Vrai : ne jamais tout dire mais allécher le comité de lecture; pour ma part, j'ai présenté différentes actions de "telle page à telle page" et pour l'épilogue (à peine 10 pages), je leur ai proposés de le découvrir par eux-mêmes... A eux de se l'approprier. S'ils jugent inutiles de découvrir la courte fin, je pense que mon manuscrit n'a rien à faire chez la maison d'édition choisie.

Merci de ta réponse détaillée e-bou
et pardon pour le hors sujet Pianitza, je me suis laissée emportée !

J'ai reçu ce matin un mail qui me parait être du même acabit, venant d'une autre maison d'édition. Assez succinct, qui expliquait que l'éditeur n'était pas rentré dans mon roman.
Personnellement, je trouve ça honnête et ça part d'un bon sentiment.

bah! ils ne disent pas que c'est mauvais, ils disent qu'ils n'ont pas été séduits, c'est différent! la plus belle fille du monde ne séduira pas tous les gars!Alors pas de panique!

Bah ne t'en fais pas pour les non. Tu peux en recevoir 500, peu importe, s'il finit par y avoir un oui. 1 seul oui suffira à contrebalancer tous les non que tu recevras. C'est ce qui m'est arrivé pour Les Cadavres en fleurs. Il faut être patient !

Bon courage !

Citation :

Mais l’addition de tous les points négatifs (et du coup, ça fait une liste assez impressionnante) rend mon roman définitivement mauvais.

Franchement Le Conteur, j'ai lu quelques chapitres de ton roman Armort et je n'ai pas encore pris la peine de venir te commenter mais si ton roman est "définitivement mauvais" alors il faut retirer des rayons les trois quart des nouveautés ! Non ce que tu écris n'est pas mauvais, dans le style Dark Fantasy je trouve ça au niveau de ce qui est publiable. Alors courage, tu trouveras certainement un éditeur.
Et comme ton style détaille tous les faits et gestes de tes personnages avec précision as-tu pensé à contacter des dessinateurs pour en faire une BD ?

Aux autres: moi je connais quelqu'un qui a reçu une réponse du genre "le comité de lecture a beaucoup aimé... malheureusement le service commercial pense que cela ne se vendra pas..."