Shub a écrit:

Esaqui a écrit:

Bonjour,

A coup sûr vous ne parlez pas de chum éditions, chez nous nous prenons tout ce qui a un air de qualité.

Cdlt

Trop vague, trop général... En bref, trop beau pour être vrai!

Impossible de croire que vous n'avez pas de ligne éditoriale.
Et même assez précise. Ceci dit c'est votre droit (et comment!) mais mieux vaut jouer franc jeu.
Surtout ici.

Tout ce qui a de la qualité, dites-vous... hmmm...

Shub, je ne vous suis pas très bien. Nous proposons à des auteurs, ceux que notre comité de lecture retient, la ligne éditoriale d'un éditeur généraliste de littérature en langue française.
Nous sommes un éditeur associatif, au service des auteurs, quel que soit le genre. Hormis les éditeurs qui se sont spécialisés, les autres sont généralistes. Et notre mode de fonctionnement nous conduit à rester ouverts. Nous sommes transparents, tout est écrit sur notre site. Si nous avions des restrictions elles seraient mentionnées.

Pour le catalogue jeunesse, c'est simple, nous n'avons pas eu de propositions d'auteurs "en direct". Nous avons un partenariat amical avec Optimisterre, nous proposons ses livres, il propose certains des nôtres. Si demain des auteurs jeunesse veulent nous rejoindre sur d'autres thèmes ils seront les bienvenus.

Bien à vous

Vu la vitesse à laquelle vous répondez quand on vous soumet des textes, j'en déduis que vous ne prenez pas la peine de les lire sinon suivant des diagonales très rapides. Vous avez une ligne éditoriale précise et ce qui ne convient pas des les premières pages voire premières  lignes vous le refusez. C'est votre droit le + strict bien sûr, ô combien.
Et la réponse fait 5 mots: court, précis, laconique et sans commentaires. C'est votre droit et de toute façon il faut que je m'habitue à votre façon à vous de répondre, vous les éditeurs. Il y en aura d'autres comme ça, je le sais.
Sinon en parcourant rapidement votre site, votre projet d'édition associative à l'air sympa.

Bonne suite

Nous demandons aux auteurs de nous adresser les deux ou trois premiers chapitres de leur livre accompagné de sa présentation. Rendez grâce à notre expérience qui nous permet de dire très vite si un texte est écrit correctement ou pas. Je vous accorde toute la part de subjectivité que cela contient.
Si nous estimons qu'il y a matière à publier, alors nous demandons le texte dans sa totalité, nous le lisons, nous l'annotons et nous proposons des corrections à l'auteur.
Notre exigence rend service à tous nos auteurs, sinon, nous ne serions ni plus ni moins qu'un imprimeur en ligne, ce que nous ne voulons pas être.

Quant à la façon de répondre, au début, nous expliquions les raisons de notre refus. Pour nous faire engueuler deux fois sur trois par les auteurs déçus. Je le comprends. Si l'auteur le demande nous lui donnons nos raisons. Les autres éditeurs ne vous donneront pas d'explications, s'ils vous répondent.

Je vous invite à acheter l'étude que nous publions: "comment les maisons d'édition choisissent-elles les auteurs de demain." C'est édifiant et utile pour les auteurs qui recherchent, plus d'une centaine chaque jour, tous éditeurs confondus.

De toutes les formes d'expressions, l'écrit est le plus facile parce que tout le monde sait lire et écrire. Alors, beaucoup pensent qu'il suffit de mettre des mots ensemble pour être un auteur. C'est loin d'être aussi simple.

En complément: il ne s'agit pas d'une ligne éditoriale, mais de l'idée que nous nous faisons de la qualité d'un manuscrit.

Demande de contact avec vous via Facebook

Payer pour être édité, même payer très cher, ce n'est pas forcément un problème. En effet, il est normal pour l'écrivain d'aider son éditeur, surtout si cet éditeur n'est pas énorme. Après tout, ils sont un peu liés : si l'un tombe, l'autre tombe aussi.

Par contre, si l'écrivain paye, ou doit acheter un certain nombre de ses propres livres (ce qui est une manière un peu plus sympa de soutenir l'éditeur), il est normal de réclamer la mise en librairies du livre, une bonne visibilité et une publicité correcte. Car si c'est pour avoir son livre publié en numérique, ne jamais le voir affiché en librairies et ne pas participer à des dédicaces, autant utiliser l'argent pour autre chose.

En tout cas je préfèrerais payer 15000 euros pour voir mon livre placé devant aux côtés des nouveautés et visible aux yeux de tous dans toutes les librairies et FNAC du pays, plutôt que de payer 100 euros pour voir le texte mis en ligne sur quelques sites Internet.

T'es riche.

Le mieux serait de croire un peu à l'intérêt de son livre non....?

Je pars du principe qu'une bouse, même avec la meilleure des pubs restera une daube que les lecteurs abandonneront facilement (sauf dernièrement le livre de traversière pour ne pas la nommer   )

Pour moi, le bouche-à-oreille est la meilleure des publicités...

Le kid a écrit:

Le mieux serait de croire un peu à l'intérêt de son livre non....?

Je pars du principe qu'une bouse, même avec la meilleure des pubs restera une daube que les lecteurs abandonneront facilement (sauf dernièrement le livre de traversière pour ne pas la nommer   )

Pour moi, le bouche-à-oreille est la meilleure des publicités...

Traversière ! Bien trouvé !