Bon, verdict : sur la liseuse pas de soucis, ni sur mon ordi 15 pouces ; par contre, problème sur un autre ordi et sur tablette. Je ne sais pas quoi te dire, je trouve ça hyper bizarre.

J'ai fini ma lecture (appréciée), je rédige ma chronique et je t'envoie un petit MP avant pour te tenir au jus.

Merci Sixte.

Ça me perturbe un peu, ce problème de lecture de l'Epub selon les supports, surtout que du 8 mars au 8 avril, personne ne m'en a parlé, mais depuis lundi, je sais qu'il existe. C'est un souci d'ordre informatique, donc je vais demander à mon conjoint de s'y pencher ce weekend. (J'ai fait la correction, la mise en page, mais pour la mise en ligne, le code informatique à la fin, les soucis techniques... heureusement qu'il est informaticien.)

Non mais parfois, l'informatique et ses mystères...

Je vais bientôt entrer dans ma période de dédicaces (du 28 avril au 16 juin).
Les organisateurs du salon du 8 avril m'ont déjà invitée pour le prochain, en 2019.  Je pars donc sur une dizaine de salons par an à proximité de chez moi, ou plus, si je suis aussi invitée en octobre-novembre (pour l'instant, je n'ai rien reçu, sauf pour un gros salon en décembre, mais c'est sur trois jours et je me vois mal quitter ma famille trois jours. La difficulté pour moi est de concilier ma vie d'enseignante, ma ville familiale et puis désormais, en plus de l'écriture, la promotion, la mise en page, les soucis techniques et informatiques, les corrections... mais j'y arriverai.).

On peut en savoir plus sur ces dédicaces? (je suis curieuse et si je peux avoir un exemplaire de Chicago Requiem dédicacé...)

Uniquement près de chez moi. J'ai reçu beaucoup d'invitations, toutes au niveau local (mais ça m'arrange, parce qu'avec mes filles, je ne peux pas aller bien loin...) donc le 28 avril, je serai à Beauvais, le 1er mai, au château de Tilloloy (près de Montdidier, avant un concert d'Albin de la Simone à 18 h et au milieu de festivités, le repas du midi s'annonçant bien... vu que j'aime les châteaux, les manoirs, l'ambiance rétro, ça s'annonce bien ), le 13 mai à Wimereux dans le 62, le 15 mai à Fruges pour Ruralivre (avec mes albums jeunesse), et fin mai (mais j'ai oublié la date) à Eu (apparemment, c'est un grand salon). Les 8-9 juin, je serai chez moi, à Amiens, mais j'étais invitée à Abbeville le même jour et il faut que j'envoie un mail ( ), car je ne peux pas me dédoubler. Je termine le 16 juin à la FNAC de Boulogne-sur-Mer, mais avec le petit bonhomme Flocon (pas avec Chicago Requiem).
En fait, il y a deux dédicaces où je serai sans mon roman (ou alors j'en prendrai quelques exemplaires au cas où...), vu qu'en tant qu'auteur jeunesse, je viens encore de recevoir deux contrats, j'ai une parution annoncée. J'en parle moins, mais mes albums se vendent, sont diffusés, et c'est vrai que j'ai cette chance, même si c'est dans un tout autre registre. Alors j'ai un agenda qui se remplit sans que je sollicite qui que ce soit. J'ai déjà deux dates en 2019, et pour tous mes livres (pas seulement comme auteur jeunesse... même si les dédicaces aux enfants sont celles que je préfère. Ils sont généralement intimidés, sauf les plus grands qui, parfois, me parlent un bout de temps, mais une fois que j'ai écrit leur prénom et qu'ils ont leur livre, c'est LEUR livre. Je me souviens d'une petite fille qui ne le lâchait plus et que je voyais assise dans l'allée en train de le feuilleter).

PS : pour en recevoir un exemplaire papier dédicacé, il suffit de me contacter, sinon.
Le seul souci, ce sont les frais de port. Je veux bien les prendre en charge, ou en prendre la moitié en charge, mais certains acheteurs tiennent à me les payer dans leur intégralité, ce qui est sympa, mais... je ne l'avais pas prévu. (Le genre de dilemme avec moi-même. J'écris : gratuité des frais de port. On me répond : je tiens à les payer. Et après, je suis déboussolée.)

Bonjour,
j'ai supprimé mon dernier post pour ne pas trop multiposter et je vais tenter d'être plus synthétique.
Après six salons, bilan mitigé de ma part. Je suis revenue de trois salons avec le sourire, très contente des ventes, des échanges, et de trois autres salons plutôt déçue, même si pour deux d'entre eux, il y a quand même eu des échanges, avec d'autres auteurs, des idées de projets... Du coup, je pense que la première année, on découvre, et qu'il y a des salons où je retournerai avec plaisir, d'autres où j'étais moins à ma place. (Autre constatation, plus... matérialiste   , la coupure du midi, quand on part manger et discuter avec d'autres auteurs, est une pause que j'adore, et elle existe dans la plupart des salons, où on mange bien, où on a le café.   Et où ça permet de tenir de 10 h à 18 h sans problème. Mais une fois, je ne l'ai pas eue, et... ben ça m'a manqué).
Pour les ventes via Internet, j'en réalise surtout via Amazon et via Facebook, pour la version papier, même si j'ai eu une commande sur Kobo au Québec, et si je suis bien contente de le voir traverser les frontières. Mais même si mon roman est disponible sur toutes les plateformes numériques, ça me donne vraiment l'impression que 99% des ventes ont lieu sur Amazon et Kobo et que ces deux plateformes suffisent (j'en ai eu une seule en dehors de ces deux plateformes, en numérique). En papier, il paraît faire son petit bonhomme de chemin, et j'écris mon roman suivant.

