La question est de savoir si on préfère vivre dans le rêve du "meilleur ami" comme d'autres du grand amour ou si on veut profiter de ce que nous apporte la vie et les gens.

Je ne vois pas en quoi réaliser ou savoir que c'est la fin des illusions, de "l'ami idéal" est noire et pessimiste. Quand on sait à quoi s'attendre, on pleure pas sur la fin d'une amitié et on avance. Je préfère cent fois savoir ça plutôt que de vivre d'illusions et prendre une claque dans la gueule quand le brouillard des illusions se dissipe. Ne rien attendre d'un ami ce qu'on peut faire ou résoudre soi-même ; définir ensemble ce qu'on peut attendre de l'autre, dans une certaine mesure et entente ; et là d'accord, on peut construire une amitié probablement plus durable.

C'est le même rapport qu'on peut avoir avec un partenaire de vie. Il faut savoir poser les bases d'une entente, les limites. Et les écueils sont les mêmes. On pense que les choses sont naturelles parce qu'elles se passent bien : "on est fait l'un pour l'autre" ; "on est fait pour s'entendre", etc. C'est vrai. Sauf que c'est bien parce que c'est "naturel", que ça peut tout à coup prendre un virage inattendu.

L'illusion du "bio" ou du "naturel". On est des êtres sociaux et intelligents. On peut aimer, apprécier une autre, avoir un bon "feeling", et on peut n'avoir tissé dans cette entente qu'une longue suite de malentendus qu'on en finira plus par la suite à démêler dans des conflits sans fin. Votre chien, il est fidèle et il vous aime pour une raison tout autant naturelle, qui elle ne souffre d'aucun malentendu : parce que vous lui donnez sa pâtée. Est-ce qu'on s'engueule avec son chien ? est-ce qu'on se sépare avec son chien parce que... "nos chemins devaient se séparer là, on n'avait plus rien à se dire"... ?

Entre humains, c'est plus compliqué. Pourtant certains voudraient croire que c'est pareil. Ces mêmes personnes totalement désillusionnées qui vous saloperont la vie parce que vous êtes allé voir ailleurs, parce que vous avez fait passer vos propres intérêts avant les leurs. "Comment ?! tu pars à Montréal ?! mais tu as pensé à moi ?! Tu vas abandonner tout ce que tu as construit ici ? à cause de cette bonne femme ?!..." Ah oui, c'est toujours un bon conseiller "l'ami".

Donc, on a le choix. Soit on voit la vie comme une grande mare naturelle derrière de la mousseline et des étoiles dans les yeux ; et alors, on ne cherche rien de plus qu'être un bon chien-chien. Soit on est lucide et on accepte la vie et les gens comme ils sont. On donne ce qu'il y a à donner, on prend s'il y a à prendre, si on nous le propose.

Mais ces gestes ne signent pas un pacte de fidélité avec l'autre. La question de la réciprocité est importante. On peut accepter que le rapport soit le plus souvent à l'avantage de l'un que de l'autre. Mais il faut que les deux en soient conscients. Parce que si toute relation devaient être réciproque, on en finirait pas de tenir des comptes et de se dire "tiens, c'est à toi d'inviter cette fois-ci" "ah non, c'est à toi d'être mon confesseur cette fois"...

On peut compter, mais "à vue de nez". Si une personne a besoin plus de recevoir que de donner à un certain moment, il n'est pas impossible d'accepter à ce moment là de donner, d'écouter, d'aider. Si on se veut une réciprocité immédiate en retour, c'est un peux extrême. La vie n'est pas un jeu de domino "à toi, à moi, à toi"... Les deux doivent être juste conscients de la situation. Ensuite, si quand la situation redevient plus "égale" et que pour autant les rapports vont toujours que dans un sens, il faut à ce moment là en prendre acte et se barrer sans faire de politesse. Partir en vociférant des "ah et maintenant que j'ai besoin de toi, y a plus personne" est totalement vain. L'amitié est gratuite, ça s'est probablement vrai. C'est une promesse de retour, non l'assurance d'un coup de main. On ne va pas reprocher à un autre d'avoir été en demande, en difficulté, si on était là pour lui donner, et avoir accepté à ce moment là d'aider. Donner, aider, doit rester tout de même un service qu'on peut faire sans arrière pensée, et qui, il me semble est plus lié à un esprit grégaire, "pour le bien d'un groupe", et là on peut revenir "au naturel" parce que c'est propre aux primates (il me semble que des comportements de ce genre, de partage, d'entre-aide sans "gains" immédiats, ont été remarqué chez eux). Primates que nous sommes.

