Florence a écrit:

De plus, le principe de l'augmentation du prix du livre me semble aberrant.

Mais oui, ça, c'est énorme (plus tu es "populaire", plus ton livre devient cher, youpiii ! Bonjour la cohérence ! en général, le prix du livre est lié au nombre de mots/pages, point barre.)

La loi de l'offre et de la demande ! Elle ne s'applique pas partout, et heureusement sinon on est mal barré. Les spaghettis à 15 euros non merci. Cela dit, pour un livre, ça ne me choque pas. Je dirais même que c'est pertinent.

Bah moi ça me choque et pas qu'un peu, parce que quand tu réfléchis un peu imaginons que le prix soit gage de qualité ( et vu le principe précité je suis franchement pas convaincue, comme le dit Molly plus un truc de popularité basé sur du vent) cela voudrait dire que l'ouvrage ne sera accessible qu'à ceux qui en ont les moyens.
Donc vive les spaghettis libérés et accessibles à tous.
Par ailleurs, le principe est complètement boiteux à mon sens.
Payer quelque chose 15 euros plus cher que ce que l'a payé ton voisin deux mois plus tôt ?

Pareil. 
Depuis quand un poche de S. King coûte plus cher qu'un autre ?

C'est à se demander si c'est légal, d'ailleurs, le prix d'un livre qui augmente en fonction du nombre de ventes ... ça me semble plus que louche (pour ne pas dire chelou). Normalement (du moins pour le livre papier), le prix est fixé par l'éditeur en même temps que l'ISBN, c'est un prix unique (le même sur toutes les plate-formes de vente, etc. + ou - 5%) et je ne pense pas qu'il puisse évoluer en fonction du nombre de ventes (non mais oh !)

Hey, il y a une limite à 12 euros. C'est la moitié d'un grand format et le prix d'un poche. C'est raisonnable !
Je suis issu du commerce (money, money) donc je salue le principe car le livre n'est pas un produit de première nécessité.
Il n'est pas non plus question de le vendre une fortune. Bien que dans ce cas précis, 7 euros de différence, c'est trop, je vous l'accorde, surtout en comparaison au prix de départ.

Voilà, voilà.

12 c'est raisonnable oui... pour un livre papier. En plus il me semble que le prix d'un ouvrage, peu importe sa popularité, doit-être fixe (sauf promo particulière).

Sans parler du reste de leur "formule"... ça ressemble à du fonctionnement de compte d'auteur.

Citation :

La correction orthographique dans la plus part des contrats de maisons d'édition restent à la charge de l'auteur.

La maison, qui d'ailleurs n'était plus tellement numérique, annonce sa fermeture.

Oh bah tiens… quelle surprise.