Il est vrai que, la première année, on tâtonne, on découvre (et les lecteurs aussi !) ...
C'est parfois difficile, mais il faut s'accrocher. ^^

Tu cibles quel genre de salons ? J'imagine mal Chicago Requiem dans un truc geek ou dédié à la littérature de l'imaginaire... xD

Et pourtant... les lecteurs qui l'aiment le plus sont ceux qui aiment la littérature de l'imaginaire.
Ça se voit aux notes, aux chroniques. Les lecteurs de thrillers ne l'aiment pas trop, parce que ce n'est pas vraiment un thriller.
Malheureusement, il faudrait que je me lance dans la littérature de l'imaginaire, parce que Chicago Requiem ne fait pas partie de cette catégorie. J'ai une romance steampunk en cours, et je pense qu'ensuite, après ma saga des Henderson je partirai dans cette direction (fantastique et steampunk).
Du coup, pour les salons, généralistes. Mais sur six, trois m'ont plu.

Par exemple : http://lessortilegesdesmots.blogspot.com/2018/03/chicago-requiem-de-carine-foulon.html

En ce moment, je vis même un paradoxe. Il a été sélectionné pour le prix des auteurs inconnus, rebaptisé depuis (cercle anonyme de la littérature, je crois). Or il concourt dans la catégorie "Premiers romans" et plusieurs membres du jury aiment surtout la littérature noire. Ça devrait le servir, mais, au contraire, ça le dessert parce que ce n'est pas un polar, qu'en tant que roman policier, il craint du boudin (je suis d'accord sur ce point, d'ailleurs : aucune enquête, des meurtres dont je ne donne même pas l'identité des coupables, des policiers à la ramasse et se moquant totalement de ce qui a lieu à Chicago, aucun détail sanglant... Mon roman est un thriller "old school" comme Rebecca de Daphné du Maurier, mais si on le rapproche des thrillers contemporains, il n'est pas à sa place).
Par exemple : https://lekilometremanquantweb.wordpress.com/2018/05/06/chicago-requiem-carine-foulon/)

En revanche, il ne concourt pas dans la catégorie "littérature de l'imaginaire", mais quelques chroniqueurs dans cette catégorie l'ont chroniqué en dehors du prix, et là, il plaît. Mais quand je l'avais envoyé à la ME "Plume blanche", ils n'avaient même pas voulu le lire, m'expliquant le lendemain que ce n'était pas de la littérature de l'imaginaire.
Sauf que dans cette catégorie, voilà (et là, le tag "policier" apparaît) : https://ettulisencoreemma.wordpress.com/2018/05/07/chicago-requiem-par-carine-foulon/

En tout cas, même encore maintenant, c'est mon grand souci. Je suis plus une auteure de l'imaginaire, dans le fond. Je me vois bien dans un univers steampunk, ou gothique, dans des salons dédiés à la littérature de l'imaginaire, et j'ai écrit ce roman qui mélange romance à l'eau de rose (mais il y a un peu de romance dans tout ce que j'écris) et univers mafieux des années 20. Mais en même temps, je l'aime, ma saga... mais je ne suis pas dans ma vraie famille littéraire avec cette saga.
Mon plus grand fan, que je ne connais pas IRL, mais qui a acheté et lu tous mes livres, et les deux versions de Chicago Requiem, est d'ailleurs fan de littérature SFFF et de comics.

C'est très large "littérature de l'Imaginaire" (SFFF aussi)
Il faudrait cerner plus précisément, si tu veux y choisir un public-cible...

Steampunk.
Gothique.
19e siècle.

Sauf que Chicago Requiem = 20e siècle.
Thriller + romance + saga familiale = pas de public-cible. La seule cible, c'est moi, qui doit répondre à tout le monde parce qu'il n'est pas assez thriller, ou pas assez romance, ou pas assez historique, ou pas assez saga familiale... Forcément puisque x + y + a + c.... Mélange des genres.
Mais ça va. Il a quand même trouvé son public en virevoltant entre les balles. Il va bien, mais moi, moins.

Non.

Bonjour bonjour ! Je passe par ici pour te dire que si je n'ai beaucoup apprécié ma lecture : personnellement, à l'inverse de certains de tes lecteurs, j'ai énormément apprécié ce mélange des genres. Je l'ai trouvé intelligent et quelque part, cela me parle énormément à moi, qui suis passionnée par plein de choses sans être experte en rien : je n'ai as besoin que ton livre soit un roman noir pour en apprécier les teintes, etc. Pour moi, Chicago Requiem est une saga familiale avec tout ce que cela peut comporter : tensions, drames, romances, mystères... D'ailleurs, je trouve ta couverture bien plus cohérente avec le contenu du roman que celle proposée par ton ancienne ME, mais cela n'engage que moi, juste pour dire qu'à mon sens là-dessus, c'est bien plus pertinent.

Je te souhaite donc encore de tas de belles aventures avec ton roman.

Bonjour Sixte et merci,
je suis dans l'écriture du second tome, qui n'est pas la suite, comme indiqué sur mon mur FB. Je sens qu'il va être imprégné de tout ce que j'ai pu lire sur le premier. C'est une sensation bizarre, l'impression de revenir en terrain connu et de ne plus y être. Le mélange des genres y est toujours, mais ce n'est pas le même roman, et je suis contente d'être libre vis-à-vis de ce que j'écris, parce que ça ne rentre décidément dans aucune grille.