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 Treize [Rue Fromentin]

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Florence_C
   
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Florence_C  /  Sang-Chaud Panza


Comme tu l'as dit, tu n'as pas choisi le créneau le plus vendeur...
Tu nous écris un "feel good" ? Siteuplé... J'adorerais te lire dans ce style. :mrgreen:
http://fcochet.wix.com/fcochet
 
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Maddy, je ne connais pas La sofia. Je me renseigne Wink
Merci beaucoup Lily M. I love you
Florence : Ah non non non. Je ne sais pas faire ça :mrgreen: C'est comme si je te demandais d'écrire un roman réaliste Laughing Tant pis (ou tant mieux) je n'écrirais jamais de best-seller !
 
Fannuscrit
   
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Fannuscrit  /  Hé ! Makarénine


Zelia a écrit:
Je pense que je la connais (elle est chez Michel Lafon ? Parce qu'elle m'a dit que c'etait même 7000 exemplaires ! Ou alors c'est une autre qui est chez Mazarine ? Wink )

ce n'est pas Carène non, c'est l'autre Wink  D'ailleurs chez Albin ils gèrent côté promo, non ?

Edit ; c'est partagé aussi Smile
 
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Invité  /  Invité


En tout cas leurs bouquins marchent bien à toutes les deux, elles ont pas mal de promo et de dédicaces je trouve (comparé à Rue Fromentin en tout cas) Leurs livres sont plus "grand public" que le mien c'est certain mais je me dis qu'aussi quand ça sort en 6000 ou 7000 exemplaires, et que c'est en grosse piles dans plein de librairies, forcément ça interpelle plus les gens et donc, il s'en vend plus. Bon, c'est pas forcément aussi simple, mais bref...
 
Shironeko
   
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Shironeko  /  Tentatrice chauve


Je viens d'aimer ta page. C'est un geste humble, mais une personne de plus, c'est toujours ça de pris =p
 
MaddyForeigner
   
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MaddyForeigner  /  Journal du posteur


C'est triste, tout de même. Ça me rappelle la petite marchande de prose de Pennac.
Je l'ai lu il y  a longtemps mais dedans, il y a un personnage qui est un auteur complètement nul. L'éditrice, la reine Zabo, n'en peut plus qu'il revienne sans cesse à la charge avec ses manuscrits pourris. Elle tape sur la couverture de son roman en disant à Malaussène "Vous vous rendez compte ? Ce type a un problème ! Il écrit Galeries Farfouillettes et il trouve ça drôle !"
Mais à la fin, l'auteur bidon en question perd ses scrupules, écrit sur des thèmes bien commerciaux, bien dans l'air du temps, et il devient riche. Il est toujours nul mais il devient cynique, a les dents longues et son roman est un best seller. Very Happy Laughing
La société a fabriqué un monstre.

C'était une satire de Paul Lou Sulitzer. Je n'ai jamais aspiré à devenir comme Paul Lou Sulitzer.
Tout ça vieillira aussi vite que la chanson de Delerm, les filles de  73 ont trente ans. A déguster bien frais, à oublier aussitôt consommé et si on retrouve tout ça dans 4-5 ans dans les marchés aux puces, ça nous rappellera qu'on n'a plus 30 ou 40 ans. Dans 20 ans, ce sera pire. Et puis voilà.

Qu'est-ce que c'est que ces auteurs de Feel Good qui font Feel Bad leur entourage ? Ce n'est pas parce qu'on a signé avec un grand éditeur ou parce qu'on vend beaucoup qu'on doit s'ériger en exemple en oubliant que si haut qu'on est assis, on n'est jamais assis que sur son cul !
Zut alors ! Il n'y a pas de compétition.
Même un auteur auto-édité, non édité, édité chez Edilivre peut s'amuser et/ou avoir écrit un chef-d'oeuvre. Qu'on songe au Crafouilli de Serge Rivron. Ce n'est pas l'éditeur qui fait l'auteur et je commence à en avoir assez de
Citation :
"Moi, j'ai réussi ! Moi, je sais que mon roman va finir en poche, moi, je sais que je suis un auteur. Tralalère !"
Treize [Rue Fromentin] - Page 6 770102 Ben oui, toi, tu as réussi. Mais qu'est-ce que tu as besoin de couler le moral d'autrui Contre les Caliens alors qu'il est tranquille et que sa prose, en plus, vaut plus que la tienne, littérairement (et non commercialement) parlant.

