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 Scriptober 2022

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Ahlem
   
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   Pensée du jour  :  Sublimer le quotidien
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Ahlem  /  Pippin le Bref


Et voilà une chauve-souris.
Je ferais plus court ensuite

Citation :
  La torche avait cramé son bois, il n'y avait plus rien à voir. Quand une lampe bringuebala dans le couloir, les visages sales se tournèrent sur la lueur en luciole. La grille grinça, deux nouveau furent poussés chez la marmaille. Puis la lampe s'attarda sur une torche neuve, qui vint brusquement illuminer les bouilles des cachots.
  — Eeh c'est la Souris !
  Quelques vauriens bondirent sur leurs pieds pour taquiner la solitaire.
   — Tu t'es pas pressée ! Pensais qu'c'était chez toi pourtant, j'ai cru t'louper.
   — T'as rongé quoi cette fois ?
   — D'la mort-aux-rats ?
  La jeunette ne bougeait pas de la dalle où elle avait atterri. Elle entendait sans écouter, et examinait les deux murs, les deux grilles, les occupants, comme on s'intrigue d'une pièce connue dont les meubles ont été déplacés. Ses yeux noirs et ses dents en avant brillaient dans la lumière de torche.
  — On va encore ronger not' frein, comme d'hab elle couin'ra rien.
  Mais la Souris n'était pas arrivée seule. L'autre gosse abandonna les grilles pour rejoindre le lot de ses pairs.
  — Elle a volé dans l'groupe de Moustique, déclara-t-il.
  —  Moustique ? Warf le régal ! Elle va avoir un bataillon aux trousses !
  Un choc sonore les fit violemment sursauter. De l'autre côté de la seconde grille, un homme venait de balancer sa prothèse ferrée contre les barreaux.
  — C'est pas fini ? On dort ! Vous voulez que...
  Un raclement interrompit la menace. Un bruissement suivi, et des murmures d'éveils. Les gosses virent une massive silhouette se lever parmi les grands cul-pris.
  — Chiure, vous avez réveillé Chauve...
  La silhouette avança vers la grille d'un pas sourd, son gabarit grossissant davantage à chaque pas.
  — Eh, il va écraser Narco ! OH l'narcoleptique !
  Près de la grille, le gus étalé sur les dalles réagit juste à temps pour pousser ses guibolles hors du passage.

  Souris approcha la cloison ferrée, frontière entre vauriens du premier âge et truands du second. L'homme s'arrêta de l'autre côté. La lumière rouge vacilla sur son crane lisse et ses joues rondes. Il était gros, de cette corpulence qui cache autant de muscles que de mal-être. Ses yeux noirs se crochèrent à ceux de la jeunette.
  Tous deux avaient entendu parler de l'autre. Tous deux avaient attendu l'occasion, et avaient serrés en eux l'espoir d'un compagnonage exorcisant leur solitude et l'incompréhension. La pogne de l'homme avala un barreau. La menotte de la mioche vint accrocher un doigt aussi épais que trois des siens.
  Les gamins revinrent de leur surprise. Les silhouettes adultes se levèrent. Une seule voix murmura dans le silence.
  — V'là que les kleptomanes font accointance.
  Les deux solitaires se regardaient. Dans le reflet de leurs vices, Souris chavira et Chauve sourit.
 
Spangle
   
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Spangle  /  Pour qui sonne Lestat


Citation :
Chauve-souris


Le générique retentit dans l’appartement : tin-nin-nin-nin-nin-nin-nin-hm-Batman ! Gary était encore assis par terre, juste devant l’écran. Marie le releva mais décida de ne pas intervenir. C’était déjà la guerre entre eux pour les devoirs, pour éteindre la lumière le soir, pour lui faire manger des légumes verts, pour les jouets qu’il réclamait au supermarché… ça suffisait comme ça, elle avait le droit de laisser couler certaines choses pour avoir un peu de tranquillité. Surtout que le faire se rasseoir sur le canapé ne tenait que quelques minutes et qu’il fallait sans cesse revenir à la charge. C’était trop. Vraiment trop.

— Tu m’uses ! Lui avait-elle lâché quelques jours plus tôt. Tu m’uses et à ce rythme tu n’auras bientôt plus de maman, juste une loque qui te laissera faire tout ce que tu veux, bousiller ta santé, ton avenir, nous ruiner dès le début du mois…
Il n’avait pas compris, bien sûr il n’avait que six ans, et très vite elle avait regretté ses paroles.
— Mais non mon chéri, ne t’inquiète pas. Je serai toujours ta maman, je serai toujours là. Mais s’il te plaît pourrais-tu obéir un peu mieux ? Je suis fatiguée, c’est dur tu sais. Je dois travailler, tout faire dans la maison… et j’aimerais bien qu’on passe plus de moments sympa, ou même simplement tranquilles. Tu veux bien faire un effort ?

