C'est sincère.

Chez un homme, outre l'accélération cardiaque causé par l'élan, avec son lot d'incertitude, il y un côté ambigu, étonnement à froid / Pas mécontente non plus, qui est assez sympathique.

Spoiler:

Ça demanderait un retravail dans la forme, par contre.

Maspalio a écrit:

C'est sincère.

Chez un homme, outre l'accélération cardiaque causé par l'élan, avec son lot d'incertitude, il y un côté ambigu, étonnement à froid / Pas mécontente non plus, qui est assez sympathique.

Spoiler:

Ça demanderait un retravail dans la forme, par contre.

Ravie que ca te plaise et de tes commentaires ^^
Peux tu développer ce que je doit retravailler, s'il te plait
Je veux que ce passage soit PARFAIT ^^

Mais merci ca me touche

Tu devrais plutôt profiter de ton inexpérience pour te créer ta propre vision du baiser et l'écrire ainsi. N'écoute pas tous ces vieux croûtons du lycée.

Vieux vieux
Ça dépend pour qui hein

@ViiVii. La forme manque un peu d'ambition. Il va falloir prendre plus de soin pour avoir de la maitrise et une écriture propre. Prendre autant de plaisir à raconter une histoire que la mettre sur le papier. Je ne peux que te conseiller de diversifier tes lectures.
Ton écriture ne manque pas de charme. Un charme de jeune fille. Tu as de l'humour, de l'énergie, de la spontanéité, me semble-t-il. (j'ai aussi lu un peu ton roman.) En progressant, tu auras sans doute une empreinte très sympathique.

Demande toi ce qui fait que ton baiser mérite d'être décrit.

- Tu veux déclencher une érection chez ton lecteur/ sécrétion chez ta lectrice
- Tu veux déclencher une émotion
- Tu veux décrire l'inexpérience/l'expérience de ton personnage
- Tu veux glisser un détail qui n'a rien à voir avec le baiser mais qui sera important plus tard pour comprendre où est caché l'oeuf de dragon en or.
- ...

Ta démarche d'écriture guidera ta façon d'écrire. Souvent, le pourquoi conditionne le comment. (ce qui fait que le "comment" prend du sens et participe à la narration)

Maspo => je dois écrire quoi ^_^ message reçu captain 🙂

Mika ton message m'a tué ^_^

Je rejoins Mika. Il faut partir, à mon sens, de l'effet à produire sur le lecteur.
Dans le livre que j'écris actuellement, il y a un baiser. J'essaye de lui donner plutôt un charme un peu pudique, c'est un baiser spontané, rapide, irréfléchi. Un baiser qui trahit des choses inavouées, un baiser qui "échappe". Donc on est plutôt dans le cas 2 de Mika (en même temps, littérature jeunesse, le cas n°1 est à éviter ).
Il faut aussi s'interroger sur le point de vue : vit-on le baiser dans la tête de celui qui le donne ou le reçoit ?

Le baiser que j'ai mis en spoile, je l'ai écrit hier même *_^

Mais c'est également ce que je voulais dire.
La description dépend de l'effet que tu veux

Merci de vous en tenir aux messages d'entraide. C'est le but de cette sous-section.


Je mets les messages hors-sujet à la corbeille.

Je vois que le principal intéressé qui est Lómion ne s'est pas manifesté sur son topic depuis un moment.
Lómion, as-tu fini d'écrire ta scène de baiser? Veux-tu bien la partager? Ces commentaires t'ont-ils aidé.?
En tout cas, si j'ai un conseil à donner à ce sujet, ce serait -comme ça a déjà été un peu dit ici- de décrire ce baiser comme toi tu le perçois, et comme le contexte de ton histoire en modèlerait les émotions qui l'engendrent et qu'il engendre.

Bonne écriture.

Désolé pour le flood, pour me faire pardonner voila un site que j'aime beaucoup et qui donne des conseils pour à peu près tous et n'importe quoi.

http://fr.wikihow.com/d%C3%A9crire-un-baiser

Déjà, merci beaucoup pour tout ces conseils. Je suis ravi de voir que vous vous investissez encore autant pour me donner de si nombreux conseils.
Je suis en train de prendre compte de tout vos conseils et de travailler sur une scène de baiser que je vous partagerez sans doute dans peu de temps.

Encore un grand merci !

Citation :

Rivée à ses yeux, Azula céda et se pencha vers lui. Elle sentit la main de Nemim remonter jusqu’à son cou pour s’y loger. Son souffle chaud, jusqu’aux battements de son cœur semblaient faire partie de son propre corps. Il était proche, vraiment proche… Elle frissonna en sentant sa main lui attraper fermement le bras. Il se pencha encore, avec un regard mêlant douceur et dureté. Puis ses doigts vinrent lui caresser la joue d’une infinie tendresse, tandis qu’elle n’osait esquisser le moindre mouvement.
Nemim ne se trouvait plus qu’à quelques centimètres de son visage quand elle tourna la tête.
Elle chercha un point à fixer, une échappatoire qui justifierais son geste, en vain. Pourtant, tous deux savaient ; elle avait eu terriblement peur. Peur de concrétiser ses sentiments, de leur donner une dimension réelle et une chance de la troubler

Et

Citation :

Tout se bousculait dans sa tête. Nemim lui apparaissait comme quelqu’un à qui elle pouvait faire confiance, peut-être le seul du campement, mais elle n’arrivait pas à dépasser ce blocage. A s’abandonner.
– Nemim ?
– Oui ?
– Pourquoi tu t’obstine ?
– Q… Quoi ?
Il faillit mal prendre la question, elle vit dans ses yeux le doute s’infiltrer. Sa main se posa sur la sienne juste assez tôt pour dissiper son angoisse.
– Je ne comprendrais jamais pourquoi tu veux tant…
– Pourquoi je te veux tant ?
Elle acquiesça.
– En fait, je ne sais pas non plus. Mais contrairement à toi je ne me torture pas le cerveau pour trouver des réponses qui n’existent pas.
Elle haussa les épaules, croisa son regard à nouveau. Céda.
Nemim l’attira contre lui, savourant son regard qui pour la première fois, s’apaisait. Elle ferma les yeux. Leurs lèvres se rencontrèrent enfin.

Juste comme ça, mais pourrais-tu ajouter/dire pourquoi tu postes deux passages sans un petit mot, une indication, un conseil ?