 
Delf
   
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Delf  /  Journal du posteur


J'arrive après la bataille, mais 700, pour un premier roman, c'est tout à fait honorable. Beaucoup de primo-romanciers se cassent les dents sur la barre des 500... donc bravo!
Je ne sais pas qui sont ces auteures de grandes maison dont vous parlez Fannuscrit et toi, mais c'est clair qu'un placement à 7000 ex, ça n'a rien à voir avec un 1000. Il faut comparer ce qui est comparable. Je me méfie aussi des chiffres et de l'enthousiasme sans tache que certains auteurs affichent sur les réseaux sociaux. Ca n'est pas toujours un reflet fidèle de leur réalité. Ils sont très actifs, donc on les voit beaucoup sur nos fils, ça ne veut pas dire qu'ils ont beaucoup de succès / de ventes. Et la plupart des auteurs, même bien publiés, se bougent pas mal par eux-même (parfois en demandant à leur éditeur de faire la démarche, on est d'accord) pour avoir des salons ou des dédicaces, mais ils ne le disent pas toujours Wink
Mon avis (mais il est purement perso), c'est qu'il faut clairement définir ce qu'on attend d'une aventure d'écriture. Malheureusement, au fur et à mesure, les objectifs qu'on se fixe bougent, deviennent plus exigeants, plus hauts, on en veut de plus en plus. Je suis sûre qu'il y a deux ans, si on t'avait dit que tu serais éditée chez Rue Fromentin et que tu vendrais 700 ex, tu aurais sauté de joie! Mais aujourd'hui (et je suis toute pareille, hein, ne me comprends surtout pas mal!), tu as pris confiance, tu sais que tu peux être publiée, alors tu veux passer à l'échelon suivant. C'est dans la nature des choses, mais je le concède, ça complique singulièrement notre 'remplissage de jauge de satisfaction'.
L'écriture est un job de Sisyphe.... Mon petit doigt me dit que, si tu fonctionne un peu comme moi, quand de bonnes nouvelles tomberont pour ton nouveau roman, tu relativiseras beaucoup plus facilement pour Treize.
On croise pour Pocket, cela dit! Ce n'est pas perdu!
http://www.delphine-laurent.com/
 
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Ah, merci Delf ! C'est exactement ça, sinon Wink Ma mère me dit souvent ça "Rah, il t'en faut toujours plus, hein. Rappelle toi que t'es EDITEE !" Mais je voudrais d'autres romans édités, des romans en poches, des Festivals et plus vite que ça ! Very Happy Ce milieu est déroutant, parfois agréable mais souvent frustrant, malheureusement. Voilà, en fait j'aimerais ne pas me sentir frustrée. Ecrire un roman par an, avec plaisir, et qu'il soit édité à chaque fois :mrgreen:
Bref, 700 ventes ce n'est pas mal, certes. Mais voilà...Sans vouloir en vendre des millions j'aurais bien aimé un peu plus de lecteurs Wink
 
MaddyForeigner
   
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MaddyForeigner  /  Journal du posteur


Il y aura forcément des auteurs qui vendent plus que nous, d'autres qui vendent moins.
Mais si Marc Lévy et Guillaume Musso tronent en tête des ventes, peu m'importe tant qu'ils ne m'écrivent pas sur Facebook : "Tu as vu ? Je vends des millions d'exemplaires parce que mon éditeur se bouge pour moi. Alors que le tien ? Il n'assure pas ta promo, le tien ? Il ne fait pas la démarche de placer ton roman auprès des maisons poche le tien ? Parce que mon éditeur le fait ! ll serait encore plus ravi que moi que mon roman sorte en poche. Mais toi, on te laisse faire la démarche !"
Si Marc Lévy ou Musso agissaient ainsi, je les virerais de mes contacts. Very Happy Razz :mrgreen: Very Happy :bummies: Parce qu'on se sent beaucoup mieux ensuite.  cheers Ce ne sont pas les bonnes ventes d'autrui qui me pompent le moral, je suis très contente pour les auteurs qui reçoivent un contrat d'édition ou vendent beaucoup de livres. Vu le nombre de livres que j'ai chez moi...  tongue  Rolling Eyes
J'avais comme voisines, lors d'un salon du livre jeunesse, deux auteurs réputées publiées chez Flammarion : elles étaient adorables. Et sur le même salon, j'ai rencontré Gilles Bachelet : lui aussi se fond dans la masse. Il nous a offert un café. Vraiment pas le genre à se la raconter. Je ne connais pas ses ventes...mais bon, au rayon jeunesse, c'est un peu comme Claude Ponti : un style reconnaissable entre mille, un grand éditeur (Gilles Bachelet est publié au Seuil), des enfants qui viennent le voir pour lui parler de ses précédents albums. Et bien il a su rester lui-même et ne parle pas de ses ventes. Par contre, il est reparti du salon avec des albums écrits ou illustrés par des collègues, y compris débutants, et il en parlait avec enthousiasme.
Quand un auteur vient parader et gonfler ses plumes devant les autres, en les rabaissant, le tout sur un ton a priori sympathique, mais en fait destructeur, il vaut mieux prendre le large. Ça a des allures de "Je veux t'aider, car moi, je sais ce qu'il faut pour réussir puisque j'ai réussi" mais en fait, non, ça souligne qu'on ne lui arrive pas à la cheville, vu que les siennes ont enflé. Et ce n'est pas possible. Pas besoin de démotivateurs.
:flower:

