Kid a écrit:

C'est comment ?

C'est une longue nouvelle, qu'on peut lire en une fois. Les premières pages peuvent sembler rébarbatives, mais la suite m'a transporté. J'ai apprécié au point d'acheter l'oeuvre la plus célèbre de Melville, Moby Dick, que je compte lire pendant les vacances.

J'ai acheté le livre dans une édition avec une préface de Jean Giono .

Trôme a écrit:

Kid a écrit:

C'est comment ?

C'est une longue nouvelle, qu'on peut lire en une fois. Les premières pages peuvent sembler rébarbatives, mais la suite m'a transporté. J'ai apprécié au point d'acheter l'oeuvre la plus célèbre de Melville, Moby Dick, que je compte lire pendant les vacances.

J'ai acheté le livre dans une édition avec une préface de Jean Giono .

J'ai tellement aimé Moby Dick ... que je pense que je le relirai pas J'avais une belle édition avec couverture en cuir grainé et papier épais, c'était géant.

Du coup, je note dans un coin Bartleby.

En train de lire "La Zone du Dehors" de Damasio. Pour l'instant, je m'ennuie.

Moby Dick est un de mes livres préférés, j'avais tellement adoré sous tous ces aspects, autant scientifiques que littéraires, la prose que l'histoire. Vraiment un roman tellement magnifique. Je sais par contre que toutes les traductions ne sont pas aussi bien, j'avais celle de Jean Giono qui est excellente personnellement.

Volte a écrit:

J'ai tellement aimé Moby Dick ... que je pense que je le relirai pas. J'avais une belle édition avec couverture en cuir grainé et papier épais, c'était géant.

Moby Dick, un livre extraordinaire... pas facile à lire, mais vraiment très fort et envoûtant.

Pour Bartleby, j'ai souvenir de quelque chose d'assez étrange, insolite. Un texte décalé, nostalgique, avec de l'humour et de la poésie. Un personnage tellement original et bizarre... courageux, buté et inconscient des risques qu'il prend dans son obstination, sa marginalité assumée. Beaucoup de charme.

Je lis plein de trucs, certains bien, certains moins bien, tous en anglais.

Audrey H. a écrit:

Moby Dick est un de mes livres préférés, j'avais tellement adoré sous tous ces aspects, autant scientifiques que littéraires, la prose que l'histoire. Vraiment un roman tellement magnifique. Je sais par contre que toutes les traductions ne sont pas aussi bien, j'avais celle de Jean Giono qui est excellente personnellement.

C'est marrant : il me semblait que c'était plutôt la traduction d'Armel Guern qui faisait date. J'avais lu celle de Giono en peinant à tel point que j'en garde un souvenir globalement désagréable — alors que pas du tout pour Bartleby, qui ne lui ressemble que de très loin par ailleurs.

Ça vient peut-être aussi d'une d'antipathie de ma part pour toute l'œuvre de Giono. J'ai dû perdre cinq ans d'espérance de vie en essayant de finir Deux cavaliers de l'orage quand j'étais au lycée.

Ben j'ai fini la vie parfaite de Silvia Avallone... Et j'ai trouvé ça plus confus, j'ai moins aimé que d'acier ou marina bellezza. Déception au final

Tropique du Capricorne.

Troublé et amer.

Kid a écrit:

Tropique du Capricorne.

Troublé et amer.

Pourquoi ?

Je vais attendre d'avoir un peu plus avancé je pense pour développer ma pensée (j'en suis à environ 80 pages, je picore). Pour le moment je retiens sa citation de Hieronymus Bosch, c'est une référence très pertinente étant donné qu'il semble habiter au beau milieu du jugement dernier.
Il joue la brute au milieu d'un trou noir dégueulasse rempli de démons, de fous et d'hallucinations à fleur de peau, même si dans ses introspections les plus profondes il y a de l'amour, la générosité, une forme de révolte positive.
Troublé, donc, et aussi très amer. J'attends d'avancer pour consolider mes impressions

J'ai lu un court roman sur ma liseuse qui m'a sortie de ma petite panne de lecture :
Loin de Berkley Hall de Coralie Khong-Pascaud.
C'était de l'auto-édition chez Librinova à la base, mais le bouquin a été publié par une maison d'édition après son succès sur liseuse.

Eh bah, c'est pas trop mal, ça ressemble à du Downton Abbey, avec tous les petits secrets entre domestiques et le décalage avec les lords et autres comtesses qui se pavanent en robes du soir. Une ambiance bien cool mais une intrigue menée trop rapidement.

Du coup je continue Le vol du dragon de Anne McCaffrey, j'en suis presque à la moitié et j'aime bien.
On m'a soufflé que c'était un classique SFFF un peu vieillissant mais ça passe!

C'est drôle ce que tu dis Kid, car ce que je retiens de l'œuvre de Miller, c'est plutôt une joie monstrueuse et dévorante ; mais c'est vrai que j'ai tendance à mélanger tous ses bouquins (puisqu'ils consistent tous en une fictionnalisation plus ou moins grande de sa vie, avec des épisodes qui se recoupent et sont repris d'un livre à l'autre) ; il reste donc plutôt une impression générale de bonheur, même si Miller a aussi traversé des périodes de dépression qui noircissent considérablement certains de ses livres.
Et je me rends compte que je n'ai pas lu Tropique du capricorne, seulement Tropique du cancer !

Je lis La sixième extinction d'Elizabeth Kolbert qui a reçu le prix Pulitzer en 2015.

c'est pas réjouissant de fou
mais ce genre de livres est très important

Mon futur tuteur m'a donné une énorme pile de livres de la rentrée littéraire. Je vous verrai un petit journal de lecture en temps réel

cool !

Je lis l’historien Cheikh Anta Diop et j’apprends sur l’empire du Mali, Kanga Moussa, la civilisation d’Axoum au Ier siècle, l’égypte antique à la période thinite + ancien empire.

Il y a réellement des personnes qui croient que la colonisation a été bénéfique à l’Afrique noire, ou que « l’homme africain n’est pas entré dans l’histoire » mais fermez bfm