Madouce a écrit:

[...] après tout c'est en écrivant qu'on devient écrivain.

Mais selon J.M.G. Le Clézio, « C'est en faisant semblant d'être écrivain qu'on le devient vraiment. »

J'en déduis le conseil suivant : raconte à tes proches que tu as quasiment fini ton premier grand roman et que tu es à la recherche d'une maison d'édition digne de ton chef-d'oeuvre. Je prédis qu'ils n'arrêteront pas de t'interroger. Enfin, ta fierté te pousseras vers la réalisation du roman.

Perso, j'ai  besoin, de temps, de tranquillité, de temps et de tranquillité. Le genre de truc qui se trouve plus facilement entre 22 h et 6 h du matin. Donc j'essaie de m'adapter en conséquence. De me fixer des   objectifs. Avoir l'activité la plus stupide à faire à côté pour reposé ma barbaque cérébrale. Et puis j'attends de me transformer en citrouille. Parce que les citrouilles ont beaucoup moins de problèmes existentiels...

Lorsque tombe le crépuscule et que résonne les hurlements des loups.....

Trop de romantisme ...

Myrdhin a écrit:

Trop de romantisme ...

Il en faut bien tout de même. Si la création n'est faite avec un minimum de romantisme elle perd un peu de son sens.

JE c'est toujours pareil: plus de b******** sur le quand,pourquoi,comment, est ce que ma ptite soeur morte est un bon sujet, sur écrire, au lieu d'écrire!
  

Je ne peux pas généraliser à ce sujet, mais j'abonde à la fin du propos de Fabre.
Sinon, j'écris sans romantisme, mais avec ... disons ... scientisme.