blessé dans l'explosion. Il a tenté son possible, avant de demander de l'aide à Esperanza. Cette dernière n'a pas pu le sauver, et s'est sentie terriblement coupable. Diaz s'est rapproché d'elle, offrant une étreinte et une épaule compatissante pour la jeune femme, chose dont il avait envie depuis un moment.

Le concierge a rendu visite à Diaz. Malgré les tensions palpables entre deux hommes que tout séparent, la demande d'assistance a éveillé quelque chose chez Diaz, en lien avec son passé. La rage de Luna fait écho à la sienne, et il voit chez le concierge les regrets d'un parent qui, pour une fois, tente de réparer ses erreurs. Il a accepté la mission périlleuse, à condition que le concierge se montre conciliant et bienveillant avec Esperanza.

Toutes ses préoccupations ont fait ressurgir des souvenirs chez Diaz. La raison de sa fuite ici : dépassé par le chagrin et la colère de sa compagne, une prostituée, qui l'a traité avec ingratitude et mépris en plus de l'avoir violenté, l'a poussé à se venger contre le proxénète du cartel. Diaz l'a battu à mort, et a été contraint de fuir, plutôt que d'affronter le verdict de la Santa Muerte. Seule l'image d'Esperanza lui permet de retrouver le sommeil.

Esperanza a toqué à la porte de Diaz, avec un petit geste de remerciement pour sa présence bienveillante. Travaillé et oppressé sur différents fronts, Diaz a préféré saisir l'instant, et avouer que la jeune femme occupe constamment ses pensées. Une chose en entraînant une autre, ils se sont embrassés à plusieurs reprises, avec tendresse, mais retenue. Ils se sont laissés avec la promesse de Diaz qu'il reviendrait de sa mission périlleuse, pour reprendre avec la jeune femme.