On essaye en revanche d'avoir des comportements un peu plus raisonnés et productifs. Quand on se barre, on se barre alors en silence, parce qu'on n'a plus aucun intérêt à faire parti d'un groupe ou d'un mini-groupe (rapport d'amitié). Les singes peuvent se battre, eux, au premier différent. Mais ce ne sont pas des hommes. Les hommes qui cherchent des poux à "leurs anciens amis", deviennent juste des cons. Et je suis pas loin de penser que ceux qui croient aux mirages de l'amitié, sont les mêmes qui viendront vous cracher à la gueule et montrer leurs jolies canines. Quand il y a une déception, quand la marge entre celui qui donne et l'autre qui reçoit reste toujours la même, quand on finit par avoir l'impression qu'on est jamais valorisé pour ses efforts (dans le groupe, le rapport d'amitié), c'est cassé, il n'y a plus rien à réparer. On ne répare pas ce qu'on a cassé. Il y a une différence entre un pot de l'amitié légèrement fêlé et un autre bien cassé, irrécupérable, certes. On sait probablement après qu'on sait alors si on a envie encore de l'autre. Ce sont les intérêts communs encore et toujours qui vont commandé nos comportements. Chacun fait profil bas... dans ses propres intérêts. Ceux qui n'ont plus rien à tirer de l'amitié d'un autre auront des comportements alors tout à fait antipathique. Esprit grégaire encore. On reste ensemble parce que c'est bon pour le groupe, ou le couple ; si l'un des deux n'en tire plus aucun avantage, le pot de l'amitié est brisé ("hic!").

Ensuite (puisque j'ai encore mon chien à nourrir), il y a un intérêt commun qui est sans doute plus important que tous les autres (je dis ça parce qu'on a l'impression peut-être que pour moi, en parlant d'intérêt, que l'ami, c'est juste le mec qui rend des services et qui calcule), c'est les affinités.

L'intérêt premier de la vie, et des rapports humains, c'est tout de même d'y trouver du plaisir. Et quoi de mieux pour cela que de partager des moments avec des gens avec qui ont partage les mêmes goûts, qui possèdent les mêmes références culturelles ou qui peuvent au contraire nous montrer le chemin vers ces références qui nous intéressent, et qu'on prend plaisir là pour le coup à partager parce que la culture, les réflexions, c'est une nourriture de l'esprit, propre aux hommes. Donc il est là l'intérêt premier : quand l'échange est productif pour les deux, quand deux personnes prennent du plaisir à se tourner vers autre chose que leur petite personne, proposent autre chose que des confessions ennuyeuses pour seule nourriture partagée.

C'est même probablement là que ce situe les amitiés les plus établies. Peu de malentendus possibles. Justement parce que la parole dépersonnalisée, le partage et même les désaccords ostensibles sont ici la source du plaisir d'être ensemble. Être en désaccord sur la vie des autres, sur une idée, c'est finalement peu de chose parce qu'on peut prendre ses distances ; alors qu'être en désaccord sur la vie de cet ami, c'est tout de suite plus délicat. Confondre un ami avec un confesseur, un bouche-trou, un faire-valoir, un chien, un ouvrier, un dévoué flagorneur, un spectateur, un professeur (et oui tous ceux-là on prétendra alors les voir comme des amis et non des connaissances, parce que ce qui détermine le niveau "d'amitié", sera sans doute plus établi par le temps passé ensemble ou par la profondeur du malentendu : "je peux lui dire tout, il écoute tout, il est formidable !") n'aidera qu'à provoquer des conflits futurs (à se demander si la culture n'a pas été fait pour que les "groupes" trouvent un sujet de discussion qui porte moins à polémique). De telles relations ne sont pas faites pour durer.

