Nombre de messages : 759 Âge : 27 Localisation : Seoul Pensée du jour : 1011000011 Date d'inscription : 04/11/2017
Agent Seven/ Blanchisseur de campagnes Ven 5 Mai 2023 - 19:42
Je comprends que, en théorie, on est plutôt bien à être assis devant notre ordinateur, à boire ou à ne pas boire de café (pour moi, c'est du thé). Donc niveau douleur physique (et encore, des gens atteints de certaines maladies peuvent souffrir à être assis trop longtemps, mais aimer l'écriture), c'est pas le pire métier. Niveau douleur mentale et émotionnelle, là ça dépend. C'est vrai il n'y a pas personne qui écrit pour souffrir (enfin, je crois), mais dépendamment des raisons pour lesquelles on écrit, oui, on peut vivre une certaine détresse. J'écris avant tout de la fantasy pour adolescents, mais des fois je traite de sujets difficiles. De même, je suis étudiante en lettres et création littéraire, donc j'écris à l'extérieur de mon roman. Des fois, j'ai pleuré devant mon clavier, parce que je sentais que je devais partager mon expérience d'une façon ou d'une autre. J'écris pour le plaisir, mais des fois je ressens le besoin d'y mettre mes tripes et oui, des fois, c'est un peu douloureux.
Ensuite, oui, on écrit parce qu'on aime ça, mais des fois, trouver le bon mot, la bonne formulation, on peut passer des minutes ou des heures à tenter de résoudre un véritable casse-tête. Dans ces cas-là, oui, c'est pas le pur bonheur, même si c'est formateur.
Il n'a pas complètement tort, mais soit il exprime vraiment mal son point de vue, soit il lui manque quelques cellules grises et un peu d'empathie.
Edit: En fait, ma réponse ressemble un peu à celle d'Hortense.
Nombre de messages : 5643 Âge : 124 Pensée du jour : Déifier des prunes. Date d'inscription : 12/12/2006
Mokkimy/ Maîtrise en tropes Ven 5 Mai 2023 - 19:49
Pour moi, l'écrivain qui souffre, c'est celui qui compte sur ses droits d'auteur pour payer ses loyers.
L'écrivain amateur peut ne pas rigoler par moment, mais au même titre qu'un joggeur qui en a marre sur les derniers kilomètres, quoi. C'est de l'ordre du dépassement de soi.
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olknox/ Barge de Radetzky Ven 28 Juil 2023 - 9:29
Quand on débute, c'est de la souffrance. Après plusieurs années expériences, ça l'est moins.
Nombre de messages : 373 Âge : 38 Date d'inscription : 15/12/2021
Mariolo/ Tapage au bout de la nuit Ven 28 Juil 2023 - 9:53
Le mythe de l'écrivain torturé et alcoolique... J'ai horreur de cette vision fantasmé de l'artiste torturé, complètement fausse et à côté de la plaque. Les artistes ne sont pas plus torturé que les autres. L'écrivain torturé whisky et cigarette à la main, c'est à mon avis du marketing pour impressionner un certain type de lectorat. Les figures à la Céline ou Hemingway, ça me passe au dessus de la tête, en fait, c'est une représentation romantique de l'écrivain. Et curieusement, les gens les plus torturé, et qui souffrent énormément, ce ne sont pas forcément les gens qui ont le plus d'empathie ou de moyens d'exprimer leur souffrance. Pour prendre un exemple : une infirmière psy, et peut être plus en capacité de raconter le quotidien et la souffrance d'un usager de service psy, que l'usager lui même.
Ou plus simplement, si demain, je demande à mes collègues d'exprimer leur quotidien par écrit, ça risque de donner un moins bon livre que si je demande à***** (mettez votre auteur moderne naturaliste préféré). Encore plus curieusement, raconter son quotidien ou une histoire par écrit, ça vient rarement à l'esprit d'une ouvrière d'une usine d'andouillette de Vire. (Je fais peut être un hors sujet depuis le début là remarque, mais c'est ce que le sujet m'évoque).
