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 Intégrer le covid à ses histoires ou pas ?

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Avez-vous / Allez-vous intégre(r) le covid à votre histoire ?
Oui
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 25% [ 19 ]
Non
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 38% [ 29 ]
Pas encore choisi mais plutôt oui
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 7% [ 5 ]
Pas encore choisi mais plutôt non
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 8% [ 6 ]
Ne sais pas
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 4% [ 3 ]
Le covid ça me fatigue !
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Invité  /  Invité


J'écris de la fantasy, donc ça ne me concerne pas pour l'écriture.

Par contre, pour la lecture, je sais que si demain un bouquin sort avec "covid-19" sur la quatrième de couverture, je repose direct ! Peu importe si les critiques l'ont encensé, si c'est génial, si c'est un auteur que j'aime, si l'histoire me tente : je n'ouvre même pas pour lire les premières lignes. On en entend parler tout le temps partout donc c'est pas pour me farcir en plus un roman dessus...
 
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VivianW  /  Double assassiné dans la rue Morgue


Et s'il y a écrit "féministe" ?
 
Plumerose
   
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Plumerose  /  Roberto Bel-Agneau


VivianW a écrit:
Et s'il y a écrit "féministe" ?

Ah ah ! Tu parles, même ça, et surtout ça est codifié, en "littérature" : on veut bien du féminisme, mais attention : un "féminisme gentil" et doux  I love you :nsortedefleur: (un peu bêbête... ) , un "féminisme féminin", quoi, qui ne dérange pas, qui soit "dit avec douceur... etc... "  Twisted Evil
 
hodobema
   
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Je ne suis pas spécialement d'accord avec toi Plumerose. Toutes les fictions qui se disaient féministes mais qui ne l'étaient pas vraiment dans le fond ou de manière superficielle ont subi les critiques tandis qu'à l'inverse, on prône un féminisme sincère avec des perso féminins réalistes. Mais bref on s'éloigne du sujet.

Je rejoins Enir, j'écris de la fantasy donc ça ne me concerne pas, mais je n'aimerais pas voir la covid dans ce que je lis. Je trouve ça trop tôt, à la limite de l'irrespect envers les victimes et les familles de victime (cf le film Songbird que je trouve personnellement éthiquement scandaleux). Après si c'est traité avec délicatesse, ça peut passer. Mais ça me semble trop "tabou" pour se lancer là-dedans encore je trouve. À voir quand on aura une solution contre ce virus, quand le sujet sera moins délicat.
 
Plumerose
   
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Plumerose  /  Roberto Bel-Agneau


Pas si sûr, HODOBEMA, concernant le féminisme, mais c'est un très long débat.

Sinon : oui, c'est délicat, "le Covid", mais tout dépend de l'aspect que ça traite (par exemple, j'ai fait une nouvelle marrante, fantastique-horreur sur la fin, où j'utilise le fait que les personnages soient masqués pour créer un quiproquo avec confusion des personnes, ça reste léger, ce n'est pas "le Covid" en tant que tel...)

Mais en effet, c'est délicat pour plusieurs raisons, et je crois que ce n'est que quand ce sera un peu "stabilisé" qu'on verra si on intègre ou pas la situation actuelle de "crise sanitaire" dans nos romans (et comment on peut le faire, sans manquer de respect aux personnes touchées, au passage aussi...  )
 
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Invité  /  Invité


Bon, au vu des réponses au sondage, c'est partagé mais il y a un net penchant pour ne pas parler du covid... Soit parce que ce n'est pas évident à écrire, soit parce que certains en ont marre d'en entendre parler...

Tim a écrit:
Admettons que tu écrives une nouvelle qui a lieu une année précise des 2/3 dernières décennies: tu penserais spontanément à mentionner l'état d'urgence qui a suivi les attentats si ton récit n'a rien à voir avec ces évènements, quand bien même il se déroule à cette période ? Tu mentionnerais les gilets jaunes dans le même cas ? Les diverses canicules ?
Il y a quand même une différence, c'est que le covid a un impact sur la vie réelle, si tu écris une histoire et que le personnage sort de chez lui, si tu inclus le covid il doit mettre le masque (sur ou sous le nez, ça dépendra s'il a un esprit "frondeur" ou pas, ce qui pourrait d'ailleurs caractériser le personnage), où que tu vives en France, alors que les attentats, les gilets jaunes, ça n'a pas forcément un impact, sur certains personnages/situations oui mais pas tout le monde tout le temps...

