Citation :

Mercredi 17/06/2015 :
CONSTANCE 1841/3500
Rythme : Petit, mais je continue à avancer quand même. Par contre, j'ai l'impression que je ne finirai jamais ce premier chapitre !

Mercredi 17 / 06 / 2015 :
CONSTANCE 3240 / 5000
+0. Bon, on fera mieux demain, hein…

Citation :

Jeudi 18/06/2015 :
CONSTANCE 2564/3500
Rythme : Bon rythme, mais j'ai toujours l'impression de stagner dans l'intrigue ! J'espère quand même finir ce chapitre d'ici la fin de la semaine...

Jeudi 18 / 06 / 2015 :
CONSTANCE 5248 / 5000
+2008 sur le Dreamverse, ça y est ! Ça avance. Plus ou moins. Chapitre 2 commencé. Mais chapitre 1 pas terminé. Bon, on va dire que c'est quand même pas mal. On est quand même déjà jeudi, je sais pas si je pourrai finir le chapitre 1 et le poster avant dimanche… J'espère.

Citation :

Jeudi 18/06/2015 :
CONSTANCE 2140/5000
Rythme : Bon j'ai toujours du mal avec ce chapitre 13. J'ai encore ma dernière scène à écrire pour le finir. Alors courage à moi même hihihi. EN ce qui concerne PI, chapitre 2 enfin commencé, bon une petite première partie, mais c'est déjà ça. (J'avais oublié de le compter à mon dernier chek de constance). Pour finir la semaine, je veux finir ce fichu chapitre 13 et pourquoi pas avoir commencé le chapitre 2 partie 2 de PI

Citation :

vendredi 19/06/2015 :
CONSTANCE 1824/1500
Rythme : J'ai bien avancée dans mon chapitre, j'ai fait quelques sauts dans les précédents. Je suis plutôt satisfaite de ma nouvelle scène.

Citation :

Vendredi 19/06/2015 :
CONSTANCE 3155/3500
Rythme : Bien avancé aujourd'hui ! Je remercie la SNCF (c'est la première fois que ça m'arrive), qui n'a toujours pas la wifi dans ses trains, ce qui m'a permis de ne pas divaguer sur internet et de me concentrer sur mon texte. Dernière ligne droite demain, parce que je ne pourrai pas écrire dimanche

Vendredi 19 / 06 / 2015 :
CONSTANCE 6358 / 5000
+1110. Bien. À demain.

Citation :

Vendredi 19/06/2015 :
CONSTANCE 4008/3500
Rythme : toujours pas écrit une ligne de la romance...

Citation :

Samedi 20/06/2015 :
CONSTANCE 3018/5000
Rythme : J'ai fini le chapitre 13, enfin. Plus que deux chapitres à pondre avant le nano. Demain, j'essaye d'avancer sur PI et commencer le chapitre 14.

Citation :

Semaine du 15/06/2015 :
CONSTANCE 3926/3500
Bilan : J'ai enfin réussi à boucler ce premier chapitre qui n'en finissait pas, et qui m'a pris toute la semaine. Je vais pouvoir en attaquer un nouveau dès demain.
Constant !

Citation :

Semaine du 15/06/2015 :
CONSTANCE 4002/1500
Bilan : Je me suis beaucoup amusée à écrire mon chapitre ainsi que le suivant. Je dois avouer m'être laisser emportée par mon personnage et nous nous sommes bien régalés.
Constante !

Citation :

Semaine du 15/06/2015 :
CONSTANCE 3018/5000
Bilan : Crosse flemme, mais au moins j'ai réussi à finir mon chapitre 13 et commencer le chapitre 2 de PI
Paresseux...

Semaine du 15 au 21 / 06 / 2015 :
CONSTANCE 6980 / 5000
+622 mots (samedi). J'ai vraiment beaucoup touché à mon roman, cette semaine, je suis assez content. Il va falloir que j'arrive à accélérer le rythme, maintenant, en vue du marathon du Camp NaNo…
Constant !

Citation :

Semaine du 15/06/2015 :
CONSTANCE 4669/3500
Bilan : pas fini la correction de la première partie des Sept Familles, mais ! j'ai enfin réussi à poser la première pierre de L'Ultime Sortilège !

Citation :

Tarek creusait le sable et la poussière depuis l’aube. De glacé, le vent s’était fait de plus en plus chaud ; à présent il ruisselait de sueur et son dos était trempé. Mais il continuait de creuser, inlassablement. Il était payé pour ça. Oh, rien d’extraordinaire, mais que pouvait espérer un jeune villageois comme lui, coincé entre le désert et la mer ?
Alors il creusait, cerné par les murs de la tour écroulée depuis des milliers d’années. Plusieurs fois depuis ce matin, il avait cru entendre un bruit. Comme un soupir murmuré, un soupir poussé par une femme. Malgré la chaleur, il avait frissonné. Son imagination devait lui jouer des tours. Ou la chaleur alors ; il fallait penser à boire de l’eau régulièrement, surtout à cause de la poussière qui lui remplissait la bouche malgré le chiffon noué autour.

Au début de la semaine, ils étaient tombés sur une salle remplie de tablettes en argile. Depuis, Tarek en déterrait des centaines chaque jour, mêlées aux gravats. Beaucoup étaient cassées, mais encore plus se révélèrent à ses yeux, intactes comme si elles avaient été gravées la veille. Couvertes de ce qui ressemblait à des petites pattes d’oiseaux ou des bâtons qui se croisaient, elles contenaient un savoir qu’il était incapable de déchiffrer. Mais pas le professeur Otocyon.
Le vieux Français les regardait apporter les tablettes au camp avec des yeux d’enfant, abrité sous son chapeau de paille. Il était bizarre, d’ailleurs, mais Tarek l’aimait bien. Il n’était pas comme beaucoup d’Européens, il ne méprisait pas les gens qui vivaient sur cette terre. Un soir, il avait même sorti une tablette, et l’avait lue aux travailleurs alors qu’ils mangeaient. La voix du professeur Otocyon s’était élevée au-dessus du crépitement des flammes, parlant un arabe trop parfait, avec des intonations exotiques mais qui n’avaient rendu son récit que plus captivant : à la lueur du feu, les anciens dieux avaient paru reprendre vie au son de sa voix grave.

Constant !