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 [ME] Wonderwords

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AntoneRoberts
   
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AntoneRoberts  /  Petit chose



Wonderwords Editions, Littératures de l'imaginaire

♦ Contrat proposé : Compte d'éditeur ou compte d'auteur ?
Maison d'édition à compte d'éditeur
♦ Numérique, papier, les 2 ? (Dans un premier temps, uniquement en édition papier. Les éditons au format numérique viendront par la suite)[/justify]
♦ Critères de qualité :
(La première des qualités reste la forme. Elle doit être soignée, et aboutie, en terme d'expression et d'orthographe. Ensuite, l'originalité est un plus. Et le fond doit être pertinent. Pour en savoir plus, contactez moi ici, ou par mail.
♦ Réseau de vente, distribution, promotion :
(La distribution sera assurée via le site internet, et une promotion se fera systématiquement et pour chaque ouvrage. Chaque ouvrage sera promu auprès des journalistes (entre 2000 et 3000) et diffusé auprès des libraires.
♦ Corrections orthographiques à charge de qui ? :
(La correction doit être effectuée avant envoie du manuscrit par l'auteur, pour une première lecture. Une correction par nos soins sera effectuée par la suite, par un professionnel.
♦ Corrections éditoriales approfondies ?  :
( Oui
♦ Rémunération de l’auteur (en % du prix de vente) :
( De 15 à 20%
♦ Fourchette de prix de vente :
(Entre 18 et 25€ en fonction du nombre de page.
♦ Tirage moyen 1er ouvrage :
(Chaque ouvrage sera tiré à 1000 exemplaires, pour sa première édition
♦ Conditions, modalités d’envoi des manuscrits/tapuscrits :
(Les manuscrits/tapuscrits doivent être envoyés par mail, pour le moment, au format PDF, pour une première lecture.
♦ Adresse contact :
(wonderwords.editions@gmail.com


Pour plus d'informations, suivez ce lien :

https://docs.google.com/document/d/1nYGMtRQWk8At9z_OeRxz6ofMAir7-_lPeZqYubkBscs/edit?usp=sharing

Une petite mise à jour a été effectuée. Vous trouverez en fin de document les adresses de la page facebook et du projet Ulule.


Dernière édition par AntoneRoberts le Jeu 5 Mai 2016 - 10:17, édité 4 fois
 
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Invité  /  Invité


J'ai vu ta présentation sur le site leetchi.com. Tu y dis notamment :

Citation :
Et c’est ce point qui m’a toujours posé problème. Vendre un produit de mauvaise qualité à un client tout en lui assurant, contre mon gré, qu’il est parfait et vaut son prix me révulse.

Sentiment de révulsion qui est pour moi en parfaite opposition avec ceci :

Citation :
(La correction doit être effectuée avant envoie du manuscrit, pour le moment. Un logiciel très performant permet d'obtenir une très bonne première correction. Mais nous ne manquerons pas d'effectuer une vérification.

Aucun logiciel très performant ne remplace un correcteur professionnel. Et aucun éditeur de qualité ne saurait se passer d'un correcteur pro. Ce que tu nous dis là en fait, c'est qu'en gros tu vas produire des romans pleins de coquilles.
Tu peux penser qu'un correcteur pro c'est un luxe dont tu peux te passer. En autoédition, beaucoup le croient, et parviennent tant bien que mal à convaincre des lecteurs. Mais comment convaincre en bout de fil un libraire de mettre en rayon un roman plein de coquilles ?
 
AntoneRoberts
   
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AntoneRoberts  /  Petit chose


Je suis très bien ton raisonnement... Et il est parfaitement juste, seulement tu n'as pas tronqué mes mots, du coup tu peux lire la suite qui dit "Mais nous ne manquerons pas d'effectuer une vérification".

Par ailleurs, je parle bien d'une " première correction". J'utilise un logiciel, pour éliminer quelques coquilles, les fautes idiotes et les problèmes de ponctuation... Je parle d'une première correction, en effet, et je ne surestimes absolument le potentiel de ce logiciel, dans la mesure où j'ai relu mon premier roman environ 10 fois à ce jour... Par soucis de perfection... Et dans la mesure où les romans qui nous seront envoyés seront lu d'un bout à l'autre, je pense pouvoir dire que ce sera évidemment un premier coup d'oeil de ce point de vue la... Dans les six mois qui viennent, je devrais être en mesure de m'attacher les services d'un correcteur pro...
 
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Invité  /  Invité


Je ne comprends pas trop ton propos, en fait, ça me paraît confus. La vérification dont tu parles, qui la fait ? Un correcteur pro ?

Puis bon ça, c'est un contresens :
Citation :
♦ Corrections éditoriales approfondies ?  :
La mise en forme au format éditoriale se fera en deux temps : premièrement, l'auteur recevra des instructions de mise en page spécifique et des conseils, pour obtenir un corps de texte proche du résultat final. Deuxièmement, nous effectuerons de notre côté les derniers ajustements.

