Code:

Ouais... pour la fiabilité, on repassera.

Pour "le train de vie" aussi... C'est sûr que si on entend par "vivre de son écriture" = "se mettre dans la poche un "à-valoir" du genre de celui de BHL qui doit avoir un train de vie assez dingue, inutile de comparer.

Holà ! Za vé pas vu. "PLUMEROSE" Tu remets en cause la véracité de deux canards que sont Rue 89 et Le nouvel Obs. Moi je l'ai crois pourquoi mentiraient-ils ?

flag a écrit:

Code:

Tout ça n'est pas le sujet.

Quand on cède ses droits à vie sur son oeuvre en échange de presque rien au profit d'un éditeur, c'est à l'éditeur de mettre les moyens pour vendre.

Sinon, ça veut dire qu'on paie pour travailler et enrichir un éditeur. Autant s'autoéditer !

Je ne pense pas. Au regard de la loi c'est toujours l'auteur qui a la propriété, donc les droits. C'est avant tout une protection afin d'éviter le plagiat. L'éditeur son job s'est de publier et de distribuer, c'est juste un bourrin qui vend au public et qui n'a qu'un objectif faire du chiffre et rafler un maximum de prix littéraire.  

Je pense que tu manques encore un peu de connaissances sur la dimension législative et administrative de la vie d'un auteur

Lors d'un contrat d'édition, tu cèdes tes droits pour une durée aberrante par défaut, mais que tu peux négocier pour exiger un renouvellement de contrat si le livre marche et que l'éditeur souhaite toujours l'exploiter à l'issue de cette durée.

Il est vrai que je connais pas trop le droit de l'écrivain. J'ai une expérience que dans le monde de la musique et de la chanson.

Ne vas pas faire n'importe quoi avec ton argent auprès d'éditeurs vereux, tu vas te faire arnaquer...

Et donc oui, s'il est normal que l'auteur mettre de la bonne volonté pour faire connaitre son livre (en parler sur les réseaux, etc), non ce n'est pas à lui de dépenser de l'argent alors qu'il a cédé ses droits à une maison d'édition qui en possède désormais l'exploitation. C'est à l'éditeur de faire des frais pour les campagnes de pub.

Sinon, encore une fois, autant s'éditer (et garder ses droits !)

flag a écrit:

Code:

Ouais... pour la fiabilité, on repassera.

Pour "le train de vie" aussi... C'est sûr que si on entend par "vivre de son écriture" = "se mettre dans la poche un "à-valoir" du genre de celui de BHL qui doit avoir un train de vie assez dingue, inutile de comparer.

Holà ! Za vé pas vu. "PLUMEROSE"    Tu remets en cause la véracité de deux canards que sont Rue 89 et Le nouvel Obs. Moi je l'ai crois pourquoi mentiraient-ils ?  

Je ne parle pas de "MENTIR", je crois que j'ai assez détaillé dans mon post.

Après, sans méchanceté, mais il faut apprendre à LIRE aussi, avant de balancer une petite phrase qui interprète des lignes et des lignes.

Bon, je m'arrête là, je vois que je risque de perdre mon temps. J'ai à peu près tout dit dans mon post.

Spoiler:

flag a écrit:

Code:

Tout ça n'est pas le sujet.

Quand on cède ses droits à vie sur son oeuvre en échange de presque rien au profit d'un éditeur, c'est à l'éditeur de mettre les moyens pour vendre.

Sinon, ça veut dire qu'on paie pour travailler et enrichir un éditeur. Autant s'autoéditer !

Je ne pense pas. Au regard de la loi c'est toujours l'auteur qui a la propriété, donc les droits. C'est avant tout une protection afin d'éviter le plagiat. L'éditeur son job s'est de publier et de distribuer, c'est juste un bourrin qui vend au public et qui n'a qu'un objectif faire du chiffre et rafler un maximum de prix littéraire.  

Coucou Flag,

Tu confonds droits patrimoniaux et droits moraux.

Du point de vu de la loi :

- Le droit patrimonial sur une œuvre concerne le droit de l'exploiter comme son propriétaire le souhaite et en tirer un profil au cas échéant. Ce droit peut être cédé ou vendu.

- Le droit moral sur une œuvre concerne le respect de la paternité de cette œuvre (pour faire simple) (en gros, qu'importe les conditions, tu seras TOUJOURS considéré comme l'inventeur [le créateur] de ton œuvre). Ce droit là est incessible. => par exemple, tu ne peux pas rééditer le seigneur des anneaux et t'en prétendre l'auteur


EDIT : Ah ! Et un peu de respect pour le département marketing. Vendre à un produit, c'est un boulot à part entière.

J'ai vécu pendant un certain temps de ma plume en travaillant comme rédacteur pour certains journaux et magasines. J'ai abandonné le milieu parce que je n'aimais pas cela.

Mais vivre en tant qu'auteur de romans et autres nouvelles et poésie, j'imagine que cela doit être difficile quand on est auteur inconnu.

josephcurwan a écrit:

ai publié 3 recueils de poèmes + 1 court roman dans la petite édition indépendante provinciale (à compte d'éditeur !)

Depuis 1999 ? Un livre tous les 6 ans, a fortiori dans des formes peu commerciales, c'est évidemment insuffisant pour pouvoir espérer vivre de sa plume.

D'une manière générale, la démarche "je publie un livre tous les 2-3-5-10 ans et c'est un best-seller qui me permet de me reposer pendant les 2-3-5-10 ans suivants", ça ne marche que pour une infime poignée d'auteurs (et encore). La stratégie "je joue toutes les semaines au loto dans l'espoir de décrocher la cagnotte un jour" a plus de chance de fonctionner (et je n'exagère pas). Ceux qui vivent de leur plume (et j'entends par là : retirer au moins l'équivalent d'un SMIC mensuel tous les mois de ses revenus liés à l'écriture) sont bien plus prolifiques que ça, et / ou publient dans des genres plus commerciaux, et / ou participent à d'autres activités liées à l'écriture.

Mais ça ne veut pas dire qu'il faut se mettre martel en tête, se dire "je suis un mauvais auteur sinon je gagnerais plus d'argent que ça" ou vendre son âme au diable et écrire dans des genres commerciaux qui ne nous intéressent pas juste pour faire du chiffre.

il ne s'agit pas de gagner un smic ou plus avec l'écriture,

mais seulement d'exister.

ne pas finir dans les poubelles de l'histoire.

josephcurwan a écrit:

il ne s'agit pas de gagner un smic ou plus avec l'écriture,

mais seulement d'exister.

ne pas finir dans les poubelles de l'histoire.

says who

Bonjour, ELOPEZ7228
(Je ne fais d'H.S. c'est en rapport avec le l'intitulé du post )
je m'apprêtait à acheter un de tes ouvrages sur Amazon, mais hormis une nouvelle, je n'ai pas trouvé chaussure à mon pied.
J'aime comme tous le monde les grandes histoires d'amour, mais il faut qu'elles se déroulent avec en toile de fond une ambiance du style : thriller, fantastique, science fiction, policier aventure etc... Est-ce que tu as dans ton escarcelle littéraire ?

Jte fais un MP

elopez7228 a écrit:

josephcurwan a écrit:

il ne s'agit pas de gagner un smic ou plus avec l'écriture,

mais seulement d'exister.

ne pas finir dans les poubelles de l'histoire.

says who

personne. A chacun de définir ses propres priorités et objectifs, évidemment.