Ce que le nanowrimo m'a appris (désolée Jesus, je vais de ce pas me confesser).

- Nyjée écrit plus vite que son ombre, mais ça je le savais déjà.
- Darky est un geek et dort même devant son pc.
- Penseur, toujours prêt !
- AbImo qui se surprends elle-même de son avancement.
- Pom prend le nano pour une aire de repos.
- Loh aime ses p'tits chats.
...

Plus sérieusement, partagez votre expérience du nanowrimo :
- Les embûches qui vous ont retardé dans l'écriture
- Des conseils pour garder une constante
- Des suggestions
- Tout simplement votre "journal de bord" ou un petit spoiler sur votre roman.
- ...

Opter pour la sélection personnalisée (JE's) lors de l'attribution des cabines pour ne pas se retrouver avec uniquement des Anglophones.

Au prochain nano, il faudra que je veille à faire un plan ; avoir l’histoire en tête ne suffit pas, sinon panne d’inspiration lors des ww’s et désordre total quant à la structure du récit.
Les ww’s sont très pratiques pour maintenir une constante.
Avis aux gentils organisateurs du nano entre JE’s, trouver un site de tchat qui donne une grande flexibilité au niveau de la configuration (polices, grandeur de la fenêtre,...).

C'est tout pour le moment, expérience à renouveler, je ne pensais que je pouvais écrire autant en quelques minutes et le tchat est motivant, tout comme les ww's.

Est-ce que quelqu'un connait le nom d'épées de type moyenâgeuses qui pourraient transpercer quelqu'un lors d'un duel et dont la lame est très fine et beaucoup plus longue qu'un couteau (pas d'équivoque possible) ? Il faut également qu'elle soit trop lourde pour un contemporain. J'aimerais en avoir le nom exact... Merci d'avance !

Tu me fais tout simplement penser à une rapière, mais ce n'est pas "trop lourd" pour un contemporain. Soit dit en passant, je doute que la personne moyenageuse moyenne soit tellement plus costaude que l'homme moderne moyen. Certainement plus car le travail était plus manuel qu'à l'heure actuelle, mais pas assez "plus" pour qu'une fine épée soit maniable pour eux et trop lourde pour nous.

Mais il y a des personnes plus versées que moi dans les armes blanches de l'histoire sur ce forum.

Est-ce que ce fil se trouve dans la bonne section? Je ne sais pas, l'Entraide ou même le Flood me semblent plus indiqués.

Effectivement, je déplacee.

AbImoPectore a écrit:

Est-ce que quelqu'un connait le nom d'épées de type moyenâgeuses qui pourraient transpercer quelqu'un lors d'un duel et dont la lame est très fine et beaucoup plus longue qu'un couteau (pas d'équivoque possible) ? Il faut également qu'elle soit trop lourde pour un contemporain. J'aimerais en avoir le nom exact... Merci d'avance !

Une fine lame est par définition plus légère. Donc, j'ai du mal à comprendre ce que tu veux. Si tu cherches des épées à deux mains (donc lourde et difficilement maniable), capable de transpercer un homme, il y a la claymore ou l'espadon (ou flamberge). Il y a également des types plus courants (les précédents liens mènent vers des armes nationales, la claymore pour les Ecossais et l'espadon pour les lansquenets allemands de la fin du Moyen-Age, des sortes de mercenaires très recherchés et qui combattront notamment pendant les Guerres d'Italie) comme l'épée bâtarde ou le brand d'arçon. Certains peuples et pays ont très souvent utilisé des armes à deux mains. On peut citer par exemple les Daces (peuple antique vivant dans l'actuelle Roumanie) avec leurs célèbres faux de guerre (plus pour trancher, une arme si redoutable que les Romains durent adapter leurs armures et casques).