Il n’avait rien répondu, choqué de voir sa mère au bord des larmes. Elle s’était détournée et remise à son gratin. L’heure avançait, il ne serait pas couché avant 22h. Le lendemain il serait fatigué et en rentrant de l’école il ferait de nouveau une crise de colère pour une broutille. Elle n’en pouvait plus de cette vie infernale.

Aujourd’hui au moins il la laisserait tranquille jusqu’au repas. Vive Batman. Il adorait ce dessin animé, un peu malsain certes mais qu’en saisissait-il ? Avec un long soupir, elle attaqua la monstrueuse pile de linge à repasser. Son dos commença tout de suite à se plaindre mais elle devait continuer, tenir le coup. Pour lui comme pour elle-même. La douleur lancinante la poussait à se raidir, ce qui ne faisait qu’empirer les choses. Elle régla la table à repasser un peu plus haut, depuis le temps qu’elle oubliait de le faire. C’était un peu mieux.

Elle s’arrêta à la moitié, ça faisait déjà pas mal de linge frais d’avance. Elle fit trois pas et jeta un coup d’œil dans le salon. Il n’était plus devant l’écran, il s’était rassis de lui-même dans le canapé. Sans doute avait-il pris son pouce et somnolait-il sur les coussins. Elle s’approcha doucement. Le canapé était vide. Elle se dirigea vers la chambre, repoussant du pied une pelleteuse et quelques dinosaures en plastique. Ranger ses jouets, ça non plus elle ne parvenait pas à l’obtenir de lui.

Elle ouvrit la porte et fut clouée de terreur : Gary se tenait sur le rebord de la fenêtre, sa petite couverture préférée sur les épaules. Il en maintenait les extrémités largement écartées pour la déployer de part et d’autre de son corps, ce qui le faisait un peu, un tout petit peu, ressembler à une chauve-souris.
— Gary ! Gary, non !
Il se tourna vers elle, vacilla sur le rebord de la fenêtre et tomba dans le vide. Hurlant son nom, elle courut regarder en bas. Gary gisait sur le trottoir dans une position très inhabituelle. Elle se jeta dans les escaliers et dévala les trois étages en répétant :
— Non, non, non, noooon ! Pas ça ! Pas ça, pas ça, non !

Arrivée devant le corps de son petit garçon, elle s’agenouilla à côté de lui et l’enveloppa de ses bras, comme si elle pouvait encore le protéger. Les larmes roulaient sur ses joues sans qu’elle y prenne garde, son cœur battait à tout rompre. Elle entendit à peine, de très loin, quelqu’un qui disait :
— Les pompiers sont prévenus !
Ce n’était pas possible. Ce n’était pas arrivé, c’était juste un cauchemar. Elle allait se réveiller… Un passant s’approcha et la tira doucement en arrière. Il se pencha sur l’enfant et posa deux doigts sur sa jugulaire. Au bout de quelques instants il releva la tête vers elle. Elle plongea son regard dans le sien et ce qu’il y vit le rendit muet. Il ne put que secouer la tête de droite à gauche.

— Non, non, lâcha-t-elle avec colère. Vous vous trompez, ce n’est pas possible !
Il ne répondit rien. Soudain elle se redressa et regarda vivement autour d’elle.
— Un défibrillateur ! Il faut faire repartir son cœur, vite, où est-ce qu’il y a un défibrillateur ?

Mais l’homme la saisit aux épaules et la tourna vers son fils.
— Calmez-vous Madame ! Soyez raisonnable. Vous voyez l’angle que fait son cou ? Il n’y a plus rien à faire. Je suis désolé… conclut-il dans un murmure.

***

La tombe était toute pimpante avec ces fleurs fraîches. Marie se releva, la considéra encore quelques instants puis se tourna vers Rachid.
— On peut y aller ? lui demanda-t-il avec douceur.
— Oui, on est partis. À bientôt, mon chéri ! lança-t-elle en direction de la tombe. Elle venait toutes les semaines depuis six ans, et elle le ferait probablement toute sa vie. Sauf si ils déménageaient à Lille comme il en avait été question l’autre jour. Tant pis, elle prendrait le train et viendrait une fois par mois.