Pour les confesseurs (et il est vrai que pour certains c'est un véritable sacerdoce), je sais pas... il y a une question de décence, quoi. Il y a des choses intimes qui doivent rester intimes. En particulier celles qui concernent une autre personne (on peut nuire ainsi à une personne chère en parlant d'elle, donc il faut être sacrément naïf). On accepterait que certaines choses intimes qu'on a avec certaines personnes soient partagées par cette même personne avec d'autres ? Genre... ma femme qui raconte à sa meilleure "amie" comment ça se passe au pieu ? Désolé, pas pour moi. Non seulement faut être un malade mental, juste bon à être un sujet de discussion pour Vis ma vie, mais en plus c'est donner de futures armes contre soit à des personnes qui "oh oui mon dieu !... peuvent nous trahir ! mouin".

C'est un comportement reconnu pour être assez féminin, malheureusement des mecs comme ça qui racontaient tout de leur vie, j'en ai connu... À quoi ça leur sert, sérieux ? Ils dévoilent leur vie pour qu'on leur aide à résoudre leurs problèmes et au final ça finit toujours par un "oui tu as raison, il n'y a que moi qui pourra décider ce qu'il y a de mieux, ça doit être ma décision". Certains font juste un spectacle de leur vie, ça leur donne de l'importance. Quand on a pas de cerveau pour se faire remarquer, alors on montre sa bite et ses seins, peut-être que là on sera entendu.

Oui oui la fille aux gros seins, si son ami d'enfance accepte de l'écouter, c'est aussi parce qu'il a envie de tâter du melon depuis le temps.

— Non mais Pierre, tu sais qu'on est amis (comprendre : t'es moche et t'as aucune "personnalité" sinon tu m'écouterais pas) c'est pour ça que rien ne peut se passer entre nous
— Non mais t'es trop canon (rah putain putain !)... depuis le temps que je rêve de toi, et en jouant au mec attentionné depuis tout ce temps, je pensais que...
— Pierre, tes fantasmes de petit garçon ne m'intéresse pas. Écoute plutôt les problèmes qu'une femme peut avoir avec de vrais hommes...

Si ça marche pas avec la version à gros seins, je peux faire la même avec la version Christophe Lambert.

— Je connais Christophe Lambert. C'est un vieux pote à moi.
— Ah ? et pourquoi tu me racontes ça ?
— Bah j'arrivais pas à la placer... Tout de même, ma valeur augmente si je suis l'ami d'une personne connue, non ?
— Ah.
— Non mais un vrai ami, je suis comme un confident pour lui.
— Ah d'accord, t'acceptes d'écouter ses conneries, juste parce que c'est Christophe Lambert ?
— Heu, ouais. Mais c'est parce que c'est une personne formidable.
— Ah, et lui il pense quoi de toi ?
— Rien, il s'en fout un peu de ma vie. Mais c'est normal, elle est pas aussi intéressante que la sienne.
— Ah ok. Au fait, rappelle-moi pourquoi on est ami à la base ?

À-mi pour la vie. (Heu, c'est quoi les lunettes roses que tu portes là ?)

Ton ami te connaît bien et il t'aime quand même, pour ça qu'ils sont peu nombreux

moi, pour moi un ami c'est une personne qui est toujours prête a t'écouter. A te supporter dans les moment de détresse, de bonheure et même dans ceux ou t'es pu endurable. C'est une personne qui prend un peu soin de toi, qui t'appelle pour discuter quand il sait que tu dort pas et qui fait des truc pendable avec toi. C'est une personne avec qui tu peut rire, pleuré et même te chicané( perceque si vous vous chicané pas je trouve que sa fait amitié légère) mais vous aller toujours pouvoir vous appuyer l'un contre l'autre pour vous relever et c'est ce qui renforce encore plus cette amitié. C'est aussi une personne qui a des passion commune au tienne et avec qui, tu peut juste vivre comme tu est!