C'est mon interrogation en fait, quand on écrit une histoire "normale", non centrée sur le covid, faut-il ou pas inclure les rituels covidiens (masque, gel hydro, distanciation...) Je vois que Vivian l'inclut de manière légère, c'est une possibilité...
Après, a-t-on envie de ce rappel covidien... j'avoue que de prime abord en tant que lectrice je n'ai pas + que cela envie de lire dessus, même si cela reste juste un "rituel" et pas tellement un point important de l'histoire (quoique, ça change un peu les relations...).

Pour ce qui est du fait que le covid aurait bouleversé nos habitudes... pour le moment, oui, mais est-ce que ça durera ? il y a des gens qui respectent scrupuleusement les règles et seront peut être traumatisés de cette période, mais j'en vois d'autres qui reçoivent des gens chez eux sans masque et seront ravis de retrouver la bise (même si la bise en entreprise sera elle peut être bannie, mais également pour d'autres raisons)...
Enfin cela dépend pour combien de temps encore on en a... si c'est à peu près terminé dans un an, les habitudes vont vite reprendre pour beaucoup de gens. Si ça dure encore 5 ans ou +, là c'est autre chose...
Après, on a l'exemple de la grippe espagnole, je ne connais pas exactement les détails, les gens ont peut être gardé quelques habitudes d'hygiène suite à cela, mais ça n'a pas empêché la bise française de prospérer par la suite...

Pour ce qui est des victimes du covid (et j'en connais malheureusement... :-( ), c'est encore autre chose, cela veut dire parler du covid en histoire principale ou secondaire.
Je pensais plutôt au contexte d'une histoire ayant un tout autre sujet, comme je l'ai évoqué + haut... en période de covid même si ce n'est pas le sujet du livre, ça a un impact sur la vie quotidienne (en + si on envisage des couvre-feu / confinement)...

Bref... que faire, la question n'est pas tranchée... Wink
Merci à tous de faire avancer la réflexion en tout cas !
 
hodobema
   
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Je pense personnellement que si la covid impacte ton scénario, qu'il influence tes rebondissements etc, alors oui il faut le mettre. Mais si c'est juste pour faire du contexte, une ambiance, je sais pas si c'est vraiment utile. Ca dépend de plein de choses, déjà de l'ambiance que tu veux instaurer (si tu veux faire quelque chose de glauque ou pas) et comme dit précédemment, du comportement de tes personnages.
Ca dépend aussi de la sensibilité aux choses, il y aura toujours des sujets plus sensibles et tabous pour certains que d'autres. Si tu te sens à l'aise de l'intégrer, alors vas-y. Si tu doutes déjà par l'appréhension de faire mal, alors peut-être qu'il faut revoir ça.
Ca dépend de toi finalement study
 
Séléné.C
   
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Séléné.C  /  La femme qui tomba amoureuse de la lune


VivianW a écrit:
Entre la guerre des genres et le Covid, je plains les célibataires. Heureusement qu'il subsiste des cadres où l'on s'en bat complètement les couilles (dans une salle de boxe par exemple)
Il y a des salles de boxe actives, en ce moment ?
Le club d'arts martiaux japonais où j'ai pris des cours et comptais en reprendre cette année en est à... demander aux membres de payer leur cotisation, histoire que l'association continue de fonctionner, alors que les cours n'ont plus lieu !

Hodoberna a écrit:
Ca dépend aussi de la sensibilité aux choses, il y aura toujours des sujets plus sensibles et tabous pour certains que d'autres. Si tu te sens à l'aise de l'intégrer, alors vas-y. Si tu doutes déjà par l'appréhension de faire mal, alors peut-être qu'il faut revoir ça.
Ça peut aussi être libérateur.
Mon petit texte du Nanowrimo a été assez libérateur de la contrariété d'être confinée.
En quelque sorte = dédramatisation...