L'idée c'est pas de dire y'a des gens qui souffrent et d'autres qui souffrent plus ou moins, l'idée c'est de dire que raconter une histoire, réel ou imaginaire, nécessite de l'imagination et de l'empathie (de la technique et des connaissances aussi remarque), pas besoin de mettre sa vie en jeu à chaque ligne, son foie ou ses poumons (par contre, pour des questions marketing ou idéologique, la communication va se faire plus facilement autour d'artiste " torturé", société du spectacle ?)
Nombre de messages : 5449 Âge : 57 Localisation : Paris Pensée du jour : Three blinds rabbits. Date d'inscription : 05/11/2017
Jdoo/ Maîtrise en tropes Ven 28 Juil 2023 - 10:33
The référence absolue de l'écrivain alcoolique, certes plein de talent, mais chiant quand même un peu.
Nombre de messages : 3108 Âge : 36 Localisation : High Fem Bitch Pensée du jour : Show me the monster inside of you Date d'inscription : 28/07/2012
DC/ Gueule d'ange et diable au corps Ven 28 Juil 2023 - 10:47
Perso, je renverrai au livre "Toute une moitié du monde" d'Alice Zeniter...
Après, de manière générale, par définition, tous ces discours sur la souffrance de l'écrivain, c'est une mise en scène de la souffrance de l'individu.
Et comme toute mise en scène, je trouve ça insupportable, car ce n'est pas sincère. Ca sert à attirer l'attention sur soi, susciter la pitié ou l'admiration. C'est du bidon...
"Regardez-moi, je souffre, je suis un artiste torturé. Je suis un connard mais c'est parce que je suis un artiste torturé. Vous n'aimez pas ce que j'écris ? C'est que vous ne pouvez pas comprendre, je mets mes tripes sur la table, je souffre, ok, arrêtez de me critiquer".
C'est très infantile à mes yeux.
Nombre de messages : 3776 Âge : 26 Date d'inscription : 15/11/2015
Noxer/ Au nom de l'Abeille – Et du Papillon – Et de la Brise – Amen ! Ven 28 Juil 2023 - 12:29
DC a écrit:
Perso, je renverrai au livre "Toute une moitié du monde" d'Alice Zeniter...
Après, de manière générale, par définition, tous ces discours sur la souffrance de l'écrivain, c'est une mise en scène de la souffrance de l'individu.
Et comme toute mise en scène, je trouve ça insupportable, car ce n'est pas sincère. Ca sert à attirer l'attention sur soi, susciter la pitié ou l'admiration. C'est du bidon...
"Regardez-moi, je souffre, je suis un artiste torturé. Je suis un connard mais c'est parce que je suis un artiste torturé. Vous n'aimez pas ce que j'écris ? C'est que vous ne pouvez pas comprendre, je mets mes tripes sur la table, je souffre, ok, arrêtez de me critiquer".
C'est très infantile à mes yeux.
C'est quoi du coup pour toi une expression sincère de l'écrivain.e qui n'est pas une mise en scène (si tu admets que cela puisse exister ?) ?
Le discours sur une prétendue sincérité (qui serait moralement supérieure à une mise en scène) n'est-il pas lui aussi en quelque sorte une mise en scène bidon de l'humilité ?
Nombre de messages : 3108 Âge : 36 Localisation : High Fem Bitch Pensée du jour : Show me the monster inside of you Date d'inscription : 28/07/2012
DC/ Gueule d'ange et diable au corps Ven 28 Juil 2023 - 14:45
Noxer a écrit:
DC a écrit:
Perso, je renverrai au livre "Toute une moitié du monde" d'Alice Zeniter...
Après, de manière générale, par définition, tous ces discours sur la souffrance de l'écrivain, c'est une mise en scène de la souffrance de l'individu.