"Votre véritable ami est celui qui ne vous passe rien et qui vous pardonne tout." (Comtesse Diane de Beausacq)
A méditer. ^^

Dans tous le cas, l'ami(e) parfait(e) n'existe pas. Peu importe les fréquentations ou les relations, le fait est que nous vivons et mourrons seuls. (Non, ce n'est pas déprimant comme point de vue.)

Float, joli pavé. A la fin ça m'a fait penser à un troll que j'avais vu ... je le posterais si je le retrouve !

Hum... parce que je suis un troll ?^^

Bah, Float, rien de ce que tu décris n'est l'amitié...

Le drame de l'amitié, c'est que la plupart des gens pensent qu'ils n'y croient plus parce qu'ils ont été déçus, alors qu'en réalité, ils n'ont jamais croisé de vrais amis!

L'amitié, comme l'amour est une denrée rare et n'est pas toujours éternelle. Ce n'est pas donné à tout le monde d'avoir un vrai ami ou d'être soi-m^me un ami. Comme beaucoup j'ai été déçue voire déchirée mais surtout surprise, émue. L'ami est un membre de ta famille spirituelle. Un ami ce n'est pas un prestataire de service puisque ce qui vous unit est au delà du matériel. 

Les gens qui dénigrent l'amitié, qui affirment qu'elle n'existe pas sont soit des déçus soit des gens incapable d'être eux-m^me des amis.

Malgré toutes les déceptions et les douleurs qu'on ma infligées, rien ni personnes ne me fera douter de l'existence de cette terre sacrée qu'est l'amitié! Tout simplement parce que je sais que je peux être une amie sans doute parfois faillible, mais une amie sincère. Si moi qui ne suis pas exceptionnelle, je peux être une amie, pourquoi d'autres ne le pourraient-ils pas?

Je souhaite à tout le monde de rencontrer un fois dans sa vie un vrai ami: faites le ménage dans vos relations, vous vous sentirez mieux!

Float : Oui, tu es un troll  ()

Non bien sur, je parlais des ragecomics/trollcomics dans ce genre : 

Spoiler:

Bon, pour cette exemple je suis complètement hors sujet, (mais faut bien rire un peu, non ?) mais il arrive certaines fois de tomber sur des citations intéressantes, et justement, je me souvenais d'une en rapport avec la fin de ton pavé. C'est tout \o/

adj : J'aimerais avoir autant de certitude que toi sur ce qu'est l'amitié. Mais ce n'est pas le cas. 
Le rapport qu'entretien chaque individu avec ce sentiment dépendra de ses expériences personnelles. Mais pas que. 
Pour me citer, (parce que, oui, je ne vais pas parler de Chuck Norris) je ne suis, ni blasé, ni mauvais ami. Il n'empêche que c'est un sentiment sur lequel je ne mise aucune certitude.
L'amitié va, l'amitié viens. Et c'est humain de vouloir se lier d'affection avec d'autres individus. 
Mais pour moi ça reste une ambiguïté, parce que justement, nous sommes humain. 
C'est notre propre condition qui nous présente les deux visages de l'amitié, à nous de choisir celle qui nous préférons visualiser. 
Du coup, peut être que c'est moi qui ai tout faux. Ou toi. Ou tous les deux. ()

Nier l'existence de l'amitié est une posture intenable: je l'ai fait, parce que j'ai grandi dans une famille où il était interdit d'avoir des amis, qu'on me répétait que l'amitié n'existait pas.

La vie a contredit cette affirmation: j'ai rencontré des gens qui ont été de vrais amis, qui ont fait énormément pour moi, et j'espère avoir fait pareil pour eux. ça n'a pas toujours duré, parce que chacun évolue à sa manière, que les chemins se séparent.

