Citation :

Et si dans mon contrat, on m'imposait un nombre de séance de dédicaces obligatoires (voir, dans les moments les plus optimistes, des passages à des émissions télé....) : euh... ça me fait peur !!!... Non, je ne suis pas prête à ça, trop timide, trop introvertie.... (en tout cas, j'irais pas chez Ruquier !!!)

J'aimerais bien avoir des trouilles comme celle-là...

Citation :

Parfois, je me demande si je souhaite vraiment être éditée.... Et si dans mon contrat, on m'imposait un nombre de séance de dédicaces obligatoires (voir, dans les moments les plus optimistes, des passages à des émissions télé....) : Shocked euh... ça me fait peur !!!... Non, je ne suis pas prête à ça, trop timide, trop introvertie.... (en tout cas, j'irais pas chez Ruquier !!!)

Retombons sur terre : il n'y a pas ce genre de clause dans les contrats.

Puis les dédicaces, les salons, les tables rondes, les interviews, etc., c'est comme tout, ça s'apprend, même en étant introvertie.

grenouille a écrit:

Mais, au démarrage : pensions-nous à ces problèmes-là ? Non !  A l'origine, nous avons ressenti une violente envie d'écrire, irrésistible.... Vécu des heures de "transe" parfaite ... L'édition n'a pas été notre but premier - juste la cerise sur la gâteau. Le principal est fait  : nous avons été au bout de notre oeuvre, en sommes satisfait...

Merci pour ce texte.

Je ne cite pas la suite, car contrairement à toi, j'aime les dédicaces, les salons... Mon seul souci étant de réussir à trouver le temps d'y aller (quand je serai retraitée, je pourrai en faire une chaque week-end alors que là, en enseignant et en étant maman, c'est moins évident).

Mais dans ton cas, si tu n'aimes pas communiquer autour de tes écrits, choisir l'auto-édition me semble une bonne idée.

Citation :

Mais dans ton cas, si tu n'aimes pas communiquer autour de tes écrits, choisir l'auto-édition me semble une bonne idée.

aaaaaaaaaaahhhhhhh !!!!!!!!
Et qui c'est qui va devoir démarcher les chroniqueurs et les librairies ? Quand y'a pas d'éditeur, c'est pas l'auteur qui se tape le job de communication ?

Autant être très commercial/social quand on se lance dans l'auto-édition, oui.
Pas de structure derrière les fesses pour nous souffler les réponses et nous tenir la main

Je n'ais pas dis que je n'aimais pas ça... Juste dis que ça me fout les j'tons !... Je ne peux pas connaître l'émoi d'échanger avec mes lecteurs (mais je connais l'inverse, et je kiffe !)...

Et oui... la comm' c'est un métier (pas le mien !)

Je voulais juste souligner que dans un premier temps, le plaisir a été d'écrire, et d'aller jusqu'au bout de l'Aventure...

Citation :

Mais dans ton cas, si tu n'aimes pas communiquer autour de tes écrits, choisir l'auto-édition me semble une bonne idée.

Au contraire, choisis un éditeur qui le fera à ta place (c'est son job).

Séléné.C a écrit:

Citation :

Mais dans ton cas, si tu n'aimes pas communiquer autour de tes écrits, choisir l'auto-édition me semble une bonne idée.

 aaaaaaaaaaahhhhhhh !!!!!!!!  
Et qui c'est qui va devoir démarcher les chroniqueurs et les librairies ? Quand y'a pas d'éditeur, c'est pas l'auteur qui se tape le job de communication  ?

Je me suis aperçue que j'aimais ça.
Bon. Pour la distribution / diffusion en librairie, mieux vaut être édité, on est d'accord.
Pour le démarchage des gros salons, pour envoyer le stock aux librairies en temps et en heure, pour beaucoup de raisons, mieux vaut sûrement être édité(e).
Si on peut avoir un attaché de presse, un interlocuteur au bout du fil, si on est chouchouté, tranquille, mieux vaut être édité.

Mais sinon, être auto-édité, quand on ne supporte pas la pression, quand on est indépendant, quand on veut essentiellement garder sa liberté... peut être une solution. J'ai discuté ces dernières semaines avec des auteurs auto-édités qui sont très heureux de l'être et qui arrivent à vendre leurs romans. Je ne sais pas comment ils font, mais certains cartonnent sur Amazon Kindle. D'autres font leurs 10 ou 20 dédicaces par an, publient chaque année un roman. Il y a de tout dans l'auto-édition, mais ça peut convenir à certains profils.

On s'éloigne un peu du sujet, là, non ?

En même temps, on y a répondu.

Quoique ayant une légère impression de hors-sujet, j'avais commencé à répondre, mais j'ai été déconnectée... comme je suis têtue, je le fais quand même

Spoiler:

Et en profite pour rappeler, juste au cas où, que

Spoiler:

On part sur un H-S où les risques de cris et grincements de dents me semblent mince.... mais puisqu'on est dans la parano....

J'ai lu entièrement ton post mais pas les commentaires
navrée pour les répitions

A partir du moment ou ce n'est que le titre, la réponse est oui, tu es parano et non tu n'as rien a récupéré. Il arrive que des romans aient le meme titre. Si le reste n'a rien avoir avec ton roman alors ce n'est pas du vol

Tu respires, tu te calmes, et tu considères que :
1) Personne ne possède un titre, qui plus est quand il est aussi basique que celui-ci,
2) "Dans de beaux draps" est une expression commune que l'on entend très fréquemment, et qui est déjà le titre d'autres romans, antérieurs au tien,
3) Ce n'est qu'un titre et, de toute façon, le jour où ton roman sera signé, ton éditeur te le changera surement.
Et continue à t'occuper de ton manuscrit.

Valéry K. a écrit:

Tu respires, tu te calmes, et tu considères que :
1) Personne ne possède un titre, qui plus est quand il est aussi basique que celui-ci,
2) "Dans de beaux draps" est une expression commune que l'on entend très fréquemment, et qui est déjà le titre d'autres romans, antérieurs au tien,
3) Ce n'est qu'un titre et, de toute façon, le jour où ton roman sera signé, ton éditeur te le changera surement.
Et continue à t'occuper de ton manuscrit.

Je valide.

Même si l'expérience a de quoi être désagréable, elle n'est pas illégale.

Florence_C a écrit:

Je ne le fais jamais : de nos jours, il est relativement facile de prouver l'antériorité.
Ces sociétés surfent sur la paranoïa des auteurs.

Sur quel(s) moyen(s) comptes-tu pour apporter la preuve de l'antériorité?