Bonne journée, Zelia !


Dernière édition par MaddyForeigner le Jeu 29 Sep 2016 - 9:31, édité 2 fois
 
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Invité  /  Invité


MaddyForeigner a écrit:
Il y aura forcément des auteurs qui vendent plus que nous, d'autres qui vendent moins.
Mais si Marc Lévy et Guillaume Musso tronent en tête des ventes, peu m'importe tant qu'ils ne m'écrivent pas sur Facebook : "Tu as vu ? Je vends des millions d'exemplaires parce que mon éditeur se bouge pour moi. Alors que le tien ? Il n'assure pas ta promo, le tien ? Il ne fait pas la démarche de placer ton roman auprès des maisons poche le tien ? Parce que mon éditeur le fait ! ll serait encore plus ravi que moi que mon roman sorte en poche. Mais toi, on te laisse faire la démarche !"
C'est marrant, ça me rapelle quelque chose Rolling Eyes Laughing
Des bises, Maddy
 
MaddyForeigner
   
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Laughing Laughing Laughing

Bises, Zelia !
 
Fannuscrit
   
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Delf a écrit:
. Et la plupart des auteurs, même bien publiés, se bougent pas mal par eux-même (parfois en demandant à leur éditeur de faire la démarche, on est d'accord) pour avoir des salons ou des dédicaces, mais ils ne le disent pas toujours Wink

C'est tout-à-fait ça, et je l'ai découvert, avec surprise, récemment, grâce à une amie auteure, donc. Elle se démène comme tout pour avoir des salons, des dédicaces, etc...   Moi qui croyais bêtement que c'était le rôle de la maison d'édition  !

Zelia : ils vont arriver tes autres lecteurs Smile

Question bête : vous parlez de la sofia : qu'est-ce que c'est ? Pourquoi y adhérer ? merci ! Embarassed
 
MaddyForeigner
   
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MaddyForeigner  /  Journal du posteur


La Sofia : l'adhésion coûte 38 euros, à vie.
Ensuite on touche un peu d'argent une fois par an par rapport aux achats de nos livres par les bibliotheques. J'ai touché 40 euros en 2015, 40 cette année, soit deux fois plus que ce que j'ai payé au départ, et donc l'investissement de 38 euros est vite rentabilisé.
Ça offre certainement d'autres avantages. Ils offrent des formations gratuites, sur Paris, à leurs adherents, des invitations au salon du livre de Paris pour ne pas payer l'entrée, etc.
Un auteur aurait tort de s'en priver. 38 euros, ce n'est pas grand chose.
 
Manfred
   
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Manfred  /  Pouyoute (© Birdy)


J'ai terminé ma lecture.
J'ai trouvé l'écriture fluide et agréable, l'atmosphère est bien là, on rentre parfaitement dans l'intimité d'Alice.
Ce que j'ai moins aimé, c'est d'une part les (trop) nombreux teasers pour rappeler au lecteur qu'il va se passer quelque chose de dramatique que la narratrice voudrait pouvoir effacer et, d'autre part, tout comme Florence, j'ai trouvé qu'il y avait trop d'italique. Trop d'exergue tue l'exergue.
Mais dans l'ensemble, un roman plutôt sympa.
 
MaddyForeigner
   
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MaddyForeigner  /  Journal du posteur


Voila ! cheers lu ! Enfin, fini il y a une heure et besoin de temps pour le commenter / chroniquer.

Je vais peut-être relancer mon bon vieux blog désaffecté :
http://lectiole.canalblog.com/
 

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