À la sortie du cimetière, Rachid l’enlaça.
— Tu as réfléchi à ce que je t’ai dit hier soir ?
Il parlait de son envie de faire un bébé. Leur relation était solide, paisible, et ils allaient sur la quarantaine. C’était maintenant ou jamais.
— Non, amour. Je te le dis depuis le début, il n’y aura pas de bébé. Dans quelques années tu pourrais me quitter et je retrouverais l’enfer des mères célibataires. Je ne veux pas de ça, plus jamais. Plus jamais.
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Paige_eligia
   
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Chauve_souris:

Je suis dans le très court moi ^^
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Allez, après la micro-nouvelle et la poésie, un peu de théâtre...

Jour 3 / Chauve-souris
Spoiler:
 
Le rosier
   
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Le rosier  /  Double assassiné dans la rue Morgue


@Paige : j'aime bien quand le rêve et la réalité se mêle, qu'on ne sait plus ... alors, moi, aujourd’hui, ce sera encore plus court Wink
@Fred : ha ha j'adore, mais bath, j'ai l'impression que ça se disait même avant la génération de mon père ... dans les années 20 ou 30, non ? j'aime bien cette alternance de format.

Chauve-souris:



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Aliénor
   
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Bon bon bon, j'ai hésité à faire le scriptober, mais je pense que je vais finalement me lancer... avec une autre liste !

Voici le Witchtober :

Scriptober 2022 - Page 2 FcuEdp8aMAc_B6B

Que je m'y mette ou pas (mon envie fluctue), vous aurez au moins cette liste alternative sous le coude (et merci Radis de l'avoir trouvée hihi) Scriptober 2022 - Page 2 3029968519

TRADUCTION:


Scriptober 2022 - Page 2 1f47d.png?v=2.2
Alien officiel de la CB since 2022.
Modératrice spécialisée dans la Section Édition.

Instagram, pour suivre mes aventures dans la jungle de l'édition.
Parcours éditoriaux:
 
Ahlem
   
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Ahlem  /  Pippin le Bref


Jour 4, Coquille.

Citation :
Être sans coquille
Se sent bien con
Quand le coup sonne
Sous la ceinture
C'est tatami
 
Le rosier
   
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@ahlem Laughing Laughing Laughing

Coquille:
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Fred Dee
   
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Bon, celle-ci est sans rapport avec @Le Rosier (que je remercie pour chaque compliment). C'est la seule idée qui m'est venue après avoir cherché une approche en dessinant.

Concernant "bat / bath", je savais l'expression encore en usage quand j'étais gosse, c'est devenu vraiment démodé aujourd'hui. Et j'ai fait des recherches après commentaire et, effectivement, ça vient même du XIXe siècle.

Jour 4 / Coquille

Citation :
Je suis fleuriste. Ou plutôt, je l’étais. C’était avant la retraite. Pas de gaieté de cœur, que je suis parti pour cette fichue retraite. J’ai fait durer avant de faire ces damnés papiers. Trois, quatre années, et un jour, une caisse de bégonias. Paf ! Mon dos m’a envoyé son ultime avertissement. J’ai vendu. Qu’est-ce que je fais maintenant ? Les fleurs m’avaient déjà pris tant de mon temps. J’allais le prendre maintenant. Le reprendre, mon temps. Mais je n’avais toujours que les fleurs. Mes mains sont parcourues de nerfs qui ne se tendent que pour approcher tiges, branches, feuilles, racines, pétales.

Où il est, papy ? Il est encore sous sa serre, à s’occuper de ses roses. Encore ? Oui, à se demander quand il va prendre le temps de profiter de sa retraite et d’oublier son travail.

Ils me charrient, me taquinent, me chahutent, mais surtout ils ne me comprennent pas. Je taille mes roses comme d’autres sucrent les fraises, comme on dit des vieux décrépis qui attendent la mort en tremblant. Mais je ne tremble pas. La main sûre, toujours. Mais je cultive mes fleurs avec mon œil seulement, sans les toucher quasiment. J’approche des corolles satinées et plonge mon regard dans leur géométrie parfaite. Elles m’absorbent, m’enveloppent et referment sur moi leurs voiles parfumés. Coquille végétale où j’échappe à la mélancolie, où je me cloître à l’abri de la mort. Le temps, je le retrouve chaque jour dans l’éternité de ce cloisonnement rouge, rose ou blanc.
 
Morgane T. Merienne
   
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   Pensée du jour  :  "Quand un philosophe me répond, je ne comprend plus ma question." P. Desproges
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Morgane T. Merienne  /  Pippin le Bref


Le Scriptober ? J'adore l'idée, ça m'intéresse de fou. En avant (Guingamp). Je sais, j'aime les jeux de mots nuls.

