(Rhaaaa, ça faisait longtemps que j'espérais pouvoir le commencer, ce post ^^)

Titre : Vandi’a : l’Origine
Genre : fantasy
Public visé : adolescents, adultes
Nombre de mots ou de caractères espaces comprises :  243 000
Format d'édition souhaité : papier et numérique
Date officielle de parution : 1er mai 2021
Plateforme d’édition : Kobo, Kindle
Liens commerciaux :
      Kobo: https://www.kobo.com/be/fr/ebook/vandi-a-l-origine
    Kindle: https://www.amazon.fr/Vandia-lOrigine-Markus-Charret-ebook/dp/B08SHNNZPM/ref=tmm_kin_swatch_0?_encoding=UTF8&qid=&sr=
Lien Scribay (jusqu’à date officielle de parution) : https://www.scribay.com/text/1969780737/vandi-a--l-origine
Lien JE : http://jeunesecrivains.superforum.fr/t55810-vandi-a-l-origine-fantasy-aventure-cosmogenese
4e de couverture :

Ao créa les dieux, et les dieux créèrent Vandi’a, la terre des Pensants.

Septième ère du monde neuf. Une nuit calme sur les berges d’un marais séculaire, un disciple assiste à l’illumination de son maître. Les dieux, encore inconnus des mortels, ont pris contact avec leur élu. Ils les veulent, lui et son disciple, partir à la recherche du Savoir afin de le transmettre aux leurs.

Démarre alors un tumultueux voyage jusqu’aux confins du Connu, sur une route pavée de périls mortels et de rencontres insolites. Plus loin encore, au cœur de la Création, sont couchés à les attendre dans l'ombre tous les secrets divins.

Ceux-ci, tels que reportés par l’élu, sont consignés en première partie de cet ouvrage. Quant aux pérégrinations menant à leur découverte, vous les trouverez relatées dans la seconde partie, le journal de voyage de son disciple.

Couverture :

En AE du coup ?
J'adore la couverture en tout cas !

Paige_eligia a écrit:

En AE du coup ?
J'adore la couverture en tout cas !

Merci Paige Dans un premier temps, oui. L'avantage de Kubo, c'est qu'il ne se réserve aucun droit sur les œuvres. D'ailleurs, à date de parution, je pense bien le mettre aussi sur Kindle, histoire d'optimiser...

Bonjour Markus, félicitations pour la sortie de ton roman !

Je déplace ton sujet dans la section "Après publication" puisque ton livre est paru.

Livre déposé aujourd'hui à la KBR ! J'ai l'impression d'avoir accouché  

Ben c'est un beau bébé, bravo !

Hello Markus, bonne route à ton livre.

Mais il y a un souci sur la 4e :
Ils les veulent, lui et son disciple, partir à la recherche du Savoir afin de le transmettre aux leurs.

Ils les veulent partir... -->
Ils veulent que son disciple et lui partent à la recherche...

Merci Florence, mais la formulation actuelle me semble tout à fait correcte ^^ "Je la veux se présenter dans l'heure", par exemple. Bon j'admet, c'est un langage vieillot, mais il n'en reste pas moins valide. A moins... que vous ne mettiez en avant qu'un tel langage n'a pas sa place sur un 4e de couverture ? Eeeeeet de poser la question est sans doute déjà y répondre ^^'

Autant, avec se présenter, je ne vois pas de souci, autant je maintiens mes doutes sur ta phrase. Mais comme ce n'est pas mon roman...  

Après - et désolée d'être un peu brutale -, effectivement, la 4e ne me parle pas (un peu pompeuse à mon goût). Elle ne me dit pas ce que je vais trouver dans le roman (qui sont les héros, quels sont les enjeux...). J'ai le sentiment que je vais lire un récit philosophique (ce qui n'est pas ma tasse de thé). Si c'est le cas, c'est tout bon.

Dans tous les case, j'espère que Vandi'a trouvera son public.

Merci pour ces conseils Je vais au moins adapter cette phrase, en effet. Pour le reste, c'est vrai que c'est un ouvrage plutôt contemplatif, donc je doute en effet que tu en sois la première intéressée ^^

Citation :

Ao créa les dieux, et les dieux créèrent Vandi’a, la terre des Pensants.