Dans l'édition, les corrections éditoriales renvoient au fond du texte (suppression des lourdeurs, des longueurs, des répétitions, des incohérences, réécritures demandées à l'auteur, etc.).

La mise en page, c'est encore autre chose, que ce formulaire n'aborde pas, car il semble évident qu'elle sera faite soigneusement par l'éditeur.
 
AntoneRoberts
   
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AntoneRoberts  /  Petit chose


Le propos, c'est que je ne suis pas sûr que tout un chacun sache utiliser les raccourcis clavier pour les signes de ponctuation, et que certains logiciels peuvent être utiles. La correction sera dans un premier temps effectué par une personne bénévole, avant de pouvoir la confier à quelqu'un dont c'est le métier. Je conçois que ce ne soit pas un procédé rêvé, mais l'effort est fait et je n'aurai pas les moyens d'une grande maison d'édition.

Pour ce qui est de la correction éditoriale, je parle des deux choses que tu évoques. Parce que le fond et la forme sont importants. D'autre part, je n'ai aucune envie de dicter à un auteur ce que doit contenir son récit ou non. Les corrections éditoriales seront principalement ciblées sur les répétitions et les incohérences, mais il n'y aura pas de demande de réécriture... L'auteur s'occupera uniquement de la forme et des ajustement si nécessaire, mais il ne touchera pas à son texte...
 
AntoneRoberts
   
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AntoneRoberts  /  Petit chose


Citation :
Tu peux penser qu'un correcteur pro c'est un luxe dont tu peux te passer. En autoédition, beaucoup le croient, et parviennent tant bien que mal à convaincre des lecteurs. Mais comment convaincre en bout de fil un libraire de mettre en rayon un roman plein de coquilles ?

Honnêtement, si je peux me permettre cette petite précision, je n'ai pas pour ambition de convaincre des libraires, pour le moment.

D'autre part, j'ai lu des livres, édités par de très grandes maisons, bourrés de fautes d'orthographe et de coquilles qui m'ont fait bondir. C'est aussi pour cette raison que j'ai fait des choix particuliers, et que je ne souhaite éditer que 3 ou 4 ouvrages par mois, pour pouvoir travailler chacun d'eux avec attention.
 
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Invité  /  Invité


4 romans par mois pour un tout petit éditeur, c'est énorme s'il prétend faire de la qualité. Vraiment énorme.

Quels moyens comptes-tu mettre pour la promo ? Sous quelle(s) forme(s) ?
 
nestie
   
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nestie  /  Barge de Radetzky


C'est confus... Vous dîites :
Citation :
Honnêtement, si je peux me permettre cette petite précision, je n'ai pas pour ambition de convaincre des libraires, pour le moment.

Pourtant sur le document google il est écrit "Une promotion réelle. Après la création du Bookpress de votre ouvrage, nous le ferons diffuser auprès des journalistes, pour susciter une présence dans la presse, à travers des chroniques et pourquoi pas déclencher des interviews. Une Newsletter hebdomadaire, également. Une série de partenariat, avec des blogs et webzines. Et une diffusion sur le réseau Dilicom, pour toucher les libraires."
Ainsi que "Nous ne diffuserons pas votre œuvre sur les sites de vente en ligne…"

Du coup je me pose la même question que Coline à propos de la promotion.
 
AntoneRoberts
   
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AntoneRoberts  /  Petit chose


Je ne compte pas "convaincre les libraires" en effet, dans la mesure où je ne les contacterai pas directement.

Etre inscrit sur le réseau Dilicom permet simplement d'avertir des sorties de différents ouvrages, d'en indiquer les caractéristiques et ainsi informer les libraires de l'existence de ces ouvrages. De cette façon, s'ils souhaitent proposer les ouvrages dans leur librairie, il le peuvent, en contactant directement la maison d'édition. Il s'agit donc seulement de les toucher et non pas de les démarcher.

Dilicom n'est pas un site de vente en ligne, c'est un réseau destiné aux professionels de l'éditon.
 
Florence_C
   
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Florence_C  /  Sang-Chaud Panza


Je doute qu'un libraire prenne la peine de fouiller le catalogue Dilicom si personne ne vient lui présenter les livres...
Et je pense que ce n'est pas à l'auteur de s'occuper de la mise en page...
Pour l'instant, j'avoue que je suis perplexe quant à votre manière de présenter les choses.
http://fcochet.wix.com/fcochet
 
AntoneRoberts
   
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AntoneRoberts  /  Petit chose


Pour plus de clarté, j'ai aussi mis à jour le formulaire JE en tête de post.