Pour les éventuels curieux qui auraient envie de voir, je mets le lien de mon "roman covidé"
https://www.jeunesecrivains.com/t56303-tutore-noctis-vampire-en-conserve
Un seul chapitre posté, à cause d'un cafouillis en début de chapitre 2, que je n'ai pas encore réparé. J'ai donné priorité à la correction d'un autre texte.
J'avais, en décembre, envisagé un postage sur blog à partir de l'anniversaire du 1° confinement... mais cela n'aura à l'évidence pas lieu, car les chances que le texte soit prêt à temps sont à peu près nulles.


Menerva a écrit:
Après, on a l'exemple de la grippe espagnole, je ne connais pas exactement les détails, les gens ont peut être gardé quelques habitudes d'hygiène suite à cela, mais ça n'a pas empêché la bise française de prospérer par la suite...
> Les gens avaient déjà des habitudes de distanciation à un mètre, parce que cela faisait partie des règles de savoir-vivre :
- ne pas "coller" les gens, sauf si on en est assez proche pour les tenir par le bras ou échanger des petits secrets avec eux
- le serrage de main était pratiqué, mais dans les milieux "bien éduqués", on portait des gants. C'est à dire la petite bourgeoisie, la plus haute, mais pas les ouvriers ni les paysans
- l'interdiction de cracher par terre, parfois évoquée via des affichette autrefois placardées dans des écoles, n'était pas un réglement scolaire maniaque de propreté mais une précaution sanitaire de niveau législatif, afin d'éviter que les crachats transportés sous les chaussures et le volant des robes longues transportent la maladie.
- le savoir-vivre exigeait aussi qu'on se couvre la bouche avant de tousser et qu'on reste à distance des gens quand on était susceptible d'éternuer. Chose qui étant encore expliquée aux enfants avant le covid, mais bien souvent non-pratiqué.
- Il était également de bon ton de remonter son écharpe devant la bouche, quand on en avait une. A notre époque, il était déjà très mal vu par certaines personne de remonter écharpe ou foulard devant la bouche, avant 2010 (je l'ai très souvent constaté, du fait de mes problèmes d'asthme). Depuis les lois interdisant de se cacher le visage dans l'espace public, ça ne s'était pas arrangé.
> Il y avait déjà des maladies respiratoires très graves avant l'arrivée de la grippe espagnole. Notamment la tuberculose.
>> Il n'y avait donc pas de raison pour que cette maladie produise un changement spécial dans les habitudes sociales.
Mais on aurait été bien inspiré en conservant l'habitude de la distance dite "de politesse" c'est à dire d'un mètre. Modification dont j'ignore la date mais suppose qu'elle se situe principalement dans les années 60-70.
Je n'aurais pas non plus été fâchée qu'on conserve celle de se couvrir la bouche quand on est malade, car c'est aussi une (légère) protection contre les particules de pollution.
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Citation :
Il y a des salles de boxe actives, en ce moment ?
La mienne est fermée jusqu'à l'autorisation de réouverture, mais le club d'arts martiaux médiévaux européens fait quelques séances en extérieur quand il fait beau (certaines armes permettent de respecter la distanciation).


Je tiens un blog d'écriture
http://anowan.blogspot.com/
 
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VivianW a écrit:
Et s'il y a écrit "féministe" ?

Haha ! Encore pire ! Je roule des yeux au ciel ! Je veux me détendre, pas m'entendre dire que je suis pas assez féministe x) Mais bref :mrgreen:

Sinon je suis d'accord pour dire que si le covid impacte le scénario, on peut mettre ces histoires de masques, gestes barrières et compagnie, sinon... autant ne pas rajouter ces considérations dans l'histoire. D'autant qu'il y a des gens vraiment angoissés par les questions de geste barrière, masques, limitations des sorties, etc. et du coup je ne pense pas que les angoisser en les faisant lire ça soit une super bonne idée. Je pense que, quand on lit un roman, on lit avant tout pour s'évader.
 