Septième ère du monde neuf. Une nuit calme sur les berges d’un marais séculaire, un disciple assiste à l’illumination de son maître. Les dieux, encore inconnus des mortels, ont pris contact avec leur élu. Ils lui ont demandé, de manière bien sibylline, de trouver le Savoir d’Ao afin de le transmettre aux siens.

Démarre alors un tumultueux voyage jusqu’aux confins du Connu, que l’élu et son disciple vont emprunter sans trop savoir ni quoi ni où chercher. De rencontres insolites en périls mortels, ils vont ainsi arpenter nombre de terres inconnues habitées d'autant de peuples aux mœurs bien différentes des leurs. Jusqu'au bout du chemin, au cœur du Créé, où les secrets divins les attendent dans l'obscurité.

Est-ce que ceci passerait (un peu) mieux ? (J'ai, entre autre, complétement retiré le dernier paragraphe)

Hello Markus,

Félicitations pour ce projet ! J'avais suivi en sous-marin tes pérégrinations couverturesques que j'avais trouvé très intéressantes.

240 000 mots c'est un sacré bébé dis-donc...

Je me permets de me donner mon avis sur ton résumé. Tu prends ou tu laisses, l'avantage avec l'AE c'est qu'on peut rectifier.

Ao créa les dieux, et les dieux créèrent Vandi’a, la terre des Pensants. --> j'aime beaucoup, ça place le contexte.

Septième ère du monde neuf. Une nuit calme sur les berges d’un marais séculaire, --> Là pour moi déjà tu as un problème dans la construction. Si le but de cette entrée est de placer le contexte spatio-temporel de la situation initiale, tu dois le faire tenir en une phrase :  "Septième ère du monde neuf, une calme sur les berges d'un marais séculaire POINT.

Un disciple assiste à l’illumination de son maître. --> confus, tu parles de disciple avant de parler de maître, sauf qu'un disciple tout seul, ça n'existe pas. Alors on va me dire que c'est du chipotage 3000 mais d'expérience, c'est ce genre de détail qui fait ou non la fluidité d'un texte. Là, sur une quatrième, c'est hyper dommage. Autre élément qui joue sur la confusion : le terme "illumination" : on se doute que ça a un sens précis dans le contexte de ton oeuvre, mais pour l'instant on est pas encore dedans, et on a un petit bout de cerveau qui fait "what ça veut rien dire ça"

Les dieux, encore inconnus des mortels, ont pris contact avec leur élu. Ils lui ont demandé, de manière bien sibylline, --> confus et pas très joli. Après c'est personnel mais je n'aime pas les quatrième qui parlent de mystère, de secret etc. On se doute qu'il va y avoir des mystères et des secrets, ce qui est intéressant est de savoir sur quoi ils vont porter. Le fameux "show don't tell" sauce résumé !

de trouver le Savoir d’Ao afin de le transmettre aux siens.

Démarre alors un tumultueux voyage jusqu’aux confins du Connu, que l’élu et son disciple vont emprunter sans trop savoir ni quoi ni où chercher. De rencontres insolites en périls mortels, --> J'enlèverais "mortels" il n'apporte rien sauf de la confusion (ils  vont mourrir plusieurs fois ? ) Sinon, pourquoi ne pas donner leurs noms ?

Ils vont ainsi arpenter nombre de terres inconnues habitées d'autant de peuples aux mœurs bien différentes des leurs. --> Je trouve cette phrase redondante avec celle du dessus, je pense que tu peux l'enlever.

Jusqu'au bout du chemin, au cœur du Créé, où les secrets divins les attendent dans l'obscurité. --> j'aime bien cette fin. ça fait très "voyage au bout de la nuit"

Voilà, je ne sais pas si ça t'a aidé mais si jamais ^^ Bonne route à ton roman

Je trouve ta 4e déjà mieux. Je rejoins Leah sur les enjeux : quels dangers ? et pourquoi ? (Un peu moins de "tell".)
Tu donnes l'impression qu'ils vont errer sans but, donc cela risque de décourager. Il manque pour moi un aperçu de ton univers.

Ao créa les dieux, et les dieux créèrent Vandi’a, la terre des Pensants.