Et comme toute mise en scène, je trouve ça insupportable, car ce n'est pas sincère. Ca sert à attirer l'attention sur soi, susciter la pitié ou l'admiration. C'est du bidon...
"Regardez-moi, je souffre, je suis un artiste torturé. Je suis un connard mais c'est parce que je suis un artiste torturé. Vous n'aimez pas ce que j'écris ? C'est que vous ne pouvez pas comprendre, je mets mes tripes sur la table, je souffre, ok, arrêtez de me critiquer".
C'est très infantile à mes yeux.
C'est quoi du coup pour toi une expression sincère de l'écrivain.e qui n'est pas une mise en scène (si tu admets que cela puisse exister ?) ?
Le discours sur une prétendue sincérité (qui serait moralement supérieure à une mise en scène) n'est-il pas lui aussi en quelque sorte une mise en scène bidon de l'humilité ?
Je ne vois pas de rapport entre la "sincérité" et "l'humilité" en fait. On peut sincèrement être persuadé d'être un génie et le clamer. En fait, je ne vois pas le rapport avec ce que j'écris.
Je pose la question en terme de posture et d'attitude de la personne.
Une expression sincère de l'écrivaine ? Ben, je ne sais pas, il faut voir les interviews de Marie-Hélène Lafon, Annie Ernaux, Cécile Coulon ou Alice Zeniter, par exemple. Elles ne prennent pas la pose.
Nombre de messages : 2254 Âge : 32 Pensée du jour : Crachez-le aussi fort que vous voulez, ça ne sert à rien. Car je ne suis pas un déviant. Date d'inscription : 28/07/2023
Blackmamba/ Guère épais Ven 28 Juil 2023 - 21:36
Bonjour à tous !
Tout nouveau inscrit, j'ai fait un tour d'ensemble après ma présentation. Et après hésitation, je me suis dit pourquoi ne pas participer dès maintenant ? En espérant ne pas forcer ma place ou quoi dans une discussion...
C'est que le sujet est intéressant. J'ignore qui est ce monsieur et son tweet de base. Il a bien joué son coup, misant sur de la radicalité pour faire parler de lui... La recette fétiche du monde moderne j'ai l'impression... N'oubliez pas qu'en se plaignant qu'une catégorie se plaint de trop, lui aussi se plaint en définitive. Relativité de la légitimité non ? C'est ce qui m'amène ici.
La question plus large, c'est la légitimité de la douleur et de la souffrance je dirais, non ? Si un artiste expose en quoi son travail le fait souffrir, eh bien... C'est peut-être vrai ? Qui est-on pour mépriser son ressenti ? Bon, ne pas pousser et se faire passer pour Jésus qui porte sa croix, d'accord. Mais en quoi l'artiste affirme qu'il souffre plus que tout autre personne dans le monde ? Peut-être souligne-t-il qu'il souffre comme tout le monde ? Que son travail n'est pas un passe-temps ou un divertissement, mais une vraie discipline ? Avec de l'exigence et son lot de difficultés ? Et peut-être qu'un artiste le souligne souvent car les gens ont tendance à négliger sa souffrance ? Que son travail est vraiment un travail ?
Peut-être qu'on peut souffrir plus fortement d'une implication très profonde dans une œuvre artistique qu'un ouvrier du bâtiment qui se casse le dos dans certains cas ? En quoi serait-ce antinomique ? J'ai déjà versé dans du travail manutentionnaire éprouvant, répétitif et tout sauf épanouissant. Personnellement, c'était davantage la futilité qui me faisait souffrir. Car, à part le physique qui trinque, les tracas émotionnels étaient peu présents. Avec l'écriture, je souffre émotionnellement, activité qui pèse énormément sur le plan psychologique, éprouvante sur le plan cérébral. Qui me coûte beaucoup, parfois oppressante. Après, je néglige ma santé, je n'écoute pas les mises en garde que mon organisme m'adresse. Mais ce sont deux choses différentes.