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Oui, certaines salles accueillent les membres disposant d'une prescription médicale. Quant au covid, difficile de faire l'impasse dessus pour tout récit environnant les années 2020 et sans doute, au delà. C'est même plus impactant qu'une guerre mondiale vu que tous les pays, cultures et communautés sont concernés
 
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@now@n a écrit:
Citation :
Il y a des salles de boxe actives, en ce moment ?
La mienne est fermée jusqu'à l'autorisation de réouverture, mais le club d'arts martiaux médiévaux européens fait quelques séances en extérieur quand il fait beau (certaines armes permettent de respecter la distanciation).
Je pratique le jodo... où une distanciation de plus d'un mètre est impérative sur quasiment tous les katas puisque c'est la longueur d'un katana !   https://youtu.be/TJNDJ3-LOhg  Et pourtant...
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Personnellement, je n'ai pas envie de lire une histoire autour de la covid en ce moment car je supporte de moins en moins bien cette situation. J'avoue que les salles de sports et de cinéma fermées ont vraiment impacté mon mental. Mais dans quelques années, je suis intéressée par la manière dont cette situation aura impacté les écrits et la manière dont on va en parler avec le recul Smile
 
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back-to-back a écrit:
Personnellement, je n'ai pas envie de lire une histoire autour de la covid en ce moment car je supporte de moins en moins bien cette situation.
Tout problème peut être abordé de façon grave ou légère, superficielle ou approfondie, etc.
Les possibilités avec le Covid comme pour tout sont très variées !
Il est clair qu'on a pas besoin, pour le moment, de trouver des scénarios catastrophe dans les romans, là où on en a déjà un autour de nous.
Mais on peut se servir de l'écriture pour "distancier", c'est à dire regarder la chose autrement.
Placer pendant le confinement de printemps un épisode de ma série vampirique m'a aidée à réduire l'agacement des mesures de distanciation, et puisque j'ai pondu ce texte en novembre, celui du 2° confinement.

back-to-back a écrit:
J'avoue que les salles de sports et de cinéma fermées ont vraiment impacté mon mental.
Une petite salle de spectacle située à 5 minutes à pied depuis chez moi a fermé fin décembre...
Sad J'ai beau savoir qu'elle était en danger permanent depuis un quart de siècle... ça fait mal.

Ce que j'ai le plus hâte de voir rouvrir, ce sont les cafés, parce que quand je fais mes courses, j'ai l'habitude de faire une pause avant de rentrer, et qu'à présent je la fais avec un jus d'orange tiré de la poche et une paille en fer sortie du sac à main, en m'installant sur un banc.
Mais comme les beaux jours semblent arriver et que je pourrai bientôt m'asseoir dehors sans risquer le coup de froid, peut-être que cette hâte va s'estomper ?

back-to-back a écrit:
Mais dans quelques années, je suis intéressée par la manière dont cette situation aura impacté les écrits et la manière dont on va en parler avec le recul Smile
Pour ma part... je le redoute plutôt, ce moment où la crise sanitaire actuelle sera rangée aux faits marquants du passé.
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fabiend  /  Effleure du mal


En ce qui me concerne, la règle est :

- si c'est une histoire qui se passe en 2020/2021 et que c'est important pour l'histoire même si ça n'est pas centré sur le covid (genre, une histoire qui parle de la chute de Trump, ou du coup d'État en Birmanie, ou de l'atterrissage d'une sonde qui fait de belles images sur Mars), je vais forcément en parler, au moins en toile de fond (on ne peut pas avoir par exemple des personnages qui sont tous ensemble dans un bar et voient à la télé, horrifiés, la foule envahir le Capitole, ça poserait un gros problème de cohérence),

- si c'est une histoire qui se passe à l'époque actuelle sans plus de précision, je ne vais pas en parler, ça n'apporterait rien et on n'a pas encore assez de recul, donc autant s'épargner ce fardeau,

- je n'ai pas prévu d'écrire une histoire ayant la pandémie pour toile de fond.
https://fabiendelorme.fr
 

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