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 Le temps qu'il fait.

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Lómion
   
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Lómion  /  Clochard céleste


Bonjour !

Aujourd'hui, j'ai crée ce topic pour vous demander si la météo influence votre façon d'écrire.
Aimez-vous mieux écrire quand il fait du soleil ? Ecrivez-vous moins bien quand il y a de l'orage ?

Moi personnellement, le temps qu'il fait ne me touche pas beaucoup, j'écris sans faire attention à ce qui m'entoure...

Et vous ?
 
Ondae
   
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Ondae  /  Petit chose


La pluie me fait frissonner. Elle m'inspire.
 
amysdream
   
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amysdream  /  Pour qui sonne Lestat


Beau ou mauvais, m'en fou ! J'écris peu importe le temps ^^
http://mchevalier.canalblog.com/
 
Arkash
   
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Arkash  /  Didon de la farce


Pareil, ça n'a pas d'incidence sur mon écriture... je suis un grand amoureux de la pluie mais ce n'est pas pour ça que j'écris plus sous une averse ! ^^
 
Lysere
   
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Lysere  /  Barge de Radetzky


Pour ma part, le temps va influencer mon état d'esprit, donc forcément il y a des moments de prédilection. Si je devais donner un temps idéal ce serait la nuit par grand vent. Pluie ou orage c'est mieux pour l'ambiance mais mon préféré c'est quand le vent souffle fort et fait claquer les drisses contre les mâts.
http://lysere.eu
 
DC
   
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DC  /  Gueule d'ange et diable au corps


Ce qui est certain en tout cas, c'est qu'on retrouve le climat dans mon écriture.

Un copain m'avait envoyé par mail a propos de mon premier essai de roman "le balcon": "Je ne connais pas tes maîtres, dont le narrateur parle assez souvent, mais de mon point de vue tu as un style a toi. Et j'oserais même dire un style méridional. Te souviens tu de ces vieux films de l'Italie des années 50 et 60 avec cette omniprésence du soleil et des humeurs corporelles. Il y a un peu de ça ici. "

Et je m'aperçois qu'il y a aussi beaucoup de ces orages, de ces pluies diluviennes, de ces épisodes méditerranéens...

Mon écriture est le produit du monde dans lequel j'évolue, de son environnement, de son atmosphère.

Un peu comme quand on lit Canada de Richard Ford, ou d'autres auteurs de l'ouest, on ressent vraiment les grandes plaines et le ciel immense, bleu ou nuageux qui t'écrase...
 
Writer
   
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Writer  /  Gloire de son pair


Je ne sais pas si le temps modifie mon écriture mais une chose est sûre, je préfère écrire quand il pleut... Car si il y a du soleil, j'ai tendance à me dire : Mais pourquoi tu sors pas alors qu'il fait beau ?
 
Le poète mercurien
   
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Le poète mercurien  /  Autostoppeur galactique


Alors la météo n'a aucune influence sur mes mots ! Je n'ai pas un temps où je préfère écrire, ni un temps précis où j'écris mieux !

Cependant le ciel est un sujet dont j'aime parler dans quelques uns de mes écris car je resterais toujours admiratif du ciel nuageux. Je l'ai toujours décrit comme une oeuvre d'art abstraite en constant mouvement et où les nuages sont les coups de pinceaux perpétuellement visibles.
 
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Invité  /  Invité


Le temps, les saisons influencent mon humeur et ma vitalité. De ce fait, je ne traite pas un thème avec le même dynamisme ni le même état d'esprit. Dire que la pluie me fait écrire sombre et triste, et que le soleil me pousse à écrire joyeux et lumineux serait tout de même caricatural.
Mais je note une tendance pour une atmosphère plus fermée par temps pluvieux, et plus ouverte par ciel clément. Par contre, la température ne m'influence pas. Smile
 
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Ayant une santé en mousse, il est bien évident que je ne saurais travailler par 40 de fièvre. Donc la météo m'influence indirectement.

Après, si j'ai un bon chauffage près des pieds - ou mieux: un bon petit feu de cheminée - qu'il pleuve qu'il vente, peu importe.
 
V. Desclos
   
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Personnellement, j'ai un corps extrêmement fragile en raison d'une tentative de suicide qui, à défaut de me faire passer dans l'au-delà, m'a totalement déglingué. Pas mal d'opérations chirurgicales très lourdes pour me remettre sur pieds... Me voilà devenu une vraie grenouille capable de prédire la météo d'après la douleur que je ressens.

Donc oui, le temps a une incidence. Pour mieux le formuler et mieux retranscrire la chaîne des causes et des effets, la météo influe sur mes douleurs physiques qui elles-mêmes influent sur mon écriture.
 
Pangolin
   
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Pangolin  /  Très premier degré


V. Desclos a écrit:
Personnellement, j'ai un corps extrêmement fragile en raison d'une tentative de suicide qui, à défaut de me faire passer dans l'au-delà, m'a totalement déglingué. Pas mal d'opérations chirurgicales très lourdes pour me remettre sur pieds... Me voilà devenu une vraie grenouille capable de prédire la météo d'après la douleur que je ressens.
Sinon, y a l'appli Météofrance. Penses-y, la prochaine fois.

J'ai toujours préféré la pluie, ça met de bonne humeur. Là je vois les nuages gris à l'extérieur, peut mieux faire. Le soleil, c'est bien en vacances, et encore, pas tout le temps. Trop l'impression d'avoir une grosse ampoule qui me grille le cerveau.
 
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La seule fois où le temps m'a vraiment influencé, ce n'était pas le temps en soit qui jouait, mais le fait que je vivais sous un toit. C'était merveilleux: en hiver lorsqu'il neigeait, j'étais comme enterré dans un igloo, et lorsqu'il pleuvait ou qu'il y avait du vent, j'avais ce bruit très fort, omniprésent, je pouvais couper musique, télévision et toute autre source de bruit, c'était très apaisant. Alors travailler dans ces conditions, ça devient intéressant.

D'ailleurs, c'est un sujet que j'ai déjà vu traité dans certains articles: des étudiants qui surprenaient leur entourage car, plutôt que le silence, c'est le bruit qu'ils cherchaient pour se concentrer. Ils cherchaient ce que l'on appelle des bruits blancs: un bruit continu. Avec du vent, de la pluie, mais aussi le brouhaha d'une foule dans un bar. C'est à dire que le bruit peut-être très fort en décibels, du moment qu'il est continu, c'est comme si sa puissance en était amoindrie.

Peut-être que certains trouveront leur bonheur sur les smartphones: il existe de applications téléchargeables qui reproduisent ces bruits blancs.
 
V. Desclos
   
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V. Desclos  /  « fkshdgk bla bla #zbūñ,, »


Pangolin > Pas bête ! Je n'y avais pas pensé... La prochaine fois, je me souviendrai de ce conseil.
 
Pangolin
   
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Pangolin  /  Très premier degré


De rien l'ami.
Du coup tu m'as rendu curieux : l'écriture, à travers cette douleur, c'est une forme de morphine pour distraire l'esprit, un exutoire, que tu cherches à abréger ou il y a une sorte de plaisir un peu masochiste à écrire dans ces moments (le seul exemple que je trouve, c'est la pulsation qui enserre la cheville quand tu te fais une entorse) ?

Bon désolé, c'est plus le sujet, mais je trouve la notion de douleur dans l'écriture un peu plus intéressant, surtout que je suis incapable d'écrire si j'ai la migraine, une grippe, des courbatures après le sport...
 

 Le temps qu'il fait.

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