Mais rien que ma vie étalée ici, en quoi ne suis-je pas légitime à le faire ? Car ce n'est pas pour ça que j'affirme la souffrance des autres comme moindre non ? Dans l'esprit des gens, j'ai l'impression que partager sa souffrance implique que celle des autres est négligeable à côté. C'est un raccourci qui ne résume pas forcément la position où l'avis de la personne qui se plaint à mon sens.
Je ne sais pas si je suis bien clair... Ou bien même légitime à m'étendre d'emblée de cette manière ? Lol
Nombre de messages : 3776 Âge : 26 Date d'inscription : 15/11/2015
Noxer/ Au nom de l'Abeille – Et du Papillon – Et de la Brise – Amen ! Sam 29 Juil 2023 - 9:26
DC a écrit:
Noxer a écrit:
DC a écrit:
Perso, je renverrai au livre "Toute une moitié du monde" d'Alice Zeniter...
Après, de manière générale, par définition, tous ces discours sur la souffrance de l'écrivain, c'est une mise en scène de la souffrance de l'individu.
Et comme toute mise en scène, je trouve ça insupportable, car ce n'est pas sincère. Ca sert à attirer l'attention sur soi, susciter la pitié ou l'admiration. C'est du bidon...
"Regardez-moi, je souffre, je suis un artiste torturé. Je suis un connard mais c'est parce que je suis un artiste torturé. Vous n'aimez pas ce que j'écris ? C'est que vous ne pouvez pas comprendre, je mets mes tripes sur la table, je souffre, ok, arrêtez de me critiquer".
C'est très infantile à mes yeux.
C'est quoi du coup pour toi une expression sincère de l'écrivain.e qui n'est pas une mise en scène (si tu admets que cela puisse exister ?) ?
Le discours sur une prétendue sincérité (qui serait moralement supérieure à une mise en scène) n'est-il pas lui aussi en quelque sorte une mise en scène bidon de l'humilité ?
Je ne vois pas de rapport entre la "sincérité" et "l'humilité" en fait. On peut sincèrement être persuadé d'être un génie et le clamer. En fait, je ne vois pas le rapport avec ce que j'écris.
Je pose la question en terme de posture et d'attitude de la personne.
Une expression sincère de l'écrivaine ? Ben, je ne sais pas, il faut voir les interviews de Marie-Hélène Lafon, Annie Ernaux, Cécile Coulon ou Alice Zeniter, par exemple. Elles ne prennent pas la pose.
D'accord, du coup, ce qui te dérange c'est seulement l'attitude et la posture du discours, que tu as donc grossièrement réduit à un cas invraisemblable qui n'existe que dans son caractère de cliché.
Je parlais de mise en scène de l'humilité parce que l'humilité me semble être la chose qui manque à ces personnes "infantiles" et que ta description et sa critique opposait plutôt à cette attitude une autre plus humble. L'idée étant que parfois, en critiquant un discours, on en crée un autre qui possède aussi ses dynamiques de posture - Lafon Ernaux et les autres, prennent, dans ces interviews, une posture, dans la mesure où elles se présentent et présentent un discours au public - de là que ces postures ne semblent pas t'irriter, tant mieux.
Je trouve cela un peu gratuit et injuste de faire une critique sur la sincérité lorsque dans le monde de l'écriture où s'exposer est certain, rien n'est tout à fait sincère. Ernaux n'a sûrement pas de mal à s'exprimer et parler de soi et de son écriture. Ce n'est sans doute pas le cas des "connards" supposés à qui tu fais allusion (on peut savoir d'où ça vient ?). De l'intervention de blackmamba je suis d'accord avec une chose, il y a le discours d'une part, et les vrais gens derrière de l'autre. En produisant un discours comme le tien DC, est-ce que tu critiques un autre discours ou est-ce que tu enlève à des gens une légitimité à s'exposer ?