Viens, c'est par ici !  
Mon grand-père désigna du doigt une partie un peu éloignée de l'entrée de la plage, où je voyais d'autres personnes penchées sur le sable. Je le suivis à petit pas, encore embrumée de sommeil. Mon grand-père m'avait réveillé aux aurores, un large sourire d'imbécile heureux sur le visage. D'aussi loin que je me souvienne, il avait toujours la pêche à pied et se précipitait sur les plages à chaque grande marée.  
Ici, il connaissait tous le monde et tous le monde le connaissait. Les pêcheurs déjà présent le saluait par son nom.  
- Salut Yves !  
- Bonjour Yves ! La pêche est bonne, tu vas voir.  
Mon grand-père se tourna vers moi.  
- Tu as ce que je t'ai confié ?  
Je montrais mes mains encombrée par un sac en toile de jute, la grapette et une paire de gants épais. Avec tout cet attirail, je ne pouvais même pas prendre mon portable dans ma poche et vérifier si j'avais des messages ou des notifications. J'adorais mes grands-parents mais j'aurais préféré partir avec mes amis.
L'année prochaine, avait dit Papa, tu es encore trop jeune. Il avait intérêt à tenir sa promesse.  
- Bon, l'idée c'est de récupérer quelques crabes et aussi des palourdes, pour le déjeuner.  
- D'accord, Papi.  
Il se mit en quête de ses proies et j'en profitais pour poser le sac et vérifier mes messages. Quelques notifications de réseaux sociaux et un message de mon ami Juliette, qui était à Londres avec son cousin et sa tante. Elle, au moins, elle s'amusait.  
- Jeune fille, tu n'as pas besoin de ton téléphone pour pêcher ! Gronda mon grand-père.  
- Laisse-la, Yves, c'est de sa génération après tout. Mes petits-enfants sont pareils !  
- Merci de me défendre, Odette, ai-je dit.  
Odette, c'était une amie de mes grands-parents depuis quarante ans. Elle avait toujours été gentille. A Noël, elle avait toujours un paquet de chocolat pour ma sœur et mes frères.  
- Justement, les jeunes passent leur temps derrière les écrans et ils ne voient pas la vraie vie. Alli, c'est le dernier été qu'on passe ensemble, fais un effort.  
- Papi, les vacances, c'est pas se lever aux aurores pour partir à la chasse aux crustacés, c'est bronzer sur la plage avec mes copines en parlant de garçons.  
Je le vis lever les yeux au ciel, profondément agacé par ce qu'il pensait être de l'ingratitude. Odette éclata de rire.  
- Yves, elle a seize ans.  
Elle s'éloigna, en riant encore. Mon grand-père s'approcha, et je rangeais aussitôt mon téléphone dans ma poche avant qu'il me le prenne. Il m'attrapa le bras, très fort.  
- Écoute-moi bien, petite pute. Tu vas me faire le plaisir d'arrêter tes enfantillages et de faire ce que je te dis.  
- Sinon quoi ? Rétorquais-je en le défiant du regard. Tu vas faire quoi ? Me frapper, comme quand j'étais petite ? Vas-y, fais-le.  
Je voyais son regard veule et empli de colère, il brûlait d'envie de le faire.  
- Le problème, Papi, c'est que je ne suis plus une enfant. Je n'ai plus peur de toi.  
Je dégageais mon bras de son étreinte et tournais les talons, ignorant ses appels. Mon bras me faisait encore mal mais j'attendis d'avoir quitté la plage pour appeler.
- Allô, Papa ? Oui, c'est moi. Non ça va pas, Papi a recommencé à me faire mal. Tu peux venir me chercher ? Je ne veux pas rester ici. :

Je sais, je sais, j'ai un faible pour les histoires compliqués et tristes. Mais bon ...
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Paige_eligia
   
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Paige_eligia  /  Bile au trésor


Coquille:

Hop là, on part dans le fantastique ++ encore pour cette fois ^^ Plus difficile à trouver l'inspiration.
Chouette vos textes !
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Volte
   
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Je vous rejoins !

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Aâma
   
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Allez ! Je m'y colle aussi pour écrire de nouveaux trucs.  Very Happy

Coquille:


Dernière édition par Aâma le Mer 5 Oct 2022 - 21:36, édité 1 fois
 
Le rosier
   
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Le rosier  /  Double assassiné dans la rue Morgue


Génial, on est de + en + nombreuxes. Et c'est chouette de voir comment le même mot s'interprète différemment.

Flamme:

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Fred Dee
   
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Jour 5 / Flamme

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