Je n'ai jamais été entourée d'une bande, comme certains. Je les ai enviés, mais quand j'ai compris dans quelle misère affective ils se trouvaient, j'ai remercié le ciel de la chance que j'avais. Je n'ai eu que quelques amis, mais ils se sont vraiment intéressés à moi, ont vraiment eu de l'affection pour moi.


Pourtant, je ne suis ni riche, ni belle et je crois que c'est ce qui m'a préservée en partie des fausses amitiés. Bien sûr des gens m'ont utilisée dans leur intérêt, c'est le risque quand on est généreux et dévoué.

Maintenant, j'ai hâte que la vie me contredise concernant l'amour et la famille...

Voici ce qu'est un ami pour moi:

Un ami...
 

 A  ime que vous lui disiez ce que vous ressentez
 B  énit le jour où vous êtes rencontrés
 C  alme vos craintes
 D  onne sans attendre en retour
 E  st toujours prêt à donner un coup de main
 
 F  ait une différence dans votre vie
 G  arde ses amis dans son coeur
 H  armonise vos pensées quand elles se bousculent
 I  nvite ses amis à se connaître entre eux
 J  ubile quand vous réussissez
 
 K  laxonne devant pour que vous passiez
 L  it cette  liste et pense à vous
 M  aximise vos qualités
 N  e juge jamais
 O  ffre son support
 
 P  arle si on vous cache quelque chose
 Q  uestionne vos certitudes
 R  emonte votre moral
 S  ait dire des choses sympas sur vous
 T  éléphone juste pour dire "Comment ça va?"
 
 U  tilise les mots justes au bon moment
 V  ous accepte tel que vous êtes
 W  eek-end ou pas, il ne vous abandonne jamais
 X  -trêmement indulgent, il pardonne vos erreurs
 Y  a-Qu'à, il ne connaît pas, il agit
 Z  éro problème, il vous aime!

 "Un ami est quelqu'un avec qui je peux être sincère, quelqu'un
 devant qui je peux penser tout haut."
 Ralph Waldo Emerson

Ben...c'est celui qui te veux du bien.

Je me demande encore ce qu'est un ami !

Un ami c'est quelqu'un qui te connait par coeur, tes qualités et tes défaut, et qui t'aime pour ce que tu es, quelqu'un qui sait être là dans les bons comme dans les mauvais moments. Quelqu'un à qui tu peux tout dire parce que tu sais qu'il ne te jugera pas. Quelqu'un avec qui tu restes proche malgré la vie et la distance.

Pour moi, un ou une ami-e est quelqu'un qui te connais...mais qui t'aime quand même. (Citation de je sais plus qui) ^^.

Deux amis ont des centres d'intérêts proches pour pouvoir en discuter. Mais le plus important se resume en trois mots, selon moi :
- confiance
- aucun jugement

Oui vous vous attendiez a trois tirets.... beh non ^o^.

Je pensais pouvoir m'étendre sur le sujet mais au final...

Ce sujet est digne d'un sujet de philo.  C'est peut être pour ça que mon cerveau fume un peu trop...

Pour moi, un ami, ce n'est pas forcément une personne qui vous connait sur le bout des doigts, qui est avec vous 24h/24h... L'ami, c'est celui qui malgré la distance, les changements, et l'éloignement continuera à prendre de vos nouvelles, à souhaiter vous voir à l'occasion, sera honnête avec vous lorsque vous commencerez à déconner et celui que vous pourrez appelez à 2h du matin alors que vous serez dans un état pitoyable pour je ne sais quelle raison.   

Chez moi, ce genre d'ami est précieux et on les compte sur les doigts d'une main. Il suffit juste de faire un test : lorsque vous vous absentez durant une longue période, 1 mois, deux mois, est ce que cette personne vous manque ? De là on peut vite faire le tri. Après, ce n'est que mon avis.