Ensuite, ne cherche peut-être pas à viser un public dès le début. Cherche plutôt ce que tu veux transmettre. L'essentiel est que d'abord tu te fasse plaisir

Très compliqué. On peut avoir soixante ans et raffoler des histoires fantasy ou des romans à l'eau de rose.
Ou alors 14 ans et des histoires gore avec plein de sang et de meurtres. En fait ce boulot, c'est les éditeurs qui le font ou semblent mieux adaptés à le faire car eux, ont en tête ou essaient de visualiser pour qui l'écrit est adressé et quel public il peut viser.
Question pépettes, bla-bla ligne éditoriale mais pas uniquement...

Merci à toi Kamandi

Gribouilleuse et Shub, merci pour vos messages mais comme je le disais dans le post précédent, j'écris pour moi, je cherche juste à modifier le résumé afin d'attirer les personnes qui vont kiffer l'histoire et non attirer les gens que ça intéressent pas (ce qui est le cas actuellement vu la gueule de mes statistiques). Et pour faire ça, il faut que je sache quel public est intéressé par ce genre d'écrits afin d'appuyer sur ce qu'il faut dans mon résumé.

Et comme je le disais, je ne cherche pas à me faire publier en version papier pour le moment. Ce qui m'intéresse c'est d'abord de proposer une histoire de pas trop mauvaise qualité en e-book, gratuitement. Après si ça plaît aux gens, on verra pour la version papier mais je veux que l'e-book reste toujours gratuit et libre d'être distribué.

C'est une bonne idée Brainy. Seule une véritable passionnée aurait été capable de dire ça ^^

BrainyLegs a écrit:

Gribouilleuse et Shub, merci pour vos messages mais comme je le disais dans le post précédent, j'écris pour moi, je cherche juste à modifier le résumé afin d'attirer les personnes qui vont kiffer l'histoire et non attirer les gens que ça intéressent pas (ce qui est le cas actuellement vu la gueule de mes statistiques). Et pour faire ça, il faut que je sache quel public est intéressé par ce genre d'écrits afin d'appuyer sur ce qu'il faut dans mon résumé.

Une piste : ne pense plus "auteur" mais "lectrice". Qu'est-ce qui t'attires, toi lectrice, lorsque tu lis un résumé de roman ? Ce qui va te donner envie d'aller plus loin, de pénétrer dans l'univers de l'auteur ?

Car, avant d'être auteur de ton roman, tu en es aussi lectrice. En toute logique, tu as écrit quelque chose que tu aurais aimé lire (c'est comme ça que je fonctionne).

De même, ce que tu as écrit a été influencé par des lectures, des films... d'autres œuvres. Ca aussi, ça constitue une piste pour définir un public par analogie avec les influences de ton roman.

Reste proche de ce que tu écris et surtout de toi, mais si tu écris et à partir du moment où tu verses dans l'acte d'écrire, les deux risqueront d'être fatalement  liés.

P.S. Je sais pas ce que ça vaut comme conseil, et comme j'ai tendance par moments à être farouchement auto-critique, je dirais que c'est peut-être nul ! hahaha..
Bon ben bof!
Bonne soirée

Faust Federel a écrit:

Une piste : ne pense plus "auteur" mais "lectrice". Qu'est-ce qui t'attires, toi lectrice, lorsque tu lis un résumé de roman ? Ce qui va te donner envie d'aller plus loin, de pénétrer dans l'univers de l'auteur ?

Car, avant d'être auteur de ton roman, tu en es aussi lectrice. En toute logique, tu as écrit quelque chose que tu aurais aimé lire (c'est comme ça que je fonctionne).

De même, ce que tu as écrit a été influencé par des lectures, des films... d'autres œuvres. Ca aussi, ça constitue une piste pour définir un public par analogie avec les influences de ton roman.

Un grand merci à toi, c'est p-e idiot mais j'avais pas vu ça sous cet angle-ci. Ça m'a beaucoup aidé, merci

Mikaroman a écrit:

Ecris pour toi, et laisse le public qui te ressemble te rejoindre.

Voilà, pour moi tout est dit dans cette phrase.
On écrit pour soi et au final cela vise les personnes qui te ressemble ou aime ce que tu aimes, tout simplement.
Moi quand j'écris, maintenant je connais ma cible, mais au début j'ai juste écrit en pensant à ce que je voulais écrire, ce que j'aurai aimer lire. Après une fois le livre finit, c'est facile de trouver la cible, car elle te ressemble.