Septième ère du monde neuf. Une nuit calme sur les berges d’un marais séculaire, un disciple assiste à l’illumination de son maître. Les dieux, encore inconnus des mortels, lui ont demandé, de manière bien sibylline, de trouver le Savoir d’Ao afin de le transmettre aux siens. Qui ? Tous les humains de Vandi'a ? Au seul peuple du maître ? Mais s'il y a un maître et un disciple, ne connaissaient-ils pas déjà les dieux ? (ou alors, maître et disciple de quelle "discipline" ?)
Démarre alors un tumultueux voyage jusqu’aux confins du Connu, que l’élu et son disciple vont emprunter sans trop savoir ni quoi ni où chercher. (Alors comment vont-ils faire ? Comment recueilleront-ils des indices ?) De rencontres insolites en périls mortels, (Donne-moi envie... "show" un peu...  tease...)  ils vont ainsi arpenter nombre de terres inconnues habitées d'autant de peuples aux mœurs bien différentes des leurs. Jusqu'au bout du chemin, au cœur du Créé, où les secrets divins les attendent dans l'obscurité.

4e de couverture du tome 1 de la Belgariade, par exemple :

Et les dieux créèrent l'homme, et chaque dieu choisit son peuple.
Mais Torak, le dieu jaloux, vola l'Orbe d'Aldur, le joyau vivant façonné par l'aîné des dieux, et ce fut la guerre. Le félon fut châtié ; à Cthol Mishrak, la Cité de la Nuit, il dort toujours d'un long sommeil hanté par la souffrance. Le fleuve des siècles a passé sur les royaumes du Ponant. Les livres des présages sont formels : Torak va s'éveiller. Et justement l'Orbe disparaît pour la seconde fois.
Que le maudit la trouve à son réveil et il établira son empire sur toutes choses. Belgarath le sorcier parviendra-t-il à conjurer le sort ? Dans cette partie d'échecs cosmique, il a réussi à préserver une pièce maîtresse : le dernier descendant des Gardiens de l'Orbe, désigné par les présages, mais qui n'est encore qu'un petit garçon. Un simple pion, et si vulnérable...

Merci ENORMEMENT pour vos opinions, Florence et Leah, ça me touche beaucoup. Puis-je encore profiter de votre vision éclairée sur cette nouvelle version s'il vous plaît ?

Citation :

Ao créa les dieux, et les dieux créèrent Vandi’a, la terre des Pensants.

Septième ère du monde neuf, une nuit calme sur les berges d’un marais séculaire. Garman y assiste à l’illumination d’Évéal, son maître. Les dieux vrais, jusque-là inconnus des mortels, ont pris contact avec leur élu : ils le veulent trouver le Savoir d’Ao afin de le transmettre à tous les Pensants.

Démarre alors un tumultueux voyage jusqu’aux confins du Connu, durant lequel l’élu et son disciple ne seront guidés que par de bien maigres indices. De rencontres insolites en périls imprévus, ils vont ainsi arpenter nombre de terres inconnues jusqu’à atteindre le cœur du Créé, où les secrets du Grand Tout les attendent dans l’obscurité.

Avec plaisir

Je te propose une version corrigée direct :


"Ao créa les dieux, et les dieux créèrent Vandi’a, la terre des Pensants.

Septième ère du monde neuf, une nuit calme sur les berges d’un marais séculaire. Garman y (enlève, pas besoin) assiste à l’illumination d’Évéal, son maître (--> de son maître Evéal). Les dieux vrais (véritables ? plus élégant), jusque-là inconnus des mortels, ont pris contact avec (appelé) leur élu : ils le veulent trouver le Savoir d’Ao afin de le transmettre à tous les Pensants.

Démarre alors (pour Garman et Evéal) un tumultueux voyage jusqu’aux confins du Connu, durant lequel l’élu et son disciple (ils) ne seront guidés que par de bien maigres indices. --> confus. tu mélange l'idée qu'ils vont être guidés + que les indices sont maigres. A ta place je dirais juste que les indices seront maigres. De rencontres insolites en périls imprévus, ils vont ainsi arpenter arpentront nombre de terres inconnues jusqu’à atteindre le cœur du Créé, où les secrets du Grand Tout les attendent dans l’obscurité.