Concernant les libraires, je dirai simplement que je dispose au moins de cet outil et qu'il est possible de contacter ou d'être contacter. Par ailleurs, je n'ai pas vraiment la prétention de proposer les mêmes services qu'une grande maison d'édition.
 
MaddyForeigner
   
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MaddyForeigner  /  Journal du posteur


Et cela me fait penser à :

http://stoni1983.over-blog.com/article-le-profil-de-l-editeur-pourri-comment-l-eviter-un-dossier-complet-109465869.html

Or j'ai déjà donné. Editeur = distribution, et s'il n'y a pas de distribution, alors autant s'auto-éditer.
Or une distribution via Internet n'est pas une distribution.
J'avais signé avec une ME qui fonctionnait ainsi pour mon premier album jeunesse : promo, distribution via Internet (au final, 4-5 articles sur des blogs).
Bilan : 4 ou 5 ventes pour la ME.
En revanche, j'ai vendu, de mon côté, une centaine d'exemplaires (proches, collègues, salons...). Mais j'ai reversé l'intégralité à la ME qui m'a reversé 20 % ensuite (DA + le fait que c'est moi qui les avais vendus...en y passant du temps, notamment pour me rendre à la Poste, préparer les enveloppes, faire les dédicaces...).

Au final, quand j'ai été enceinte, j'ai cessé de vendre l'album (manque de temps). Et là, la ME m'a écrit, 5 à 6 mois plus tard, que comme ça faisait plusieurs mois qu'on en était à zéro vente, elle enlevait mon album de son catalogue mais que je pouvais lui proposer mes futurs manuscrits, bien sûr (histoire d'en vendre encore une centaine et de lui reverser 80% de l'argent récolté ?). A ce niveau-là, mieux vaut l'auto-édition (si l'éditeur ne paie que les frais d'impression...).
 
AntoneRoberts
   
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AntoneRoberts  /  Petit chose


Je n'ai pas l'intention de payer uniquement les frais d'impression...

En m'attachant les services d'une agence de presse et d'une agence de publicité, je fais tout le contraire. Et c'est un investissement considérable. Par ailleurs, je pourrais décider de m'attacher les services d'un distributeur, rien ne m'en empêche, en effet, et leur reverser 40% du prix du livre, et offrir par conséquent 40% de remise à la Fnac ou d'autres grandes "librairies" pour n'offrir que 8 à 10% de droits à l'auteur. Ce n'est pas ce que je veux.

Il ne s'agit pas là que de promotion sur le net, puisque 10 à 15% du budget est consacré à la promotion, auprès des journalistes et dans la presse. Je ne me contente pas de contacter quelques blogs, tout le monde sait que ce n'est pas de cette façon qu'on touche le publique. En revanche ils sont une source de critiques intéressantes et il me parait impossible de m'en passer.
 
AntoneRoberts
   
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AntoneRoberts  /  Petit chose


MaddyForeigner a écrit:
Et cela me fait penser à :

http://stoni1983.over-blog.com/article-le-profil-de-l-editeur-pourri-comment-l-eviter-un-dossier-complet-109465869.html

J'ai consulté ce lien... Au bout du compte, tu as soulevé une interrogation importante, et la promotion auprès des libraires est un élément que je vais prendre en compte.

Passer par un distributeur reste cependant impossible pour l'heure, mais c'est quelque chose qui peut s'organiser de façon différente et pourquoi pas perdurer.

Je comprends ce blogueur et ses injonctions à l'encontre des "pourrito". Mais je pense qu'aujourd'hui, l'édition est sclérosée, pour la simple raison qu'elle joue et rejoue les mêmes partitions depuis des décennies. (à titre d'information, je bosse sur ce projet depuis des mois, et j'ai été en contact avec des tas de gens, depuis plus longtemps encore, pour avoir tenté de faire publier mon propre roman, et l'avoir finalement auto-édité).

Je précise pour finir que j'aurai des locaux, une structure juridique cohérente, un numéro de téléphone, et qu'il est prévu dans le contrat d'édition une clause permettant aux auteurs de s'en libérer, que je me suis attaché les services d'un cabinet comptable et d'un avocat.

En étant moi-même auteur, je ne choisis pas de devenir éditeur pour spoiler des gens de leurs droits ou leur faire miroiter des chimères, mais parce que mon expérience m'a laissé entendre, de bien des façons, qu'il était possible de travailler différemment, sans entraver la visibilité d'un roman. C'est tout le but de mon action. Je me lance dans un domaine en crise, en étant conscient des risques d'échec, et en y investissant mes économies et plus encore...
 
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Invité  /  Invité


Antone, tu as un bouton "Éditer" en haut à droite de tes posts pour éviter les double posts.

Et sinon, par curiosité : comme auteur, combien d'éditeurs as-tu contactés ? Et combien de réponses personnalisées as-tu eues ? As-tu compris au final pourquoi ton manuscrit n'a pas été retenu ?
 

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