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DC/ Gueule d'ange et diable au corps Sam 29 Juil 2023 - 9:56
Les gens font ce qu'ils veulent, je n'ai le pouvoir de rien, ni de censurer, ni de cancel qui que ce soit, ni de leur enlever une légitimité à s'exposer.
Je n'ai aucun pouvoir, je suis juste une nana de la classe moyenne, dans une ville moyenne, qui lit des livres, qui essaye d'en écrire.
Une nana qui se donne le droit d'avoir des opinions et des ressentis quand elle voit des gens parader. Est ce qu'elle peut, est ce qu'elle a la légitimité de s'approprier ce droit, aux autres de le dire.
Bonne journée (on annonce un beau soleil aujourd'hui )
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Noxer/ Au nom de l'Abeille – Et du Papillon – Et de la Brise – Amen ! Sam 29 Juil 2023 - 10:04
Yes désolé d'avoir pris ce ton là de mise à parti en vrai je comprends que ton intervention première ct pour se moquer d'un certain type d'attitude - et donc de gens - et pas dans sa globalité le fait d'utiliser l'écriture comme moyen de réflexion par rapport à ses émotions sa souffrance etc. Mais le discours ressortait un certain mépris collatéral et c'est ce que je voulais te montrer. Peu importe qui l'on est et ses intentions, nos discours ont plus de pouvoir que nous et plus qu'on ne le pense. Cela vaut pour moi aussi et c'est pour cela que je reviens préciser mes msg précédents.
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Blackmamba/ Guère épais Sam 29 Juil 2023 - 16:21
DC
Désolé si mon long pavé à pu paraître comme accablant ou accusateur, ou si cela donnait l'impression que je m'associais avec d'autres contre toi. Je crois que c'est l'impression que j'ai pu donner malgré moi, alors que je tentais plutôt de proposer des réflexions malgré mon avis sur le sujet.
C'est qu'il est toujours difficile lorsqu'on essentialise, car on est forcé d'éluder la singularité des individus pour tenter de prendre de la hauteur. C'est parfois nécessaire, parce que si on ne fait que parler à l'échelle d'individus en géopolitique par exemple, difficile d'aller dans le fond des choses. En revanche, sur un sujet comme celui-ci, la souffrance et les fardeaux psys, prendre de la hauteur à l'échelle d'une communauté, je trouve qu'on y perd en pertinence. Raison pour laquelle je parle davantage à hauteur d'individu, car j'ignore si mes "semblables" vivent de la même manière que moi. L'écriture me coûte énormément par certains aspects personnels. Mais de toute part dans ma vie, ce qui m'arrive est souvent illégitime vu que je fais juste "un loisir, un passe temps". Un mépris tellement commun que je suis illégitime à revendiquer mon droit légitime à me plaindre de ma souffrance. Tu vois ce que je veux dire ?
Je me permets d'éclaircir, car je te sens un peu blessée. Et ce n'est jamais mon intention, ça arrive sans le vouloir. Après, tu gardes le droit de mal prendre un propos, c'est audible et légitime également. Ce que tu dis dans ton message est véridique. Mais ça laisse penser que tu te replis un peu, c'est dommage. C'est un sujet qui me tiens à cœur j'avoue, raison pour laquelle je me suis lancé. C'était l'interrogation concernant "quelle légitimité prévaut". Et je crois qu'il n'existe que des réponses subjectives. Donc le but n'était pas de t'intimer de changer car tu es une mauvaise personne. J'espère que ce sera moins brouillon. Ou pas après tout... Lol
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DC/ Gueule d'ange et diable au corps Sam 29 Juil 2023 - 17:46
Bonjour Black Mamba,
Je n'ai pas vu de rapport entre ton intervention et la mienne. Moi, j'étais toute à ma conversation avec Noxer.
Mais je te remercie de ta sollicitude.
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Blackmamba/ Guère épais Sam 29 Juil 2023 - 19:50
Ah, autant pour moi alors, je me suis fait une fausse impression. Désolé.