A noter que ce genre d'épée (comme quasiment toutes les épées du Moyen-Age) est à manier pour des attaques de taille et non d'estoc. En cela, les soldats médiévaux diffèrent de leurs équivalents romains : le glaive, plus court, est une arme d'estoc qui prend toute son utilité dans un combat en formation serrée (ce qui a permis aux Romains de dominer la Méditerranée pendant des siècles). Les épées à deux mains ne permettent pas le combat en formation par exemple.
Les Japonais ont également développé un katana se maniant à deux mains, avec une lame beaucoup plus longue. Elle permettait de désarçonner les cavaliers ou de tuer les chevaux. Encore une fois, on frappe de taille et non d'estoc. La longueur de la lame l'explique. Avec le glaive, la lame s'enfonce peu et ne reste pas dans le corps de l'adversaire. Avec l'épée, la lame s'enfonce plus profondément et peut rester coincé. Dans une mêlée, c'est généralement fatal ... ^^

Merci beaucoup pour vos réponses qui m'aident bien, vous me retirez une fameuse épée du pied !

Revan, j'entendais fine lame assez lourde pour qu'un contemporain ne puisse pas la manier facilement en raison du métal qui la compose (je n'ai aucune connaissance dans le domaine, mais je suppose que le métal utilisé au moyen-âge est différent du contemporain - ex: bronze VS fer).

Lo et Mha, désolée. J'hésitais entre la section entraide et la section actualité.

Nous sommes plus grands et plus forts que les hommes au Moyen-Age. Guillaume le Conquérant mesurait 1m75, ce qui en faisait pour l'époque, un homme très grand, alors qu'aujourd'hui, il serait en dessous de la moyenne en Occident. Cette différence est due notamment à la meilleure alimentation et aux progrès de la médecine.

Le métal au Moyen-Age était de moins bonne qualité en fait, puisque les techniques étaient moins modernes, plus archaïques.
Si certaines épées à deux mains peuvent être difficile à manier en raison de leur poids, je ne vois aucun exemple d'épée qu'un contemporain ne puisse manier en raison des propriétés de la lame.

AbImoPectore a écrit:

Plus sérieusement, partagez votre expérience du nanowrimo :
- Les embûches qui vous ont retardé dans l'écriture
- Des conseils pour garder une constante
- Des suggestions
- Tout simplement votre "journal de bord" ou un petit spoiler sur votre roman.
- ...

Bon, le fil est un peu vieux, mais je reprends...

Je dirais, le conseil le plus important pour garder une constance, avant de commencer : avoir fait le plan de tout ce que vous allez écrire pendant le moi. Le nanowrimo n'est pas le moment pour faire des recherches, développer votre intrigue, élaborer vos persos, etc... quand vous vous mettez à écrire, votre histoire doit être prête dans votre tête, et vous devez écrire et c'est tout.
Ensuite, définissez-vous un moment où vous allez écrire, et tenez vous en. Ne faites rien tant que votre quota n'a pas été établis. Arrêter pour se dire qu'on va reprendre plus tard est une erreur, surtout si votre journée est déjà chargée. Pour ma part, je m'y mettais après rentrer du travail, et ne faisais rien d'autre tant que je n'avais pas fini mon quota.
Ecrivez tant que vous avez de l'inspiration. Ne vous arrêtez pas forcément parce que vous avez atteint 1667 mots. Par contre, ne considérez pas le supplément comme une avance pour le lendemain. Quelque soit votre avance, vous devez TOUJOURS faire vos 1667 mots.

Je me suis inscrite là-dessus sur le tard, mais j'arrive quand même à avancer.  C'est très très difficile de faire mon objectif avec mes deux ti-mousses, faut que j'écrive le soir, mais je n'ai pas l'inspiration, le soir ! En plus on a goûté à trois jours sans électricité (donc pas d'ordi), ce qui fait que je n'ai pas grand espoir !

Je ne comprends pas tellement le but des "cabines".  Ca sert à quoi ? A date, tout ce que j'ai vu de ce camps, c'est qu'on y inscrit le nombre de  mots écrits.  c'est supposé nous apprendre quoi ?
Je ne suis pas tellement emballée jusqu'à maintenant !

En fait, pour être bien franche, j'aime de moins en moins le principe de compter nos mots. C'est bien beau avancer dans l'écriture, encore faut-il le faire par plaisir, avec l'envie de le faire bien, plutôt que se forcer pour écrire le plus possible.

Je le fais, de même que la constance, car je piétine depuis un bout et j'essaie d'aller plus loin dans mon histoire, mais ça me donne l'impression d'une course plutôt que d'autre chose. Je dois m'assurer que la qualité est plus présente que la quantité, je crois qu'a la base, c'est ça l'écriture !